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  1. #181
    Citation Envoyé par Silick Voir le message
    Par contre, ce qui m'avait étonné, c'était le nombre de personne qui ratait les tests écrits ...41 inscrits, 3 réussites...
    ils ont pas forcement ratés leurs tests écrits. Tout dépend du niveau global des inscrits pour la session. Tu sélectionnes les inscrits ayant une note largement au dessus de la moyenne de la session. Suffit de voir pour certains concours de la fonction publique entre le nombre d'inscrit et le nombre poste disponible..

    les chiffres de 2015 pour le concours de bibliothécaire.


  2. #182
    Citation Envoyé par maldone Voir le message
    ils ont pas forcement ratés leurs tests écrits. Tout dépend du niveau global des inscrits pour la session. Tu sélectionnes les inscrits ayant une note largement au dessus de la moyenne de la session. Suffit de voir pour certains concours de la fonction publique entre le nombre d'inscrit et le nombre poste disponible..

    les chiffres de 2015 pour le concours de bibliothécaire.

    http://img15.hostingpics.net/pics/873469Capture.png
    Quand j'ai passé le concours, ils prenaient au test écrits les gens qui avaient une moyenne de 10 sur 20 et qui avait 10 sur 20 ou plus à la dicté et les maths.
    Après, il y avait les tests physiques, les tests psy et les entretiens avec un gradé.

    Ils avaient déjà boulé 95% des candidats sur la première mâtiné de test ( si l'on rate les tests du matin, impossible de passer le reste l'après midi).

  3. #183
    Citation Envoyé par Silick Voir le message
    Je répond que je préfère le dialogue plutôt que gueuler sur les gens dans mes rapports humains et que cela n'avait pas plu à la psy
    Tout dépend de comment tu lui a dit ça. Je suppose que c'était pour militaire du rang ? Il a dû avoir l'impression que tu cherchais à fuir les conflits et c'est plutôt bof pour un gendarme.
    Si ça t'intéresses vraiment, t'as pensé à commencer à faire réserviste dans la gendarmerie ? Je pense qu'ils sont (un peu) moins stricts pour te prendre à ce moment la et si tu fais tes preuves t'auras des facilités pour devenir gendarme à temps plein.

    Citation Envoyé par Silick Voir le message
    Quand j'ai passé le concours, ils prenaient au test écrits les gens qui avaient une moyenne de 10 sur 20 et qui avait 10 sur 20 ou plus à la dicté et les maths.
    Après, il y avait les tests physiques, les tests psy et les entretiens avec un gradé.

    Ils avaient déjà boulé 95% des candidats sur la première mâtiné de test ( si l'on rate les tests du matin, impossible de passer le reste l'après midi).
    C'est le classique de l'armée ça.

  4. #184
    Citation Envoyé par Snakeshit Voir le message
    Tout dépend de comment tu lui a dit ça. Je suppose que c'était pour militaire du rang ? Il a dû avoir l'impression que tu cherchais à fuir les conflits et c'est plutôt bof pour un gendarme.
    Si ça t'intéresses vraiment, t'as pensé à commencer à faire réserviste dans la gendarmerie ? Je pense qu'ils sont (un peu) moins stricts pour te prendre à ce moment la et si tu fais tes preuves t'auras des facilités pour devenir gendarme à temps plein.



    C'est le classique de l'armée ça.
    A l'époque cela m'intéressait parce que je n'avais pas de boulot et je ne voyais pas trop ou partir. Les différents débouchés que proposait la gendarmerie m'intéressait pas mal et je m'étais dit "pourquoi pas".
    Aujourd'hui, je suis trop vieux pour passer le concours et j'ai trouvé du boulot
    Avec le recul, je me dis que de toutes façons la gendarmerie n'aurait pas été pour moi et que m'avoir refusé à y rentrer était parfaitement justifié.
    reste un chouette souvenir le jour du concour avec les gendarmes en place qui cherchaient vraiment à ce que les candidats aient le concours.


    C'est juste la réaction des recruteurs sur les postes où j'ai postulé qui m'a toujours amusé.

  5. #185
    Citation Envoyé par Molina Voir le message
    Huhu.

    Le plus hallucinant, ce sont les boites belges. Les mecs te demandent, en tant que junior, 2 à 3 ans d'exp mini, connaitre quasi toutes les technologies importantes du secteur, être en total autonomie (avec la description du poste qui correspond à un salarié en milieu de carrière) et parler.... néerlandais, français et anglais. BOOM dans ta face.
    Je fais un peu du necro, mais je suis allé en belgique à la base parce que contrairement à la France, tu rentrais avec quasi aucune expérience(en tant que consultant ok).

    - - - Mise à jour - - -

    Citation Envoyé par Molina Voir le message
    les belges en anglais ou flamand.
    Parce que ce sont des boites flamandes Si c'était à bruxelles, t'aurais le trio (et c'est pour ça qu'elles demandent trilingue, en plus comme ça elles ciblent les belges) et en wallonie, t'aurais eu français anglais.

  6. #186
    Inscrit à PE depuis juin 2015 après mes études d'Histoire (j'ai eu un M1 mais pas été plus loin), j'essaye de devenir employé de bibliothèque, prof documentaliste (donc je passe le concours en autonome car la formation me couterait trop en déplacement ou logement et je n'aurais aucune aide) ou travailler dans l'administration. Évidemment je suis dans une région plutôt touché par le chômage. Indice mon pôle emploi se trouve dans une ville qui fait la une de l'actualité avec un camp de réfugié surpeuplé et des tensions inter-ethniques. Vous l'avez ? Bref, revenons. Dans les 3 mois après inscription le pôle emploi doit me convoquer pour parler avec mon conseiller. Arrive décembre, toujours rien. J'envoie un courrier pour savoir s'ils sont débordés avec le déménagement des locaux ou s'ils sont vraiment laxistes avec mon cas. Bon, ils m'avaient (volontairement ?) zappé. Le conseiller me brasse de l'air, genre revoyez la pagination de cette partie du CV. Histoire de dire quelque chose. Apparemment, quand on est bac + 4, qu'on passe moult concours (dont la chance d'admission est aussi élevée que celle d'aller sur mars) et que je sais faire mes phrases avec sujet-verbe-complément, bah le conseiller juge qu'il ne sera pas amené à me voir souvent. Effectivement, pas de nouvelle de pole emploi. L'organisme ne sert qu'à me fournir mes aides financières pour me déplacer en concours.

    Une médiathèque ouvrait dans ma commune lors de ma dernière année d'étude. Je me présente, entretien. On me propose de faire du bénévolat pour remplir les cartons pour le déménagement avec deux retraités de la commune, je refuse car ça incite les municipalités à exploiter les "pauvres" ou ceux qui ont du temps libre pour gratuit. J'étais venu pour un poste mais en interne la doc' et le maire avait déjà convenu qui ils allaient prendre. Alors certes je suis novice, mais la médiathèque de je fréquente est peuplés d'employés qui ont été placés alors qu'ils sont totalement étranger au monde de la lecture et de la bibliothèque pour nombre d'entre eux. Ce qui est un fait, je leur reproche pas d'avoir un poste. Juste frustrant de voir que la politique de la ville sur l'emploi est totalement idiote. Genre une fille a pu être aux archives et médiathèque car telle année, la ville avait pour objectif d'employer tant de gens en provenance de tels quartiers. Opération généreuse pour eux, discriminatoire pour d'autre mais temporaire car on ne m'a jamais fait le moindre entretien ne serait que pour un poste de saisonnier alors qu'ils cherchaient.

    Autre bémol, début 2016. Je fais un entretien pour être de nouveau assistant d'éducation en collège. J'ai été un an dans un lycée. L'entretien se passe, j'ai pas non plus tout les réflexes pour aborder les collégiens car mon rôle était beaucoup plus laxiste au lycée. Bref, on m'appelle et c'est non. En revanche, on pouvait me rappeler plus tard pour un second remplacement, congé maternité. Arrive alors le capes Documentation et moult concours qui se succèdent (généralement c'est mars ou avril) et ma prise de poste potentielle coïncide pile pendant le rush de concours. Je dois donc refusé. Je me vois mal signer mon contrat et demandé genre 4 ou 6 jours de congés pour mes concours. Ok partie remise, si j'ai pas de concours je candidate pour être pion en septembre 2016.

    Fin juin j'ai moult entretien pour être pion. Tous négatifs (pitonnage de dernière minute ? Je dis ça car c'est le cas quand j'ai été pris). L'un a même le culot de me dire au téléphone "-on a fait un classement pour prendre les candidats, vous n'apparaissez pas dans le classement mais vous avez un très bon CV. Pourquoi vous essayez pas d'être professeur remplaçant ? -bah j'ai constitué un dossier pour le public et le privé [dis à l'entretien] -Ah et vous n'avez rien eu ? -bah non..."

    J'ai même été caissier durant mes études, même ce poste ne me donne rien.


    Niveau concours j'ai passé des concours où il y a 15 postes en externe sur le territoire, d'autres où il y a 5 sur la région mais sur entre 500 et 700 candidats. Le capes si je l'ai je devrais avoir à passer une année de fac pour être à niveau. Les concours de catégorie C sont niveau brevet des collèges mais sont surpeuplés de candidats surdiplomés.
    Au CCAS de ma commune, on propose que des travailleurs journaliers quasiment pour faire du renforcement auprès de la voirie ou auprès des magasins en periode de fête mais évidemment mon profil correspond pas.

    Ah sinon moult anciens camarades de fac sont dans un cas de figure similaire. Ils sont pions, profs ou chômeur/ boulot temporaire. Et je sais pas si ça doit me rassurer ou m'inquiéter.

    Du coup je suis inscrit aux concours suivant : adjoint administratif, concours commun d'agent administratif, bibliothécaire assistant, magasinier de bibliothèque, adjoint du patrimoine (bientot), capes documentation, capes histoire-géo (alors que j'ai du mal à ce concours et je serais pas à l'aise en lycée car programme trop dense ...), concours des écoles, caplp lettre-histoire-géo (prof d'histoire en lycée professionnel, j'ai déjà été admissible une fois mais pas fait l'oral à cause d'un problème de santé).
    Alors c'est bien c'est cool mais ça me dispatche trop. Je pense que le concours à mon stade c'est juste une loterie. Soit faut être un spartiate dans l'âme pour l'avoir le concours, soit avoir de la chance. Je ferais le tri dans les concours auxquels je me présente ou non plus tard.
    Dernière modification par LeChameauFou ; 12/09/2016 à 19h06.
    psn/steam/gog: chameaufou/ Hearthstone: chameaufou#2336/ Switch: chameaufou 8061-6627-4614

  7. #187
    Citation Envoyé par maldone Voir le message
    ils ont pas forcement ratés leurs tests écrits. Tout dépend du niveau global des inscrits pour la session. Tu sélectionnes les inscrits ayant une note largement au dessus de la moyenne de la session. Suffit de voir pour certains concours de la fonction publique entre le nombre d'inscrit et le nombre poste disponible..

    les chiffres de 2015 pour le concours de bibliothécaire.

    http://img15.hostingpics.net/pics/873469Capture.png
    à peu près le même ratio pour les concours Bibas et magasinier des bibliothèques. Sachant qu'en externe, il y a moult faux externes qui sont déjà dans la profession en tant que contractuel.
    psn/steam/gog: chameaufou/ Hearthstone: chameaufou#2336/ Switch: chameaufou 8061-6627-4614

  8. #188
    En 2009 quand l'agence spatiale Européenne a offert un poste pour une mission d'astronaute en 2016, il y avait 8400 candidats.

    Avec une ptite formation de 7 ans a la clé.

  9. #189
    Citation Envoyé par maldone Voir le message
    En 2009 quand l'agence spatiale Européenne a offert un poste pour une mission d'astronaute en 2016, il y avait 8400 candidats.

    Avec une ptite formation de 7 ans a la clé.
    C'est pas par 10 les recrutements chez eux (une fois tous les 10 ans) ?
    Après tout ça pour devenir un technicien badass (et aller dans l'espace ce qui déchire tout bien sûr).

  10. #190
    Citation Envoyé par Seymos Voir le message
    dans l'armée par nature on recrute des gens qui n'ont pas de formation dans le domaine principal. Modulo les recrutements de spécialistes, dans les quels on observe le même phénomène : là où on peut recruter des gens formés (compta, secrétariat), on ne forme plus. Ce qui peut poser des problèmes en terme de carrières, puisque le changement de spécialité était une façon de faire avancer les gens dans leur carrière.
    Dans l'Education Nationale (et autres 'services publics'?), les formations permettent de limiter l'embauche de diplômés, trop chers selon leurs supérieurs: le formé fonctionnaire-de-base n'est pas payé plus que son smic/smic-et-demi, ni salaire ni prime rajoutée.
    Sauf pour les hauts cadres, qui sont toujours nombreux, et avec des primes scandaleuses, comme c'est ceux qui décident des embauches, payes et propositions de formation...

  11. #191
    Citation Envoyé par Jaycie Voir le message
    Je fais un peu du necro, mais je suis allé en belgique à la base parce que contrairement à la France, tu rentrais avec quasi aucune expérience(en tant que consultant ok).

    - - - Mise à jour - - -



    Parce que ce sont des boites flamandes Si c'était à bruxelles, t'aurais le trio (et c'est pour ça qu'elles demandent trilingue, en plus comme ça elles ciblent les belges) et en wallonie, t'aurais eu français anglais.
    Le flamand quoi... Qui apprend le flamand ? Après je me demande si c'est si discriminant si on envoie son C.V en disant qu'on en a rien à foutre du flamand.

  12. #192
    Citation Envoyé par Molina Voir le message
    Le flamand quoi... Qui apprend le flamand ? Après je me demande si c'est si discriminant si on envoie son C.V en disant qu'on en a rien à foutre du flamand.
    Apprends le néerlandais, ça passera crème...
    "Not riding to keep the miles low for resale value is like not drilling your girlfriend to keep her tight for the next guy"

  13. #193
    Un aspect que je n'avais pas évoqué lors de mon message précédent, c'est l'aspect psychologique.

    Ceux qui crachent sur les chômeurs en les traitant de fainéants sont des cons (ouais, je balance grave, je crains dégun)...

    Quand je me suis retrouvé au chômage, la première chose qui m'a manqué, c'est l'aspect humain du travail ; plus de pause de 10h00 à la machine à café, plus de resto d'entreprise qu'on passe à refaire le monde, etc.
    On se retrouve un peu seul, à faire quelques sorties pour aller aux entretiens ou pour faire les courses, et les jours passent...
    Alors oui, au début c'est sympa ; on en profite pour faire tout ce qu'on n'avait pas le temps de faire, mais après, ça devient long.
    Au final, on ne sort plus que pour aller voir des amis ou d'ex collègues, qui parlent souvent boulot, et on se sent exclus de la conversation.
    On descend à vitesse grand V dans la considération de la société.
    - Moi je bosse à la SNCF,
    - Moi je bosse chez Vivendi,
    - Et toi tu bosses où?
    - Ben, je suis au chômage.
    - Ha...?
    On a parfois l'impression d'avoir choppé une grave maladie.
    Quand on n'entend pas "Ha ben c'est les vacances alors"...
    Et plus le temps passe, plus les indemnités baissent, plus son CV devient vieillot et on le sent dans les entretiens (c'est plus facile de retrouver un taf au bout de 3 mois de chômage qu'au bout de 15 mois...).
    Et plus la fin de droit approche, plus on se demande comment on va s'en sortir, et plus on est près à accepter n'importe quoi.

    Au final, au bout de plus d'un an de chômage j'ai eu un coup de bol : une SSII m'a contacté, un lundi matin, "On cherche quelqu'un qui connait telle technologie pour bosser chez un client dans l'assurance", ce produit-là dans une boite d'assurance, ça ne pouvait être que chez mon ancien client. Bingo.
    Lundi après-midi, ils me recontactent pour en savoir plus, notamment sur le trou depuis plus d'un an "Je suis au chômage"...
    Manifestement, il ne faut jamais parler de ça à un entretien.
    Ils me rappellent mardi matin :
    - Ha finalement, c'est pas possible, il faut avoir passé la moitié du temps à l'extérieur de cette boite avant de pouvoir y retourner
    - Oui, je sais, mais je suis rentré à telle date, et j'en suis sorti à telle autre, donc la fin de l'interdiction se termine pile au moment du retour.
    Ils me rappellent 5 minute plus tard
    - Oui, mais en fait il faut avoir fait une autre mission entre les 2...
    - ...
    Je me suis renseigné par la suite, c'était bidon.
    Bref, ça ne s'est pas fait avec eux, sauf que moi je savais que cette mission était disponible, je savais aussi que j'étais l'homme de la situation (je connaissais le produit, je connaissais la boite, et j'avais laissé de bons souvenirs).
    J'ai donc trouvé une autre SSII (celle de mon ancien commercial), ils m'ont pris, et j'ai été pris dans cette mission (malgré un entretien calamiteux -pas facile d'arriver serein à un entretien quand on se dit que c'est peut-être la dernière chance-, j'ai su par la suite que mon ancienne chef m'avait appuyé auprès de ma nouvelle équipe ).
    J'ai au moins eu le plaisir de faire un gros doigt à l'autre SSII.

    En revanche, et c'est là où je voulais en venir, c'est que je me sentais tellement dans la merde au chômage, que j'ai fait tout ce qu'il ne fallait pas faire :
    - J'ai demandé le même salaire que mon précédent boulot (dans mon esprit, je ne valais pas plus que ce que valait avant, mais c'est stupide ; ma valeur ne dépend pas de ce que je pense valoir, mais de ce que le marché demande).
    - Quand le jour de signer le contrat (la veille de démarrer la mission), j'ai vu que le salaire était de 1000€ de moins que prévu, j'ai rouspété, mais j'ai signé quand le commercial m'a dit "Ah bon? T'avais pas dit ça? Bon, on s'arrangera après"... oui, effectivement, 1 an plus tard j'étais augmenté de 1000€... j'avais juste perdu 1€ et de facto, je n'avais pas été augmenté, puisque j'avais juste ce que je demandais...
    - Je n'ai pas vérifié les clauses de mon contrat, le coup du "L'employé peut être amené à effectuer des missions de courtes ou longues durées, en France ou à l'étranger", était clairement pourrie...
    - Je n'ai pas demandé de prime d'apporteur d'affaire (c'est pas que ce soit mirobolant, mais à priori, j'y avais droit).

    J'étais tellement content de retrouver un boulot et une vie sociale, que le reste m'importait peu.
    Le commercial avait moins de scrupule...
    Tout a commencé par une nuit sombre, alors que je cherchais un raccourci clavier que jamais je n’ai trouvé.
    Citation Envoyé par Djal Voir le message
    Omar est drôle. Toujours.

  14. #194
    Citation Envoyé par OMar92 Voir le message
    Un aspect que je n'avais pas évoqué lors de mon message précédent, c'est l'aspect psychologique.

    Quand je me suis retrouvé au chômage, la première chose qui m'a manqué, c'est l'aspect humain du travail ; plus de pause de 10h00 à la machine à café, plus de resto d'entreprise qu'on passe à refaire le monde, etc.
    Wah l'aut hé il fait de l'info pour rencontrer des gens.
    Et dire que je ne fais pas de pause et vais au resto seul juste avant la fermeture pour ne pas avoir à faire la queue.
    Citation Envoyé par Sidus Preclarum Voir le message
    Ben du caramel pas sucré alors...
    "Avant, j'étais dyslexique, masi aujorudh'ui je vasi meiux."

  15. #195
    Ceux qui crachent sur les chômeurs en les traitant de fainéants sont des cons (ouais, je balance grave, je crains dégun)...
    Hier, j'ai eu droit à "non mais pour réussir, c'est simple, suffit d'être doué et de faire ses preuves. C'est tout". Du coup, je me contente juste d'un regard vitreux.

  16. #196
    Je me suis rendu compte qu'il m'arrivait de passer deux à trois jours sans sortir de chez moi, parfois je poussais jusque sur le palier pour aller à la boite à lettres.
    C'est clair qu'il est vite fait de s'enfermer et de perdre les contacts sociaux.

  17. #197
    #1 - Les startups se moquent des diplômes

    Soyons réalistes : cela fait bien longtemps que le système éducatif ne prépare pas (plus ?) les candidats à réussir dans le monde de l’entreprise tel qu’il existe aujourd’hui. D’ailleurs, les études le confirment : les notes qu’une personne a obtenu à l’école ou à la fac ne sont en rien un prédicteur fiable de sa réussite ultérieure, et encore moins de son épanouissement personnel. Tout au plus, ces diplômes pourront rassurer le recruteur (ou le manager opérationnel) qui ne sait pas vraiment à quoi d’autre se fier pour réduire la probabilité de se planter. Mais en aucun cas, les diplômes ne permettront de dénicher celle ou celui qui sera capable de créer de vraies différences au quotidien.

    D’ailleurs, avouez que c’est marrant quand même... Steve Jobs : #DropOut, Bill Gates : #DropOut, Mark Zuckerberg : #DropOut, Elon Musk : #DropOut… Pas un de ces génies créatifs n’a estimé utile d’aller jusqu’au bout du cursus dans lequel il s’était pourtant engagé par passion. On les cite souvent pour démontrer le caractère très relatif des diplômes, mais la statistique est encore plus parlante lorsqu’on s’intéresse aux salariés des startups à succès !



    Capacité à apprendre + Leadership + Motivations dynamisantes = Potentiel


    #2 - Les startups recherchent (avant tout) des potentiels

    Quand on a pas les moyens de recruter des collaborateurs à 100 K euros par an, ou des profils ayant de 5 à 10 ans d’expérience, il n’y a qu’une seule solution : dénicher des diamants encore un peu bruts et les tailler pour en faire des joyaux. S’il y a bien une chose par laquelle les startups sont obsédées, c’est bien la détection du potentiel de leurs futurs collaborateurs.

    Et ce potentiel n’est pas bien compliqué à définir : 1 - Capacité à apprendre, 2 - Leadership en devenir et 3 - Motivations dynamisantes. Ce trio est LE combo gagnant pour s’assurer de ne pas avoir à sortir le nouveau au bout de 6 mois à un an !

    Pour les capacités d’apprentissage, concentrez-vous sur ce que l’on appelle le facteur G. En gros, il s'agit de la capacité à acquérir rapidement de nouvelles connaissances et compétences. Concrètement, ce genre de facteur s’évalue en moins de 20 minutes à l’aide de n’importe quel test pas trop mal conçu. Vous pensez que vos candidats n’accepteront jamais de se plier à ce genre d’exercice ? Pensez plutôt à ce qu’il vous en coûtera lorsque le nouveau se retrouvera à peiner lamentablement et à planter l’équipe toute entière parce qu’il ne parviendra pas à élever son niveau de jeu...
    Le leadership naissant se voit dans la personnalité du candidat. Est-il capable de s’affirmer de façon positive, sans agressivité ? Vous donne-t-il l’impression de fuir les situations délicates ? Préférera-t-il cacher les problèmes plutôt que de les porter à la connaissance de son futur manager ? Aura-t-il le courage de faire entendre sa voix ? Si vous repérez un candidat qui semble convenir, la question que vous devez vous posez est la suivante : « Est-ce que chez nous, dans notre environnement, on accepte vraiment des candidats de ce type ? ». De mon expérience personnelle, c’est surtout ce point qui pose problème dans de nombreuses entreprises… Si c’est le cas, faites le nécessaire pour faire évoluer les choses. Si vous pensez que c’est impossible et hors de votre champ de compétences, changez d’entreprise (ou de job), sans attendre !
    Enfin, quand on parle de motivations dynamisantes, c’est par opposition aux motivations de préservation. Etre mis en mouvement par des motivations dynamisantes, c’est vouloir jouer « pour gagner » plutôt que « pour éviter de perdre ». Dans un environnement où tout va vite, ou l’incertitude règne en maître absolu, où la complexité est partout et l’ambigüité quasi quotidienne, impensable d’espérer voir un candidat s’épanouir et progresser de façon continue si celui-ci possède une véritable aversion pour le risque. Interrogez vos candidats sur ce qui les poussent à l’action, sur les raisons qui commandent leurs choix de carrière ou encore sur les accomplissements dont ils sont les plus fiers. Vous en apprendrez énormément sur ce qui compte pour eux et qui les pousse réellement (ou pas) à l’action.

    Dans un contexte de transformation technologique et surtout culturel tel que celui que nous traversons en ce moment, il y a toujours deux types d’acteurs : ceux qui « thrive », qui sont naturellement à l’aise... et les autres.

    Grosso-modo, rapport au monde de l’entreprise, on peut faire deux catégories : les startups (purs produits de l’époque !) et les entreprises plus traditionnelles (PME classiques, grands groupes, cabinets de conseil historiques…) souvent engluées dans des pratiques d’un autre âge (recrutement, management, façon de motiver les personnes, de les faire évoluer…).

    En ce moment, l’une des préoccupations de ces acteurs historiques, c’est de parvenir à attirer les talents qui leur permettront de gérer efficacement la transition de l'ancien modèle (structure classique) au modèle actuel (plus agile, plus réactif et définitivement plus en phase avec les enjeux du moment).

    Si vous souhaitez gagner du temps sur vos concurrents et commencer à grossir les rangs de la boite de profils à même de lui faire passer un cap, je vous conseille vivement de vous intéresser à la façon dont ceux qui l’ont déjà fait procèdent, et de copier leurs méthodes, tout simplement. Après tout, l’imitation est quand même l’une des techniques les plus efficaces lorsqu’il s’agit d’acquérir - rapidement - de nouvelles compétences !

    Prêts ? Allez, jetons un œil ensemble sur la façon dont les startups à succès recrutent...



    Les diplômes ne permettent pas d'identifier ceux qui sont capables de créer de vraies différences au quotidien.

    Les startups savent que la culture est tout !

    La culture, c’est l’atout numéro #1 pour une startup. D’ailleurs pensez à ça 2 minutes… Quand vous payez 20 à 40% de moins qu’une grosse boite, que vous n’avez pas de CE avec des vacances pas chères aux Mexique, et que vous promettez surtout des journées à rallonge (avec pizzas et bière au menu), sur quoi pouvez-vous vous appuyer pour attirer les meilleur(e)s ?

    Réponse : sur le sens, le « meaning », le « purpose » ! En quoi votre entreprise participe-t-elle à rendre le monde véritablement meilleur ? Quelle contribution permettrez-vous à vos futurs collaborateurs d’avoir dans ce projet ? Si vous n’avez pas de réponse immédiate à proposer, vous devriez sans doute retravailler un peu votre discours avant de mettre la moindre annonce en ligne.

    Soyons clairs, la plupart des - bons - candidats se moquent du nombre de RTT qu’ils pourront prendre dans l’année, ou de la petite liste exhaustives des tâches qu’ils auront à accomplir au quotidien. Si vous leur proposez un vrai projet et que celui-ci transparaît au travers de vos annonces (avec l’ambiance de l’équipe, les valeurs réelles de la boite… ce qui compte vraiment en somme), vous n’aurez plus jamais à vous gratter la tête devant un ATS vide de candidatures de qualité !



    Quand elles repèrent un Candidat "Alpha", les startups à succès sont capables de passer à l'action rapidement.


    #4 - Les startups dégainent vite

    Même si chaque startup est convaincue de changer le monde à sa façon, elles savent toutes qu’elles ne sont pas les seules à proposer une aventure passionnante ! Du coup, pas question de faire mariner les candidats « alpha » ou de multiplier les entretiens pour le plaisir. Elles sont capables d’aller vite, de passer à l’action rapidement. Et si elles sont en mesure de le faire - de manière confiante - c’est parce qu’elles se concentrent sur l’essentiel (voir les trois critères décrits plus haut). Fin de l'histoire.

    Et pour ça, pas d’autre solution que d’adopter une approche « data centric ». Vous ne pouvez pas (plus) vous concentrer seulement sur les ressentis des recruteurs. Vous devez agréger de la donnée sur chacun des prétendants, et rapidement. Notez qu'ici, je ne vous parle pas du CV (overrated et « so 2005 »), mais de scores à des tests de facteurs G, indicateurs de personnalité, facteurs de motivations mais aussi présence sur les réseaux, contributions apportées sur la toile...

    #Recruteurs : le monde a bougé, le métier se transforme ou, plutôt, s’est (déjà) transformé. Plus personne n’a les moyens de faire une confiance aveugle en la parole du grand gourou du recrutement pour prendre une décision aussi capitale que le choix des personnes qui vont écrire le futur de la boite. Vos ressentis restent importants, mais nous sommes désormais dans un monde de data où des millions de traces numériques et d’informations essentielles sont à votre disposition pour vous permettre de sélectionner les meilleurs et de transformer votre entreprise pour lui éviter la « mort par disruption programmée ».

    En somme, vous n’avez qu’un choix à faire : faire avec les nouvelles règles, ou accepter de perdre la partie.
    J'ai toujours voulu répondre au mec "Mais du coup, si on est pile le négatif de tout ce dont tu énonces, on fait quoi ?"

  18. #198
    Ce concentré de bullshit, c'est tellement beau.

    Citation Envoyé par Molina Voir le message
    J'ai toujours voulu répondre au mec "Mais du coup, si on est pile le négatif de tout ce dont tu énonces, on fait quoi ?"
    C'est la lose. Tu vas rater la chance de ta vie de te faire exploiter à bosser comme un malade pour un salaire de misère dans une boîte qui va couler à la fin de l'année.

  19. #199
    Ca me rappelle les articles recents tentant de vendre le concept de "hacker house" comme paradis pour les jeunes... mais oui, soyons tous stagiaires dans un dortoir, a bosser 70h/semaine, et vu qu'on vit avec son patron et ses collegues, meme le jour de repos n'est qu'un jour de boulot un peu plus lent
    Les calipers, c'est pas garanti

  20. #200
    Bougez pas, ce soir ou demain je vais vous scanner un article que j'avais photocopié dans une ancienne boite, un truc genre "management magazine".
    Ca t'explique sur une double page que l'employé est toujours un gros enculé, que pendant des années il se laisse récurer le fondement avec des graviers marinés au tabasco mais que quand il dépose sa démission cette enflure, ce sous-homme, cette raclure de bidet refuse de te donner son âme pour un salaire misérable.
    Mon N+2 de l'époque laissait ce genre de magazines de merde traîner sur son bureau dans un open space, et cet article là m'avait tellement traumatisé de connerie que j'en avais fait une photocopie que j'ai gardé.

  21. #201
    On appelle ça la "sélection naturelle"

  22. #202
    Citation Envoyé par OMar92 Voir le message
    Un aspect que je n'avais pas évoqué lors de mon message précédent, c'est l'aspect psychologique.

    Ceux qui crachent sur les chômeurs en les traitant de fainéants sont des cons (ouais, je balance grave, je crains dégun)...

    Quand je me suis retrouvé au chômage, la première chose qui m'a manqué, c'est l'aspect humain du travail ; plus de pause de 10h00 à la machine à café, plus de resto d'entreprise qu'on passe à refaire le monde, etc.
    On se retrouve un peu seul, à faire quelques sorties pour aller aux entretiens ou pour faire les courses, et les jours passent...
    Alors oui, au début c'est sympa ; on en profite pour faire tout ce qu'on n'avait pas le temps de faire, mais après, ça devient long.
    Au final, on ne sort plus que pour aller voir des amis ou d'ex collègues, qui parlent souvent boulot, et on se sent exclus de la conversation.
    On descend à vitesse grand V dans la considération de la société.
    - Moi je bosse à la SNCF,
    - Moi je bosse chez Vivendi,
    - Et toi tu bosses où?
    - Ben, je suis au chômage.
    - Ha...?
    On a parfois l'impression d'avoir choppé une grave maladie.
    Quand on n'entend pas "Ha ben c'est les vacances alors"...
    Et plus le temps passe, plus les indemnités baissent, plus son CV devient vieillot et on le sent dans les entretiens (c'est plus facile de retrouver un taf au bout de 3 mois de chômage qu'au bout de 15 mois...).
    Et plus la fin de droit approche, plus on se demande comment on va s'en sortir, et plus on est près à accepter n'importe quoi.
    On dirait ma mission actuel
    Nuh

  23. #203
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  24. #204
    Citation Envoyé par OMar92 Voir le message
    Un aspect que je n'avais pas évoqué lors de mon message précédent, c'est l'aspect psychologique.

    Ceux qui crachent sur les chômeurs en les traitant de fainéants sont des cons (ouais, je balance grave, je crains dégun)...
    Je n'ai pas fait beaucoup de chômage mais j'ai connu aussi pas mal de longues périodes d'inter contrats et du coup j'ai eu le même sentiment.

    - J'ai demandé le même salaire que mon précédent boulot (dans mon esprit, je ne valais pas plus que ce que valait avant, mais c'est stupide ; ma valeur ne dépend pas de ce que je pense valoir, mais de ce que le marché demande).
    J'ai fait pareil

    - Quand le jour de signer le contrat (la veille de démarrer la mission), j'ai vu que le salaire était de 1000€ de moins que prévu, j'ai rouspété, mais j'ai signé quand le commercial m'a dit "Ah bon? T'avais pas dit ça? Bon, on s'arrangera après"... oui, effectivement, 1 an plus tard j'étais augmenté de 1000€... j'avais juste perdu 1€ et de facto, je n'avais pas été augmenté, puisque j'avais juste ce que je demandais...
    Ils osent tout. Et s'ils connaissent ta situation (c'est à dire que tu peux difficilement refuser), il ne se gênent pas, ils tentent tout, grattent de manière éhontée.

    J'ai eu un peu le cas pour ma nouvelle SSIII (de merde) et ma mission (de merde) commencée il y a moins d'un mois.
    Depuis le début, je demandais mon ancien salaire, pas plus. Tout le monde était d'accord.
    Quand il y a eu la confirmation du client et que c'était le moment de signer le salaire.
    Le gars a commencé à me promener à base de "je peux pas vous proposer plus blablabla... j'ai les poings liés par les achats et mon chef gnagnagna".
    Ensuite ça s'est transformé en une proposition du style "si vous acceptez encore moins de brute, je peux par contre compenser avec des (faux) frais de missions histoire d'avoir le même pouvoir d'achats qu'avant"
    Après, il a enchainé avec "bon, je peux vous proposer le salaire rabaissé comme on a dit mais par contre je m'engage à augmenter à la valeur initiale janvier 2017. Et comme je vois que vous êtes réticent, se sera contractualisé... dans un mail... que je vous enverrais après avoir signé"

    Je n'étais pas tout à fait le couteau sous la gorge et je ne suis plus aussi naïf et arrangeant avec les SSII à force d'avoir des douleurs annales, j'ai bien fait comprendre que je ne signerai pas et qu'il pouvait appeler le client pour lui annoncer qu'il pouvait se remettre à chercher quelqu'un d'autre.
    De mon côté, j'avais commencé à contacter un ancien commercial sympa de ma SSII précdente pour voir si c'était possible de passer par lui vu les circonstances. Il ne me manquait que l'accord du client.
    Alors que j'essayais difficilement de rentrer en contact avec le client (je n'avais pas le num de tel et c'était au mois d'août), le gars a finalement accepté le salaire demandé initialement.
    J'étais, pour une fois, légèrement en position de force, je n'ai pas lâché et j'ai bien fait, le mec s'est un peu trahi, il voulait simplement gratter le plus possible pour prétendre à une belle prime à la fin de l'année.

    M'enfin, il a quand même gratter la prime de vacances (10% de ton brut par mois, obligation syntec) en l'incluant dans le calcul du brute les enculés.
    Jusqu'au bout !


    - Je n'ai pas vérifié les clauses de mon contrat, le coup du "L'employé peut être amené à effectuer des missions de courtes ou longues durées, en France ou à l'étranger", était clairement pourrie...
    Malheureusement, cette clause est devenue systématique en SSII

  25. #205
    Citation Envoyé par Altyki Voir le message
    Malheureusement, cette clause est devenue systématique en SSII
    Ca ne la rend pas légale.
    Mes propos n'engagent personne, même pas moi.

  26. #206
    En fait l'armée te demande moins de sacrifice mais te paie en retard .

  27. #207
    Citation Envoyé par Altyki Voir le message
    Malheureusement, cette clause est devenue systématique en SSII
    Moi je l'ai pas sur mon contrat.
    Nuh

  28. #208
    Citation Envoyé par LeChameauFou Voir le message
    à peu près le même ratio pour les concours Bibas et magasinier des bibliothèques. Sachant qu'en externe, il y a moult faux externes qui sont déjà dans la profession en tant que contractuel.
    C'est pas le ratio inscrits/reçus qu'il faut regarder, c'est le ratio présents/reçus. Tu as toujours beaucoup d'inscrits qui ne se présentent jamais aux épreuves.

    Citation Envoyé par ERISS Voir le message
    Dans l'Education Nationale (et autres 'services publics'?), les formations permettent de limiter l'embauche de diplômés, trop chers selon leurs supérieurs: le formé fonctionnaire-de-base n'est pas payé plus que son smic/smic-et-demi, ni salaire ni prime rajoutée.
    Sauf pour les hauts cadres, qui sont toujours nombreux, et avec des primes scandaleuses, comme c'est ceux qui décident des embauches, payes et propositions de formation...
    Ben non, c'est le grade qui détermine le salaire, la grille est la même quel que soit ton niveau de diplôme, donc je vois pas trop ce que tu veux dire. Et ça ne change pas non plus en fonction des formations pro que tu suis...

  29. #209
    Bordel, on avait dit "vous ne lui répondez pas". Ne condamnez pas ce topic sans DRM

  30. #210
    Citation Envoyé par Snakeshit Voir le message
    En fait l'armée te demande moins de sacrifice mais te paie en retard .
    D'ailleurs, chose plus inconnue, quand tu es un civil qui bosse pour le ministère de la Défense, ta paie aussi est en retard.
    L'égalitarisme, quoi.

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