On a les mêmes éléments à disposition. Après certains prennent le temps de les chercher et de les comprendre, certains ont 2 bac+5 en physique et chimie des matériaux, 15-20-25 ans d'expérience dans divers domaines, ... Et ça ne leur donne pas raison (l'argument d'autorité, ça pue la merde, no exception en science), ça a juste donné une occasion de prendre le temps de comprendre lesdits éléments à disposition.
C'est qu'on est dans un sujet où TOUT le sujet est une question d'ordre de grandeur (le volume à produire, à stocker, les risques, ...), en supprimant la question, on supprime le sujet. cf le rapport RTE : avec des économies d'énergie magique non justifiées, on prend une hypothèse de dimensionnement qui permet d'avoir des alternatives et des débats. Si on se dit la vérité dans l'état de l'art et le constaté, on part sur un dimensionnement au moins 30% plus haut, et là, il n'y a plus d'alternative possible.J'ai voulu aborder ce thème (les fondements, +/- rationnels, de notre position sur le sujet), mais je me rends compte que maladroit comme je suis ça n'ira nulle part, je laisse tomber !
(et merci pour les réponses)
Le rapport de RTE est plutôt bien fait si on accepte l'hypothèse de 600TWh/an. Si on pense que le vrai chiffre, c'est au moins 800, ça marche plus. Et comme cette hypothèse est mise hors débat...
Et c'est là mon problème avec ces expériences de pensée.