Puisque je suis dans l'écolo-déprimant, relu aussi La fin du rêve, de Philip Wylie.
Bien sombre, comme on l'imaginait régulièrement vers le début des années 70s : faute de lois sévères, les déchets étaient balancés partout sans retraitement et on imaginait donc un avenir de rivières sans vie, voire en feu, de plantes mutantes et d'atmosphères mortelles et radioactives. Mais pas de réchauffement ou de couche d'ozone trouée.
Finalement ça ne s'est pas produit comme prévu, mais le fond reste d'actualité : refus de sacrifier la consommation et le niveau de vie à la protection de l'environnement, donc résultat final proche, quoique un peu plus tardif...
Dans le style, "un paysage du temps", le premier? livre de Benford, est pas mal du tout.