Bah disons que dans le cas de Corto, ça fait partie du style, l'esprit balade plus ou moins onirique, tout ça. D'ailleurs les derniers albums sont les plus 'déconstruits', c'est donc une volonté d'auteur.
Alors que pour Tintin au Congo, on sent plutôt que c'est dû à l'inexpérience de Hergé, la série devenant au contraire mieux structurée par la suite.