CPC Séries - Avec un OP tout moisi

[Poussin Joyeux]

Space Force sur Netflix ça fait vraiment toc.

Les acteurs sont biens, il y a des idées. Mais l'écriture manque d'un savoir faire technique, le montage n'aide pas. La gestion de la Space Force manque de crédibilité, le zero conviction dans le techno babble, les personnages sont pas particulièrement sympathique.

C'est commun pour une comédie d'avoir des débuts difficiles, mais là c'est très décevant.

Oui j'ai regardé le premier épisode et je suis dubitatif sur la suite...

[Pouetster]

j'ai essayé mindhunters.

c'est lent

A la base je suis pas fan des trucs policiers, j'ai mis ca pour madame. Ca ne commence a decoller qu'a la moitié du 2nd episode, avec les confessions de kemper. Et encore, decoller est un bien grand mot...

Bon, c'est pas non plus totalement denué d'interet ce voyage dans la psyché des serials killers, mais j'ai l'impression d'avoir vu 100 series, films, reportage qui abordent le sujet de maniere moins soporifique.


D'ailleurs,c'est moi ou j'ai l'impression que 90% des series n'est qu'une succession de dialogues entre acteurs, avec les scenes d'action completement laissées de coté quelque soit le sujet? Je me suis recemment ennuyé a mourir devant the irishman, pour un film de gangsters mafieux ca passe 1h50 a discuter autour d'une table, et il parait que ca fait un carton sur flix

[Bebealien]

Mindhunters, en effet le rythme est lent, mais tu vas voir, c'estun peu comme The Wire, si tu as le courage de continuer, tu vas vraiment aimer. Il faut juste lui laisser le temps de s'installer.
C'est un slow burner, comme on dit aux iouaisse

[Woulfo]

Tu peux remplacer The Wire par toute série lente que tu appréciés.

[Daedaal]

Il est très bien Mindhunters, mais spas une série policière d'action avec l'habituelle course contre le crime. La tension est ailleurs.

Profitons-en pour lister les derniers errements sériesques de votre humble (pas toujours) serviteur. J'vous préviens, y'a rien à sauver.

Into the Night : Série plus belge qu'un Manneken Pis urinant du waterzoï. Les acteurs sont tous des natifs représentatifs de la diversité culturelle belgo-européenne. C'est bel et bon lorsque ces derniers s'expriment dans leur propre langue, sauf que c'est rarement le cas et que le soin porté à la sélection ethnique des comédiens l'a visiblement été au détriment de leur simple capacité à jouer juste dans la langue principale du flim.
C'est d'autant plus regrettable que le scénario est très original. Nan, j'déconne.
C'est du poncif assez poussif : Huis-clos avec une menace implacable qui rythme l'urgence. Mais c'est fait proprement. Peut-être un peu trop, justement. Un des points que j'aime habituellement dans les productions outrequiervaines, c'est le côté intimiste sordide -si j'ose dire-. Le fait qu'elles abordent souvent des sujets assez durs avec talent et le petit bout de la lorgnette.

Remontons vers le nord de l'Europe avec Case : J'évoquais l'intimisme sordide, là on est pile dedans. Pour résumer la série en une phrase, ce sont les errements alcoolisés d'un Dr House avocat dans le milieu des (très) jeunes danseuses classiques. Y'a des coucheries intergénérationnelles, du sang, de la drogue, du harcèlement... Et un bon gros paquet de facepalms pour accompagner le tout, passque même si je suis bon public, y'a des limites à tout.

Un rapide passage en germanie du haut nous apporte alors Perfume. Rien qu'avec le titre, j'ai 200 jeux de mots pourris qui me viennent pour décrire cette expérience sensorielle.
Le scénar est assez classique somme toute : Un cadavre mutilé, une bande de potes d'internat... Ça baisouille dans tous les sens comme à la douce époque de la découverte printanière des premiers émois à plusieurs, certains plus ou moins consentants. Malgré la tragique disparition dont au sujet qu'elle est quand même la base de l'intrigue, la série enchaîne les plans nichons avec une finesse toute teutonne.
Qu'on en juge par les 2-3 premières minutes qui -en guise de mise en situation- nous font suivre la victime putative, à poil en train de faire langoureusement des longueurs (comme celles de la séquence en question).

Mais là où Dark -autre teutonnerie assumée- est d'une méticulosité maniaque dans l'exactitude, Perfume y va a grand coup de hors-champ et de deus ex machina du montage. Avec des flashbacks tronqués par exemple.
En même temps... Tronquer n'est pas tromper (paraît-il) et heureusement : Sans ces artifices, le scénar aurait tenu sur la tranche d'une feuille de Lotus™.

Sont ensuite venus Ares, puis Fortitude. Mais le traumatisme est encore trop vif pour que j'ose mettre des mots sur ces expériences narratives.
Et ce post est déjà assez long.

[LaVaBo]

Malgré la tragique disparition dont au sujet qu'elle est quand même la base de l'intrigue

Baisse un peu le rythme, tu finis par avoir des crampes de formulations alambiquées.

[Daedaal]

Je revendique la plus totale intentionnitude de cette lourdeur sémantique et je me retire de cette vie de glose sériesque tout en battant ma coulpe avec une vigueur que seuls les coups de boutoir (répétés) à l'entendement d'un I-Land peuvent atteindre je te merde !



Note que si c'était pour dire banalement "la série te balance des plans nibards, cul, bite, poils toutes les deux secondes sur fond d'une intrigue moyenne à base de rapports adolescents plus ou moins consentis et de fantasmes d'un niveau freudien de 1ère année en socio-psycho. Et à dreadlocks et djembé le bougre." Autant se contenter d'un laconique :

De
La
Merde.

Mais comme c'est plus nuancé...

[Maga83]

Space Force saison 1

Je suis mitigé... entre la golerie potache et la satyre politique de notre POTUS préféré du moment.

Pas totalement con mais quand même.

John Malkovich est royal dans le rôle du scientifique borderline et les seconds rôles sont top dans la bêtise mais dans le bon sens du terme.

En 10 épisodes dont certains sont à éviter tellement que c'est nul (2 ou 3 mais pas plus, le reste est de bonne facture).

Mention spécial à l'épisode 6 à voir en VF....

Malkovich qui chante en français avec la traduction VF de Netflix en sous-titres.... rien que du bonheur... de quoi mettre à plat tout un pan de l'éducation nationale des langues.

Du Google trad avec l'algo qui est partie aux fraises... je ne sais pas si c'est intentionnel mais si c'est le cas.... du grand art.

Allez... une petite note : 07/10 sur mon échelle de : c'est le bordel mais c'est drôle.

[earthcake]

Quand tu sais que Malkovich* est "far right", comme ils disent là-bas, ça ouvre un prisme de lecture.


* : Dans son boulot d'acteur il est vraiment excellent, mais ça fait une vingtaine d'années qu'il ne se cache pas, bien au contraire, il assume à chaque fois pleinement ses saillies ultra droitières. Il n'a pas l'envergure d'un Clint Eastwood, mais son discours est pas loin d'être pire.

[Hochmeister]

Mais là où Dark -autre teutonnerie assumée- est d'une méticulosité maniaque dans l'exactitude, Perfume y va a grand coup de hors-champ et de deus ex machina du montage. Avec des flashbacks tronqués par exemple.
En même temps... Tronquer n'est pas tromper (paraît-il) et heureusement : Sans ces artifices, le scénar aurait tenu sur la tranche d'une feuille de Lotus™.

Je te trouve encore assez gentil avec cette série. C'est tout le sérieux allemand dans un bidule putaclic et le scénar tient bien sur une feuille usagée de Lotus™. C'est même agaçant de voir à quel point tout est bien agencé et milimétré dans la réalisation, les acteurs sont bons aussi mais au final c'est juste plus cru qu'un scénario TF1 mais pas plus abouti...

[Bebealien]

Quand tu sais que Malkovich* est "far right", comme ils disent là-bas, ça ouvre un prisme de lecture.


* : Dans son boulot d'acteur il est vraiment excellent, mais ça fait une vingtaine d'années qu'il ne se cache pas, bien au contraire, il assume à chaque fois pleinement ses saillies ultra droitières. Il n'a pas l'envergure d'un Clint Eastwood, mais son discours est pas loin d'être pire.

On s'en fout, non ? Est ce qu'on fait une remarque à chaque fois qu'on regarde le film d'un mec très à gauche ? On s'en fout, on leur demande juste de jouer bien et pour ceux qui réalisent de faire de bons films. Leurs opinions politiques m'intéressent autant que l'avis d'un footballeur sur la conquête spatiale.

[Daedaal]

Je te trouve encore assez gentil avec cette série. C'est tout le sérieux allemand dans un bidule putaclic et le scénar tient bien sur une feuille usagée de Lotus™. C'est même agaçant de voir à quel point tout est bien agencé et milimétré dans la réalisation, les acteurs sont bons aussi mais au final c'est juste plus cru qu'un scénario TF1 mais pas plus abouti...

Effectivement -et si mes souvenirs sont bons- la "solution" est dans le tout premier flashback, coupé aussi abruptement qu'un prépuce pendant une bar-mitzvah pour laisser place à une saison de minauderies qui en revient au même point.

Comme tu le dis aussi, c'est d'autant plus triste que spas si mal mis en image (même si le technicolor des flashbacks c'est abusé de banalité) ou joué. Mais la réalisation est une purge totale. Et vas-y que je t'intercale de longues secondes de plans morbides sur les cadavres entre deux copulations et 3 plans nichons.

C'est dommage, avec un peu d'inspiration y'avait sérieusement moyen de moyenner un truc très sympa sur le même présupposé ('doit y avoir des romans/flims sur des thèmes proches si ma mémoire est bonne). Si j'avais le moindre talent je l'écrirais tiens...

[Poussin Joyeux]

Space Force saison 1

Je suis mitigé... entre la golerie potache et la satyre politique de notre POTUS préféré du moment.

Pas totalement con mais quand même.

John Malkovich est royal dans le rôle du scientifique borderline et les seconds rôles sont top dans la bêtise mais dans le bon sens du terme.

En 10 épisodes dont certains sont à éviter tellement que c'est nul (2 ou 3 mais pas plus, le reste est de bonne facture).

Mention spécial à l'épisode 6 à voir en VF....

Malkovich qui chante en français avec la traduction VF de Netflix en sous-titres.... rien que du bonheur... de quoi mettre à plat tout un pan de l'éducation nationale des langues.

Du Google trad avec l'algo qui est partie aux fraises... je ne sais pas si c'est intentionnel mais si c'est le cas.... du grand art.

Allez... une petite note : 07/10 sur mon échelle de : c'est le bordel mais c'est drôle.

Moi j'avais eu du mal avec le 1er épisode (suis un grand fan de The Office et ça avait été vendu comme le même genre) mais le 2ème est bien passé malgré sa potacherie.
Je trouve plein de trucs rigolo dedans et d'actualité (comme le fait d'avoir

Spoiler Alert!

une Tesla comme objet flottant près du satellite!

)

Et puis je suis content de retrouver "Jing-Yang" de Silicon Valley.

[Daedaal]

Bien chers canards, voici venu le temps de se recueillir confraternellement et d'accueillir Ares au panthéon de ce topic, comme nous avons accueilli avant lui I-Land, Another Life ou encore Salvation.

Car la vie d'une fraternitude n'est pas que fiestas, bière et cheerleaders faciles. Une fraternitude c'est avant tout un lien profond et transgénérationnel qui dépasse l'insouciance de la jeunesse et puise sa force dans la plus profonde intimité de ses membres.

Le canard, vif et alerte comme il se doit, se demandera à ce stade si toute similitude avec un toucher rectal ne serait pas dès fois un peu intentionnelle.
La confusion est aisée, j'en conviens d'autant plus que les parallèles scatologiques sont troublants : Nous allons dans les deux cas toucher du doigt la matière la plus noire dont nous sommes faits.

Et aussi, c'est

De
La
Merde.

Examinons ensemble (déconnez pas, je reste pas seul pour un truc pareil ) ce dont au sujet duquel il est question.

Je vous pitch le bouzin en 1 mot : DRRRROOO00000GUUUUEE333

Enfin c'est l'effet que ça m'a fait. A ma décharge (et celle à laquelle appartient cette série) tout se passe à Amsterdam.
J'imagine que le scénar a été écrit sur le coin d'une nappe dans un coffee shop sordide et que "par chance" le projet a vu le jour.

Amsterdam, donc... Théâtre de bien des turpitudes depuis la bête qui habitait ses canaux et haut lieu des pays bas, de la DRROOOOGUUUEEE et de la prostitution européenne. Et aussi pays de la langue la plus moche de la planète (ex-æquo avec le Luxembourgeois) et détenteur du record de tourisme extranational (encore une fois talonnée par les Lulus).

J'ignorais béatement que des étudiants puissent fréquenter ces lieux pour autre chose qu'un A/R psychotropé vers leurs universités.
Quelle erreur !!!


Il apparaît donc qu'Amsterdam abrite un campus dont le look et l'organisation n'a rien à envier aux célèbres ramassis d'andouilles post-adolescentes que sont les universités américaines. Profitez bien, y'aura que 10s de séquence en plan extérieur, le reste sera intimiste et introspectif dans des proportions qui forcent le respect (et rappellent -à terme- la fistinière).

Nous allons donc suivre les aventures de Pimprenelle -jeune fille de mauvaise famille défavorisée- dans son ascension au sein d'une fraternitude -donc- qui serait plutôt du genre guindé du cul col.
Ah oui, dans Preacher, c'est les chapeaux mais ici on portera son attention sur les cols. Du grand art !

Sauf que non.

Ce qui aurait pu être une somptueuse critique sociale s'avère finalement un leak d'une vidéo de promo interne pour les illuminatis-sino-reptiliens de la CIA qui démontre de manière irréfutable que ces sombres pingouins de néerlandais n'auraient jamais étendu leur règne colonial au delà du Quiérvain sans l'aide d'une sombre puissance aussi malsaine qu'insidieuse.

Ah oui, la série... Ben c'est la mise en images plus ou moins adroite d'un deus ex machina dont la gluance méphitique serait la cause malfaisante de la prolifération de touristes avec un autocollant NL sur l'autoroute du soleil.

Son intérêt réside dans la progression du nawak plus que dans son scénario per se.



Dans une prochaine causerie, nous aborderons Fortitude qui remugle très fort le déjeuner moitié digéré d'un ours blanc.

[DangerMo]

Fini Homecoming Saison 2, très sympa et beaucoup plus léger que la saison 1.

Je poursuis Tales from the Loop (j'en suis à l'épisode 6). Très belle exploration, à chaque épisode, d'épisodes marquant de la vie de chacun, un entrelacements d'histoires qui finalement ne nous parle que de ce que nous sommes et de différentes phases que l'on rencontre dans la vie en utilisant un biais science fictionnel.
Ca tombe bien, je suis dans une grosse phase Nina Allan en lecture en ce moment et on retrouve dans la série quelques "outils" scénaristiques et de références croisées qui donnent l'impression d'un assemblage millimétré.

[revanwolf]

Je poursuis Tales from the Loop (j'en suis à l'épisode 6). Très belle exploration, à chaque épisode, d'épisodes marquant de la vie de chacun, un entrelacements d'histoires qui finalement ne nous parle que de ce que nous sommes et de différentes phases que l'on rencontre dans la vie en utilisant un biais science fictionnel.

J'arrive pas à me motiver à le finir, pourtant j'ai bien aimé le 1er épisode mais la suite c'est succession de tous les clichés du genre(j'ai vu que 5 épisodes).

[Next]

Tales From The Loop ya vraiment que les épisodes 1, 2, 4, 6 et 8 qui valent le coup. Mais oui c'est conçu comme un tout.

[Cassin]

J'arrive après tout le monde mais, le dernier Legends of Tomorrow

[Yog-Sothoth]

Ça doit faire 2 semaines que j'ai pris OCS le temps de faire le tour de ce qui m'intéresse (1 mois, 2 au plus).
Sans vraiment de surprise, je suis content de ce que je vois, c'est la seconde fois que je m'abonne (la 1ère c'était pour voir toute la série GoT 1 à 7), je ne "teste" pas vraiment. Je regarde uniquement ce qui me manque sur Netflix.

Sur vos conseils j'ai commencé par Banshee, je suis étonné que ce soit une œuvre originale, on dirait tellement un comic. Les personnages, les situations, les bastons...
Globalement réussie, avec certains personnages qui m'ont vraiment emballés, qui compensent largement les rares qui m'ont agacé (dont le héros, faut le faire).
Le rythme reste assez bon, je n'ai pas ressenti cette impression d'épisodes à rallonge, qui m'arrive si souvent sur les séries modernes. La saison 4 m'a moins plu, mais le binge watching a forcément joué.
Par contre ils ont battu GoT sur les scènes de baise, je ne vois toujours pas l'intérêt.

Ensuite j'étais impatient de découvrir ce qu'ils ont fait de Watchmen, ça marche bien d'inventer une suite, de voir l'évolution des USA après l'histoire originale.
Je me suis emmerdé pendant les 2 épisodes sur le passé, déjà que je trouve que les flash-backs sont souvent pénibles, là ça coupe carrément la saison.
Je comprends leur décision d'arrêter sans le showrunner, mais c'est un peu dommage. Ils ont repris quelques perso pour faire le lien (je pense que Jon n'est pas mort, il est immourable), ils auraient pu faire d'autres saisons toujours différentes, ailleurs.

J'ai lancé Westworld avec un gros a priori négatif, je me suis dit, si après 2 ou 3 épisodes j'accroche pas, je passe à autre chose.
Eh bien ça fait vraiment longtemps que je n'ai pas autant aimé une série. Je viens de finir la première saison, je suis content par tout ce que j'ai vu.
C'est intelligent et cohérent, l'histoire égrène ses indices sans que tout soit prévisible des heures à l'avance, la plupart des acteurs sont top.
Après 30 minutes de la saison 2 (le temps de faire le lien) je suis très curieux de voir l'évolution.

Quand j'aurai fini j'attaquerai l'ultime saison de GoT, pour finir déjà, et pour me faire un avis sur le scandale que ça a créé.

En même temps sur Netflix, je regarde la saison 22 de South Park, pas de surprise je passe un bon moment, je ne me lasse pas de leurs conneries.

Et j'ai abandonné Paradise Police vers l'épisode 6, j'en peux plus, c'est très mauvais et ça ne s'améliore pas.
Le mauvais jeu des acteurs sublime le manque d'écriture et les blagues qui se veulent faussement provocantes.
Et c'est moche, sans aucune personnalité.

[Wulfstan]

La saison 4 m'a moins plu, mais le binge watching a forcément joué.

Non, c'est plutôt normal. Pour des raisons financières (et d'arrêt de la série) ils se sont retrouvés à devoir faire tenir la trame initiale de la saison sur 8 épisodes au lieu de 10, et par conséquent tout paraît assez compact et rushé. Ce qui est un peu dommage étant donné qu'il y avait de nouveaux personnages intéressants dans celle-ci. C'est le seul défaut de la série pour moi, cette dernière saison qui laisse un goût un peu amer dans la bouche.

[Bebealien]

Sur vos conseils j'ai commencé par Banshee, je suis étonné que ce soit une œuvre originale, on dirait tellement un comic. Les personnages, les situations, les bastons...
Globalement réussie, avec certains personnages qui m'ont vraiment emballés, qui compensent largement les rares qui m'ont agacé (dont le héros, faut le faire).
Le rythme reste assez bon, je n'ai pas ressenti cette impression d'épisodes à rallonge, qui m'arrive si souvent sur les séries modernes. La saison 4 m'a moins plu, mais le binge watching a forcément joué.
Par contre ils ont battu GoT sur les scènes de baise, je ne vois toujours pas l'intérêt.

Banshee, c'est vraiment bien. Et le personnage de Bunker, l'ex neo nazi devenu flic est vraiment très très chouette.
Et surtout, à l'époque, c'était une des rares séries à vraiment tenter d'innover régulièrement sur la mise en scène. Mais depuis, plein d'autres choses sont arrivées sur grand écran.

[Woulfo]

J'arrive pas à me motiver à le finir, pourtant j'ai bien aimé le 1er épisode mais la suite c'est succession de tous les clichés du genre(j'ai vu que 5 épisodes).

Quels clichés ?

[theclaw]

episode 2 de StarGirl

Hmmmm...remodeler le costume avec un massicot et des machines à coudre ? Vraiment :D

Bon sinon le fils de Pat est insupportable. Heureusement il a déjà moins de temps d'écran que dans le 1. Avec du bol il sera transformé en gelée ou éparpillé façon puzzle rapidement.

Le format série aide pas non plus par rapport à un comics, parce que ça prend littéralement 1 semaine à Courtney pour embrasser sa nouvelle carrière, sans sourciller. Faut aller vite.

Je vais mater le 3 today, mais pour le moment c'est pas la catastrophe, c'est mieux que Batwoman par exemple.

[Praetor]

c'est mieux que Batwoman par exemple.

Batwoman est mal barrée de toute façon, ils ont viré l'actrice principale (Ruby Rose). Je ne suis pas convaincu que c'était elle le problème

[Cassin]

J'aime bien moi. La relation entre les deux soeurs est intéressante je trouve. Le reste... c'est une série CW

[Praetor]

J'aime bien moi. La relation entre les deux soeurs est intéressante je trouve.

Pareil. Les débuts furent laborieux, j'ai eu un peu de mal à accrocher, mais je trouve qu'ils se sont bien améliorés au fil de la saison.

[SNOC XUA TROM]

Batwoman est mal barrée de toute façon, ils ont viré l'actrice principale (Ruby Rose). Je ne suis pas convaincu que c'était elle le problème

C'est pas elle qui a voulu partir ?

[Praetor]

C'est pas elle qui a voulu partir ?

C'est la version officielle pour sauver la face, mais les rumeurs disent toutes qu'elle s'est faite virer (le déroulement des faits et les communiqués des uns et des autres correspondent plus à un licenciement qu'à un départ volontaire).

[revanwolf]

Quels clichés ?

Spoiler Alert!

Par exemple le bodyswap où un des deux veut pas retourner sur son corps originel même si celui-ci m'à pas dérangé plus que ça grâce aux twist final.
Ou la machine à arrêter le temps qui tombe en panne car utiliser trop longtemps avec le bonus la scène où le gars enlève le bracelet ainsi que le gros plan montrant la machine(faisant un peu trop "REGARDE C'EST UTILE POUR LA SUITE").

Après certains cliché typique sont mieux utilisé.

Spoiler Alert!

Genre le père qui à failli blesser sa fille avec le robot(je pensais qu'il allait la tuer donc ça m'a un peu surpris) et qui finis par se reprendre en main.

S'il y a un bon twist final ou un bon enrobage utiliser les gimmicks habituel de la SF me pose pas de soucis mais quand il sont trop évident ça me bloque.

[SuicideSnake]

Marrant parce que Batwoman, j'ai vraiment trouvé que c'était la pire série super héroïque que CW ai pu donner.

Pourtant, ils ont frappé fort avec les dernières saisons de Arrow et Flash mais là vraiment, c'est terrible.

La série souffre du fait qu'on voit beaucoup trop entre les épisodes que les réalisateurs/trices ne sont pas les mêmes. Un coup on va avoir un épisode avec de l'action hyper lisible et nerveuse ( la scène où elle est civil avec un masque lapin ) et d'autres moments où c'est juste... n'importe quoi mais sur toute les facettes du truc : jeu d'acteur, son, mise en scène ( le combat dans l'asile vers la fin de la série ). Ou encore, la série a parfois un côté "On veut faire du Nolan mais sans budget" ( je me souviens d'une intro en moto qui faisait très The Dark Knight ) et puis dans l'épisode d'après, on passe sur un truc limite cartoon ridicule.

Le truc qui me rend fou aussi, c'est que pour mettre en danger Batwoman, ils ont qu'un seul ressort : elle se fait surprendre par derrière et assommer. Ca arrive à quasiment tout les épisodes, c'est ridicule. Le pire c'est quand elle fixe son interlocuteur en face d'elle pendant 5 secondes avec la bouche ouverte en mode "Duh" et puis elle se fait assommer.



Sinon, je me suis remit à Legends of Tomorrow, les deux premières saisons sont des purges intersidérales. La troisième fonctionne un peu mieux.