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Tu preches un converti : moi aussi, il me parle a titre personnel.
Oui, moi aussi. Et c'est la aussi que j'ai un peu pardonne certains defauts parce que Ninja Theory n'est (enfin n'etait) pas un studio ayant vraiment les moyens de leurs ambitions mais ils ont vraiment un travail qui doit etre salue ; ils ont developpe des fonctionnalites telles que son binaural, performance capture dans de tout petits locaux, incrustation de visages en FMV, consultants medicaux/para-medicaux, pour lesquelles ils ont trouve de bonnes utilisations. Et je trouvais ca super sympa de pouvoir voir ca dans un making-of directement integre au jeu (meme si je me demande si de mauvaises raisons ont pousse a ca).
Bref, avec leurs moyens, ils ont vraiment du bon boulot, et ca transparait d'autant plus dans ce making-of.
Malgre, quelques defauts qu'il faut bien denoncer, quand meme.
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Je n'ai pas commencé le moindre jeu. J'ai honte .
Rusty Lake Roots terminé :
Une très bonne surprise !
J'en avais lu du bien mais je traînais un peu des pieds pour le lancer à cause de ma relation compliquée avec les Point'n click, il s'avère qu'il ne s'agit pas vraiment d'un PnC mais plutôt d'un "escape game" (pas sûr du terme) : on avance par scénettes dans lesquelles il faut résoudre quelques énigmes pour faire avancer le scénario ; pas besoin (ni possible d'ailleurs) de faire des allers-retours entre différents tableaux sans savoir quoi faire, ici tout les éléments nécessaires à la résolution d'une énigme sont disponibles sous nos yeux et pour moi ça change tout !
C'est peut-être lié mais le jeu ne m'a pas semblé extrêmement difficile (j'ai du bloquer un peu sur deux ou trois énigmes vers la fin), on y joue plutôt pour l'ambiance angoissante (qui m'a rappelé The Last Door, bien que le scénario soit très différent) et bien réussie j'ai trouvé, et les graphismes globalement assez jolis !
J'envisage maintenant de chopper les suites pour voir si elles sont du même tonneau !
La preuve :
Spoiler Alert!
Je vous mets un peu de rab' ?
Spoiler Alert!
Terminé A story about my uncle :
Un jeu avec un grappin, je partais conquis d'avance, mais j'en ressors assez mitigé après ~5h de jeu.
Les mécaniques de jeu (grappins, saut propulsé, et bottes-fusées) sont sympas, mais il n'y a pas grand chose d'autre à sauver.
Le character design des habitants de l'univers qu'on visite est affreux, la BO très discrète malgré un thème principal assez agréable, et le scénario inexistant.
Le dernier niveau est en plus de ça inutilement long et vide...surtout pour se taper cette conclusion, ça n'était vraiment pas la peine
A revoir en mode speedrun peut-être, mais je ne sais pas si j'aurais le courage et l'envie de m'y replonger.
J'ai commencé Killer is Dead mais je pense que je vais jeter l'éponge. Qu'il y ait de la difficulté à apprendre des combos, des patterns, à bien maitriser la synchro des blocages/esquive : pas de problème. Mais rester bloqué sur une phase de boss, à cause d'un QTE ou il faut juste bourriner une touche assez rapidement, c'est juste ....
Dommage, j'étais curieux de voir la suite du scénario même si je n'en attendais pas grand chose.
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TACOMA
Terminé ce 2ème jeu. Rapidement d'ailleurs, en 2h30, en prenant à peu près mon temps (sans toutefois faire 100% des succès, n'exagérons pas!)
On se retrouve dans notre vaisseau, sur le point de s'arrimer à la station spatiale Tacoma dont on ne connait absolument rien. On apprend rapidement qu'on a été envoyé afin de mener l'enquête pour déterminer ce qui était arrivé à l'équipage (petit équipage de 6 personnes), et également retrouvé un disque de sauvegarde de l'IA locale qui régit toute la station.
Dans le principe, ca m'a fait penser à Return of the Obra Dinn, que je venais de terminer également, à savoir qu'on se promène librement dans une station vide, et régulièrement, des enregistrements de scènes de l'équipage nous sont rejouées, enregistrements que l'on peut contrôler (pause, avance rapide, etc...), afin de voir la même scène en suivant chaque personnage. Bon, le principe reste finalement assez simple, puisque l'on peut se contenter de lire chaque histoire, et de passer à la suivante, parfois on trouve un code d'accès qui nous permet de lire un paragraphe supplémentaire, mais jamais aucune difficulté. C'est plus une histoire que l'on se contente de suivre en tant que spectateur plus qu'acteur. L'histoire d'ailleurs est relativement simple, ca avance rapidement, je n'ai pas eu le temps de m'ennuyer, et qui se termine avec un petit twist final, pour ne pas me déplaire.
Petit jeu donc sympathique.
Maintenant je vais essayer de me replonger dans Owlboy, mais l'ambiance très enfantine risque d'avoir raison de ma patience....
Oh en vrai Owlboy c'est pas si enfantin. Naïf oui, mais pas vraiment enfantin.
Alors, je viens de finir Undertale, sauf que je j'ai pas eu la présence d'esprit de faire un screen quand les crédits sont arrivés, et que le jeu n'a pas de succès associés sur Steam
Si quelqu'un a une idée pour que je puisse fournir une preuve, je suis toute ouïe.
C'était pas mal. Si j'avais bien sûr été au courant de la hype autour du jeu, je n'en savais pas grand chose, si ce n'est qu'il existait la possibilité de ne pas tuer ses adversaires. Undertale semble être ce qui se rapproche le plus d'un JRPG light, avec ses stats, son inventaires, ses personnages. avec comme originalité un système particulier qui fait ressembler les "combats" à un mélange de petites énigmes et de mini jeu. J'imagine que si Undertale a marqué, c'est un peu par sa loufoquerie et beaucoup par son questionnement du comportement habituel du joueur dans le jeux vidéo, où les monstres ne sont là que pour être tués (et rapporter loot et expérience). C'est effectivement bien abordé et assez futé mais j'ai été gêné par l’écriture par moment un poil prétentieuse, notamment pour les personnages de Sans et Flowey. Undertale par moment tu hurles "Hey, regarde comme je suis plus intelligent que les autres jeux, regarde je te dis !!!" et cela m'a plusieurs fois sorti du jeu. Et puis merde, c'est globalement moche visuellement parlant. Heureusement on est gâté au niveaux des musiques, certaines étant vraiment excellentes
Bref, j'ai plutôt bien aimé, j'en retiens surtout les combats que j'abordais comme des puzzles de point&click et 2-3 moments satiriques bien foutus. Et que décidément je suis ultra nul en shoot em upSpoiler Alert!
Pas dit que j'y retouche néanmoins, Attention gros spoil:Spoiler Alert!
Je dis des trucs dans un micro ! Le Samurai et la Soubrette, Décorticage d'anime / Du Geek O Gone: L'actu geek à Lyon / Un bar et j'y vais: Tour d'horizon des bars lyonnais
Fini Her Story. On incarne une personne faisant des recherches sur une affaire criminelle. Sur un ordi tout droit sorti des années 90 (très belle imitation d'écran cathodique), on accède à une base de données répertoriant les extraits des interrogatoires de la suspecte. Pour visionner ces vidéos, il faut les trouver en usant des bons mots clés, la recherche se limitant à 5 extraits par mot clé. Pour parvenir à reconstituer l'affaire, Il faudra donc gagner en précision et en pertinence afin de dénicher les vidéos importantes, les mots clés "neutres" ou bateaux n'apportant que des vidéos anodines...
Dans Her Story, l'auteur propose un travail sur la narration, auquel participe activement le joueur, car ça sera à lui de reconstruire le récit, suivant ses découvertes (rarement chronologiques). L'histoire parait de prime abord peu crédible voire abracadabrante, mais le jeu se révèle plus subtil qu'il n'y parait. En fait, comme dans toute enquête criminelle ou procès, on ne sait jamais où se cache vraiment la vérité. Même en ayant visionné toutes les vidéos, le récit conserve suffisamment de zones d'ombres et d’ambiguïtés pour laisser place aux doutes, aux interprétations multiples. Il reviendra donc à chaque joueur de juger l'histoire de cette femme, de se forger son "intime conviction", en quelque sorte. L'ensemble fonctionne grâce à l'excellente interprétation de l'actrice, qui propose un jeu nuancé et précis, qu'on a rarement vue dans les FMV.
Cela dit, d'un point de vue purement ludique, ça reste limité : des mots clés, des vidéos et basta. Je dirais que Her Story fait partie de ces jeux-expériences, plus intéressant qu'amusant (ce qui n'est déjà pas si mal).
Je suis content que celui ci t'ai plus après la purge d'Another World.Un énorme merci darkvador pour la suggestion, comme t'as dû le comprendre j'ai adoré
Fini Westerado.
Alors que vous coursez un bison dans la vaste plaine, un desperado tue toute votre famille et incendie votre Ranch. Votre six coups crie vengeance ! C'est sur ce prémisse de Western des plus classiques que commence Westerado, un jeu qui saura vous transformer de pied-tendre en gâchette la plus rapide de l'Ouest. Ou pas. On peu très bien terminer le jeu en évitant les tueries (à l'exception de la séquence finale), la caractéristique principale de Westerado étant d'offrir une liberté totale au joueur. On peut donc faire équipe avec l'armée, choisir plutôt les indiens, prendre parti pour les éleveurs ou pour la compagnie pétrolifère locale... Et l'Ouest sauvage étant sans pitié, on peut aussi tuer tout le monde, même en plein milieu d'une conversation ! Décrit de cette façon, on pourrait s'imaginer que Westerado est le meilleur RPG du monde. Attention ! Vous risquez d'être déçu, un peu comme je l'ai été lors de mes premières heures de jeu. Il s'agit avant tout d'un petit jeu d'action/aventure aux mécanismes très simples. Le personnage n'évolue pas au court de l'aventure. On gagne de l'argent avec lequel on peut acheter des chapeaux et des armes, mais ces chapeaux sont simplement des "vies" (au nombre de 3) et les armes sont très peu nombreuses et sans grand intérêt, la meilleure étant celle de base : le revolver, rapide à recharger. En cas de mort, on se réveille chez son oncle avec une simple diminution d'argent (qu'on peut éviter en plaçant celui-ci à la banque). Cet aspect du jeu présente sans doute un plus grand intérêt en mode "Iron Man", où la mort permanente incite à s'acheter des chapeaux...
De plus, le nombre de "quêtes" s'avèrent assez vite limité, peu varié (tuer ou ne pas tuer), et la carte du "monde" s'explore en une poignée d'heures. Il y a des zones du jeu sans mission particulière, comme le désert, le village fantôme la forêt... Il est facile de foirer ces quêtes, ce qui peut se révéler très frustrant pour les adeptes de la solution "optimale" dès la première partie. Parfois, l'enchainement ultra précis des actions à effectuer est carrèrent cryptique et le moindre écart fera échouer notre objectif.
Dans le fond, Westerado se joue comme une partie de "Qui est ce ?" le jeu de société de Hasbro. A chaque mission remplie, quête accomplie, un personnage nous donne un indice pour identifier notre cible : il porte un chapeau à large bord, un ceinturon doré, un foulard rouge... Le desperado étant aléatoire à chaque partie. Il peut s'agir de n'importe quel PNJ déambulant dans la ville. Une fois notre cible identifiée, on l'accuse et celle-ci prend la fuite, ce qui déclenche la séquence finale, débouchant sur le combat de Boss. Suivant nos actions en cours de jeu, les raisons du tueur seront différentes lors de la cinématique de fin... On voit donc que le jeu gagne à être refait, pour tenter les différentes approches.
Côté graphismes et musiques, le jeu développe une ambiance western très sympathique et convaincante. On aime à trainer dans ce monde ouvert sans objectif particulier, à part dessouder quelques inconscients n'ayant pas encore appris à connaitre notre colt. Ça reste du très gros pixels mais avec une jolie et chatoyante direction artistique. Dernier point qui fâche : il n'y a pas de VF et la VO est assez désagréable à lire, car elle cherche à retranscrire l'accent et l'argot des cowboys. On se tape donc des "mah" au lieu de "my", "yeh" au lieu de "you", sans compter les lettres qui sautent à coup d’apostrophes.... Ces errements syntaxiques ne gênent pas trop la compréhension globale du jeu (qui ne repose pas beaucoup sur ses dialogues), mais la lecture n'en demeure pas moins pénible.
En dépit des nombreux points contrastés soulevés ici, j'ai bien apprécié Westerado, surtout lors de ma deuxième partie, quand j'ai su l'apprécier pour ce qu'il était (un jeu d'action et d'enquête rigolo) en faisant mon deuil de ce qu'il n'était pas (le RPG ultime en gros pixels).
Bon bah premier contact avec Furi et je dois dire que ça se passe plutôt mal. Les contrôles sont raides à chier, les règles ne sont pas claires et surtout j'ai l'impression qu'elles changent régulièrement. En tant que joueur de jeux de combats j'ai vraiment l'impression d'être pris dans un carcan extrêmement strict sur ce que je peux faire ou pas selon l'instant/le pattern actuel du boss, du coup je ne peux pas "jouer comme j'en ai envie" et j'ai l'impression d'être forcé de suivre une partition très stricte plutôt que comprendre et développer le système de jeu.
Du coup je me sens vraiment artificiellement limité sur ce que je peux faire et c'est frustrant. Oh et la vie qui descend/remonte, que ce soit le joueur ou le boss, c'est complètement con, ça ne fait que rallonger la sauce inutilement en plus de me conforter dans l'idée que "tu vas faire ce qu'on attend non mais". Plus je me suis déjà mangé un joli bug de l'absurde
Je retenterai le coup demain mais franchement c'est très mal parti.