En cette période de doutes, de tensions et d’élections imminentes, une question est sur toutes les lèvres : comment le milieu politique français perçoit notre loisir préféré ? Quoi, vous n’alliez quand même pas croire qu’on allait causer de la troisième guerre mondiale et des cités qui brûlent, quand même ?
Pour répondre à cette question, Maria Kalash et Louis-Ferdinand Sébum ont bravé le froid en relevant leurs manches (les fous), afin de vous offrir un dossier qui résume les relations parfois compliquées entre la politique et les jeux vidéo. Plus motivé que jamais, notre duo de choc s’est demandé, au milieu d’un repas trop arrosé, « et si on appliquait les programmes des principaux candidats dans Democracy 3, pour voir ce que ça donne ? », avant de détailler les résultats de leur expérience sur deux pages et de conclure sur un tour d’horizon des MMORPG, dans lesquels la politique (réelle ou fictive) s’est invitée.
Ensuite, Sébum à rebaissé ses manches et enfilé sa veste pour partir à la rencontre de Frédérick Raynal, afin d’en appCOUV-354rendre un peu plus sur 2Dark, le futur fils spirituel d’Alone in the Dark où l’on doit sauver discrètement des enfants, malgré leur tendance à chialer au prétexte que des mecs bizarres veulent les enlever.
Pendant ce temps, Pipo s’est de nouveau flagellé en gémissant de plaisir avec le test du très sympathique Nioh, qui trimballe l’esprit de Dark Souls au Japon mais (hélas) uniquement sur PlayStation 4, pendant que Guy Moquette, lui, créait un embouteillage dans notre salle de repos. La raison ? Le bougre y a installé l’Oculus Rift pour tester la version VR de Superhot et comme on dit chez les gens qui n’ont pas beaucoup d’éducation : ça troue le cul grave.
Et pendant tout ce temps, un homme* mystérieux refusait de bouger de sa chaise. Emmitouflé dans trois plaids avec ses mitaines et accompagné d’un chocolat plus chaud que le magma, il a fini par s’activer pour écrire trois pages d’Autopsie au sujet de Darklands, un RPG si ambitieux qu’il failli couler Microprose, en 1992.
Enfin, votre humble serviteur (il va falloir qu’on rediscute de mon salaire, d’ailleurs) s’est relancé sur Hearthstone le temps d’un On y joue encore, dans le but de déterminer s’il est toujours possible de rejoindre le jeu après une longue pause ou en ayant jamais joué, sans pour autant vider son PEL. En somme, deux semaines à peu près classiques, si l’on omet l’attaque de la rédaction par une meute de chiens-loups et l’apparition soudaine du fantôme de Saddam Hussein dans notre canapé. Mais je ne vais pas vous embêter avec des broutilles.
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