Huhu. Le lycée, c'est clairement mieux que le collège, oui. Mais la fac c'est très au-dessus.
C'est un vrai reboot, avec des gens beaucoup moins cons et un rapport prof/élève bien plus sympa.
Comme à la fac, sauf qu'au lieu de faire la sieste tu fais des trucs plus intéressants.
Je ne vous dirais pas comment j'ai trouvé cette news un peu défraichie:
Une chèvre MUTANTE découverte en Inde: avec ses traits humains, l’animal a terrifié tout le village
Et sinon avec les Michel, il y avait ceux qui s'appelaient Régis au collège dans les années 90'. Eux aussi ont dû bien morfler.
En soit yavait plusieurs collèges et lycées, mais clairement yavait pas/peu de mixité sociale, donc tous les fils et filles de médecins, profs, avocats, etc se retrouvaient généralement dans les mêmes établissements, classes ou à faire les mêmes options donc au final tu croisais souvent les mêmes personnes tout au long de ta scolarité. Au lycée les classes avec les numéros 1 à 4 c'étaient celles "d'excellences", ils avaient pas le droit mais ils s'arrangeaient pour mettre les options euro ou mpi pour les former. (Moi j'étais dans en seconde 6 au milieu des futurs L glandeurs, c'était l'année la plus tranquille en fait, après je me suis retrouvé dans des premières et term 1 et c'était chiant. Le genre de classe où les parents d'élèves sont encore plus insupportable que leur progéniture. )
Un écrivain qui se livre, c'est un peu comme un canard qui se confie.
Simplification : perverpepere discute avec d'autres humains uniquement sur CPC.
Quand j'y repense ce fut la libération. Surtout que j'y suis resté une année de plus (et de loin la pire année de ma scolarité)...
Mais sinon j'ai l'impression que ces derniers temps on fait de plus en plus de prévention sur le harcèlement à l'école. Mais j'ai des doutes concernant l’efficacité au collège quand on voit qu'il sont remplis de petit trou du cul qui ont les hormones en ébullition...
Le problème des jeunes d'aujourd'hui c'est que le harcèlement continue grâce au réseaux sociaux. Avant, si on se foutait de ta gueule à l'école tu allais jouer au LEGO pépère chez toi.
Moi c'est un peu le contraire, j'avais des copains au collège et pas trop de soucis de foutage de gueule malgré mon bégaiement, c'est en arrivant au lycée que j'ai déchanté (lycée professionnel inside...) Mais j'étais déjà assez vieux pour me rendre compte que je n'en avais rien à foutre de l'opinion des cons et que j'étais mieux tout seul dans mon coin
Un écrivain qui se livre, c'est un peu comme un canard qui se confie.
C’était un colabo.
Il faisait sans doute partie de l'association des têtes de turcs tout en espionnant pour le compte de la milice des gros lourds.
Méfiance.
Moi on m'a fait chier au collège, en 4e, parce que j'étais grand (et premier de la classe )
Ca a duré jusqu'à une récré où j'ai collé mon poing dans le pif d'un connard et ce faisant il a atterri le cul dans une poubelle. Le pion qui était à 3 mètres m'a dit "joli coup, dommage que je l'ai pas vu". Et il s'est barré. Best day ever. Après on m' foutu la paix
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