Apparemment y'a le tilapia sinon qui est souvent élevé, mais est-ce différent en termes d'élevage, je ne sais pas ? Mais la truite me branche plus (vu que l'objectif est l'auto-consommation, on va devoir en bouffer un paquet autant apprécier ce poisson au départ ...). L'objectif est davantage la nourriture que la gastronomie cela dit.
Yep, mais même si c'est du tilapia, si t'as pas un étang ou un truc de la même envergure, tes poissons vont se bouffer entre eux, se mutiler, du coup beaucoup de morts.
Je comprends l'idée et j'en suis assez fan (je veux à long terme vivre en autarcie, avec mes légumes, mes poules, mes chèvres pour le fromage, une meumeu pour le lait, quelques cochons pour le jambon etc...). Mais le poisson mec, c'est chaud. Fait limite des crevettes
Et les chats ?
Faciles à élever. Il paraît que c'est assez fin comme viande. En plus on peut faire des casquettes à oreilles avec la fourrure.
Bof, ça mange n'imp. les chats avec un peu d'habitudes. Au pire ils vont bouffer chez les voisins. C'est tout bénef.
Le chat est un carnivore strict. Apr-s il peut manger autre choses, mais il n'a pas les enzymes nécessaires pour les digérer correctement
Bon bah Jolav', ce fut bref mais intense. Tu peux à présent fermer ton topic
Rooooh, Julizn, tu sais bien que je rigole... c'est juste que dans sa phrase c'est un condensé de truc que certains végétariens ne pourraient pas supporter.
Merde quoi, on peut rigoler un peu non ? Et tu sais que je vous respecte, donc c'était pas pour insulter, offenser. C'est la phrase qui m'a fait rire.
Et moi qui croyait qu'on avait enterré la hache de guerre
C'est quand le pot de départ de ton topic Jolav' ?
Dernière modification par Sapro ; 09/05/2015 à 11h34.
ya ausi le celebre 'tous cobayes' de Gilles-Eric Séralini.
j'ai participé à un débat entre agriculteurs bio et non-bio lors d'un forum sur le sujet.
En fait, ceux qui sont passé au bio sont bien plus au courant des bonnes pratiques en hygiène alimentaire que les autres qui font comme ça depuis des décennies parce qu'on leur a dit de faire comme ça, sans vraiment se poser de questions.
En fait tous ceux qui sont passé au bio, on commencé par se poser des questions sur ces anciennes pratiques.
D’ailleurs il y avait el témoignage d'un cultivateur de blé en Ariège.
Il a vendu un tiers de ses parcelles et voila qu'un jeune agriculteur lui achète mais souhaite y faire du bio.
Problème, si on pesticide deux tiers et on laisse un tiers en bio, c'est pas vraiment du bio, vu l'exposition aux pesticides des parcelles voisines.
D'un commun accord, l'agriculteur arrête de pesticider son champs et perd une bonne partie de la récolte.
Le jeune est allé lui dénicher des semences anciennes plus résistantes au champignon et ils ont semé ensemble prêt d'une demi-douzaine de semences variées au lieu d'une seule et unique variété.
Au moment de la réunion c'est la deuxième ou la troisième année qu'ils faisaient ça et ils gagnent plus qu'avant, parce que malgré des pertes de 15-20%, ils revendent leur farine de blé 30-40% plus cher et n'achètent plus ni de pesticides et quasiment plus de semences, puisqu'ils récupèrent désormais une partie de leur récolte pour resemer.
Bon ils ont reçu des courriers des services sanitaires, de la mairie, du ministère de l'agriculture. Ils ont même eu droit a des visites surprises d'inspecteurs de je ne sait quel organisme venu vérifier si les semences utilisées étaient légales ( dans la liste des variétés autorisées par le gouvernement, les autres n'ont pas le droit d’être cultivées ).
Au final ils ne savent pas bien si c'est les fabricants de pesticides ou les vendeurs de semences qui leur mettent la pression, mais comme c'est toujours par le biais d'organismes gouvernementaux, ils ont l'impression d'être face à une mafia organisée et ils ne doivent pas être bien loin du compte ...
Beuh Seralini
Si il passait plus de temps à chercher et moins de temps à communiquer, ça se passerai sans doute mieux.
L'agriculture est devenue une vaste plaisanterie, les mecs sont pris en otage par les semenciers (qui sont évidement les mêmes qui fabriquent les pesticides) et par les organisations mafieuses comme la FNSEA.
La terre n'est plus qu'un support de culture, le sol est complément mort, autant cultiver dans de la LDR ou faire de l'hydro, c'est la même chose vu qu'il n'y a plus de vie dans le sol.
L'agriculteur à coté de chez moi est en redressement judiciaire et il continue à balancer ses merdes chimiques payées je ne sais pas comment alors qu'il ne paie plus ses fermages depuis plusieurs années à un couple de petits vieux. Il en est déjà à 5 traitements dans son "champ" de blé et je sais que le blé peut recevoir jusqu'à 11 traitements : engrais, fongicide, insecticide, raccourcisseur (oui oui vous avez bien lu, pour éviter que le blé ne verse avec les orages et le vent), vu comment ils modifient la génétique, ne me dites pas qu'ils ne pourraient pas faire un blé plus court directement. Mais non ces gens sont complétements fous et surtout trop puissants. Tout ça se fini de plus en plus souvent au bout d'une corde et c'est vraiment grave car il y a encore moyen de changer tout ça.
Ce sont les mêmes.
Et ce sont eux aussi qui financent les études pour savoir si leurs produits sont sain pour les organismes. Dans tout un tas d'autre milieu on parlerait de conflit d’intérêt, et les autorités y ferait la chasse.
Surtout avec les recherches indépendente mener à coté qui ont permis de démontrer que NON le round up n'est pas biodégradable contrairement aux affirmations du fabricant pendant moultes et moultes années, et pourtant les services sanitaire continus à faire confiance aux données fournis par les firmes.
Mais bon soyons sans crainte, si ces produits sont cancérigènes ou pires il faudra assez de temps aux maladies pour se développer pour qu'on ne puisse les imputer à ces merdes qu'on nous fait bouffer.
C'est clair, quand tu visites une vigne, ou un verger tu peux voir que plus rien ne pousse au sol, les terres sont complétement brûlées par la chimie.
Même après arrêt des traitements y'a des parcelles ou il faut plus de 5 ans avant que de l'herbe ne revienne s'y installer, pour la faune (vers de terre, et autre) c'est encore plus long.
Ce qui explique que c'est très compliqué de revenir à une agriculture bio après des années de traitement.
Envoyé par rapport de la Délégation générale à la langue française et aux langues de France