Mais ça n'a rien à voir, je rejoins Chouette. On parle d'une énorme boîte. Et on ne parle pas de salariés, juste de verser une bonne obole à ceux qui se sont pris le chou pour la traduction. Un coût unique, disons multiplié par 100 s'il y a 100 langues (j'imagine qu'il y en a moins). Franchement, c'est la moindre des choses