Chez moi, il y a un ssd avec gnu/Linux sur lequel je suis 999/1000 du temps et un ssd avec Windows, que j’ai installé après avoir débranché le premier et que je n’utilise quasiment jamais. L’inconvénient c’est que Windows essaie de te forcer à démarrer sur Windows... Sur le topique des ssd, d’autres personnes m’avaient donné tort en recommandant des partitions sur un seul ssd. Je maintiens cependant que mon choix présente un avantage fondamental : le principe KISS, ou, en français, les vertus de la simplicité. Les avantages peuvent apparaître inopinément plus tard.