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  1. #1
    JOUR 1:

    Se matin,je me suis réveillé sur une plage,à quelque mètre de l'eau,sous un magnifique soleil,un vrais paradis...
    Enfin,jusqu'à ce que je me retourne. Derrière moi,une jungle immense et incroyablement dense.
    Rien de bien inquiétant si l'on ne prend pas en compte les grognements et les cliquetis réguliers.



    reprenant petit à petit mes esprits,je me suis rendu compte que je n'avait aucune idée de se que je faisait sur cette plage,aucun souvenir de la veille ni d'aucun autre jour avant ce matin.
    malgré cela, instinct de survie oblige,je me suis battis une magnifique demeure,digne d'un cabanon de jardin.



    Le soleil venait juste de se coucher lorsque l'on à toquer à ma porte,pensant voir des secours,je me suis rué vers la porte.
    Des secours? Mes fesses oui!
    Devant ma porte,un espèce de bonhomme a moiter moisie totalement furibond.
    Après m'être pris une grosse baffe,j'ai sorti mon épée en la secouant désespérément devant moi en espérant le faire fuir,raté.
    Il n'a pas fuit et gisait devant ma porte.
    je me suis approché,inquiet,de son cadavre,pour vérifier si il était encore vivant.Mais,avant même de l'avoir toucher,deux grosses explosion on retenti dans mon dos.
    explosant au passage le cadavre et ... NOOOOOOOOON!!!
    Ma MAISOOOOONNN!!



    Totalement affamé,j'ai mangé les reste du cadavre...
    mauvaise idée,j'ai passé le reste de ma nuit cloué au lit dans mon reste de maison,enfin,cloué au sol,manque de moyen,je n'ai toujours pas de lit.
    Dernière modification par Greent ; 07/03/2012 à 00h40.

  2. #2
    Tiens, y'avait longtemps qu'un attaché de presse n'avait pas proposé sa chronique, elle même similaire aux précédents threads...
    Déjà, les fautes d'orthographe, de conjugaison. C'est le minimum, et c'est respectueux pour le lecteur. Ensuite, faire des phrases qui accrochent un peu et pas une suite d’événements du jeu rapporté coup par coup. En quinze minutes, j'ai écris cette merde en dessous (j'ai que ça à foutre tiens...). Tu vas pas me faire croire que tu pourrais ne pas faire mieux en utilisant les richesses de la langue française ?

    Déjà deux heures que je tourne en rond dans cet endroit et la peur commence à m'étreindre de plus en plus. M'éclairant grâce à la faible lueur qui émane de ma torche, tâtonnant les rêches parois de pierre d'une main tremblotante, zigzaguant entre des espèces d'ombres difformes, j'erre en espérant reconnaitre un endroit familier, un passage que j'aurais déjà foulé mais rien n'y fait. A chaque pas, je ne fais que continuer de dévaler un monde inconnu. Je m'enfonce de plus en plus profondément dans les tréfonds de cet endroit inhospitalier, en angoissant un peu plus à chaque râle éloigné, chaque rugissement rapproché, chaque bruissement lointain porté par l’écho. Une fuite en avant, aveugle et téméraire, tantôt à gauche, tantôt à droite, montant ou descendant dans l'antre du Diable.
    Bon Dieu, qu'est ce qu'il m'a prit de partir dans ce périple? Est-ce le besoin urgent de matériaux utiles à ma survie, seule motivation depuis que je me suis échoué ici.

    Il faisait beau ce matin là, une brume légère atténuait un soleil d'été ardent à peine levé et ma petite embarcation filait à vive allure sur une mer d'apparence tranquille. Mon ami d'enfance et moi envisagions de faire quelques prises de gros poissons à ramener au village afin de combler l’appétit vorace de mes congénères. Un filet, quelques appâts, une canne à pèche, le strict minimum pour une énième sortie ordinaire. Malheureusement, rien ne se passe jamais comme prévu. Des nuages noirs menaçant qui s’amoncellent rapidement, quelques gouttes de pluies éparses devenues très vite continues, un vent violent qui s'invite et la barque tangue de plus en plus sous les coups de boutoir d'une mer soudainement déchainée. Nous nous cramponnons au bastingage après avoir descendu la voilure, déclamant force prières à nos dieux si cruels et si joueurs. La tempête gronde, je m'accroche de toute mes forces, retenant tant bien que mal nos maigres effets personnels. Bientôt le mât cède sous la force du vent, mon compagnon tente de le retenir mais le bois cède. Puis le noir absolu.



    Puis tu dis "cloué au lit" pour préciser ensuite que tu n'en a pas dans cette même phrase.

  3. #3
    Et encore une "histoire" sans scénario qui ne sera pas continuée. Ça faisait longtemps.

    Greent, si jamais tu repasses dans le coin - ce qui m'étonnerait fort - essaye de réfléchir à un scénario, à ce que ton personnage va découvrir et vivre comme aventures. Se lancer au hasard en espérant un jour avoir des idées n'amène à rien d'autant plus que dans ce forum, à part des messages blasés, tu ne recevras rien de positif. Pas un commz. Rien.
    Dernier point : demande à ce que quelqu'un te relise (en espérant que tu l'ais déjà fait). Il y a vraiment trop de fautes et la construction de tes phrases est approximative.

    Je vais clore le sujet et le supprimerai d'ici une semaine pour éviter la pollution du sous-forum Minecraft.
    Merci.
    Dernière modification par MonsieurLuge ; 07/03/2012 à 09h21.

  4. #4
    merci de vos conseils,je vais essayer de corriger ça sur cette partie et faire plus attention sur la suite,si j'en fait une.

  5. #5
    Ah, content que tu sois revenu dans le coin. Ça fait presque bizarre. D'habitude ces sujets sont immédiatement abandonnés par leurs auteurs.
    Donc, pour résumer : pense au scénar avant de poster ici; prend plein de screenshots et ajoute les à ton récit après coup; fais relire ton texte par plusieurs personnes et évite la narration de type "discours à voix haute".

    Bon courage.

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