La polémique sur cette femme m'indiffère. Mais je soulignerais une chose : si elle était cohérente avec elle même, plutôt que de vouloir changer des concepts de jeux ne lui convenant pas mais plaisant à pléthores de joueurs, elle ferait bien d'aller vers ce qui existe déjà et correspond à ses paramètres. Les point & clic, par exemple, bénéficient de l'exposition d'internet et sont en plein essor. Gameplay accessible, possibilité de tout mettre en flash pour être jouable sur une large gamme de supports (dont les tablettes et smartphones), etc, etc...
Je comprends pas pourquoi les joueurs (même "hardcore") se sont acharnés sur elle: donner la possibilité de passer certaines phases de gameplay, c'est pas comme les retirer du jeu, non? Un joueur qui n'a pas envie de les sauter ne se servira pas de la fonction, c'est tout, du moins si il est pas fainéant et sait rester cohérent. Ceux qui braillent auraient-ils peur de ne pas être assez fort psychologiquement pour résister à l'appel du "skip combat"? Si tel est le cas, c'est un peu triste, et ces gars là n'ont pas une très grande confiance en eux. Et l'introduction de cette fonction est même plutôt une bonne chose, elle permettrait à des joueurs plus casual (genre trentenaire qui n'a plus le temps de jouer des masses) de finir le jeu sans trop se prendre la tête. Je me demande combien d'entre nous ne finissent pas certains jeux trop exigeants tout simplement parce qu'ils n'ont pas l'occasion de s'octroyer de longues et régulières plages horaires afin de bien rentrer dans l'histoire. Alan Wake est particulièrement bien foutu de ce point de vue d'ailleurs, avec son système d'épisodes de 1h/1h30. Rendre accessible ne veut pas forcément dire rendre moins bon ou moins exigeant.
Mouais.
Pour Fallout ça marcherait encore, mais pour AP, le jeu est constitué quasi-exclusivement de séquences de combat/infiltration. Si tu les enlèves il te reste un film interactif...
De toute façon la majorité des jeux tourne autour du thème du "On va leur en foutre plein la gueule", c'est aussi ce qui plaît, la baston.
Par contre un Rpg ne devrait pas s'articuler uniquement autour de ça, on est d'accord.
Dernière modification par Monsieur Cacao ; 05/03/2012 à 15h30.
-.-.-– nAKAZZ, depuis 2024
Elle aime les RPG, mais pas les combats. Les point and click ça n'a rien à voir. Personnellement, les combats dans les RPG, je trouve ça top moumoute, mais à la base, dans les RPG papier, le combat c'est surtout une question de stat et de lancer de dé, non ? Donc légitimement un joueur de RPG pourrait préférer un développement du personnage plutot que des combats interactifs qui font swoooosh.
A la base le RPG papier est un dérivé des Wargames et résumer les combats à des stats et des lancés de dés est erroné, du moins dans le cas de jeux ludistes comme Pathfinder et Donjon&Dragon. Si les mecs se sont amusés à écrire plusieurs centaines de pages expliquant en détail ce que fait tel ou tel sort, c'est quand même qu'ils veulent proposer un système où les gens vont se creuser pas mal la tête avant de lancer leurs dés.Envoyé par Nono
Bref : tout dépend du système. Certains jeux sont conçus pour favoriser la narration et d'autres non, or Shadowrun que semble apprécier la dame n'est clairement pas un jeu narrativiste.
Dernière modification par Le Tyran ; 05/03/2012 à 16h51.
Non, j'ai une vision moderne de l'art: contrairement à la définition antique du terme, je ne considère pas l'artisanat comme de l'art. Or asperger à la chaîne des toiles de peinture c'est bien ce que j'appelle de l'artisanat et non un travail réfléchi requérant la maîtrise de techniques pour la réalisation d'une œuvre unique. (C'est marrant quand même, de ce point de vue, le paradoxe de l’appellation "art moderne".) Pollock, comme bien d'autres, ne fait pas de l'art mais pose simplement la question des limites de l'art. Voir le film faites le mur, qui pose assez bien le problème. La question de ce qui est art et ce qui n'est pas art est vaste. Il y a deux solutions: soit tout est art, même balancer des pots de peinture à la va-vite sans y réfléchir. C'est à dire aussi que tout le monde est artiste, même un enfant de maternelle. Enfin, c'est aussi mettre Les Misérables et Eragon sur le même pied d'égalité. D'un côté 30 ans de la vie d'un génie, de l'autre un an de la vie d'un adolescent de 15 ans. L'idéologie soixante-huitarde dans toute sa splendeur... Soit tout n'est pas art, et il faut alors décider des critères de l'art. Plusieurs possibilités ici encore: soit c'est le public qui décide de se souvenir de certaines œuvres et de les définir comme relevant de l'art. Cette possibilité est douteuse: en fonction des époques une œuvre peut être oubliée ou célébrissime (ainsi pour Racine, Du Bellay...). Soit le procédé artistique nous dépasse, aussi bien le public que l'auteur. C'est ce que soutient Julien Gracq, selon lui le procédé artistique est une relation entre l'auteur et son œuvre, indépendante de son public.Tu as une vision très romantique de l'art. L'art ne se trouve pas uniquement dans le " travail minutieux " (sinon Pollock serait bien emmerdé), ni dans un " souci de perfection exacerbé dont le moteur est la sensibilité hypertrophiée qui caractérise le véritable artiste. " C'est uniquement une vision de l'art, mais il en existe bien d'autres.
Pour revenir à Pollock et "l'art moderne" en général, je crois que le problème est avant tout financier. On ne peut pas dire du jour au lendemain: désolé, mais en fait on s'est foutu de votre gueule, ce cube de bronze que vous avez payé 100.000€ aux enchères ne vaut rien car ce n'est pas de l'art. Il existe une infâme bulle spéculative à ce niveau, et comme toutes les bulles spéculatives elle ne peut que grossir jusqu'à ce que la supercherie soit si grosse que l'éclatement soit inévitable.
Dernière modification par Oracion ; 05/03/2012 à 17h41.
Ouais, pardon, en fait, tu es snob.
Bien sûr que l'on peut dire qu'Eragon est tout autant de l'art que Les Misérables, ou que Twilight est tout autant un film que Citizen Kane. Seulement, ils n'ont pas la même qualité et ne seront sûrement pas reçu de la même manière par les générations futures.
Personnellement, j'ai trouvé un début de réponse dans l'ouvrage de Riegl, Le culte moderne des monuments. Tout création humaine a autant de chance d'être considérée comme de l'art dans l'absolu. Ce sont certains critères subjectifs et temporels qui indiquent à une époque ce qui est de l'art et ce qui n'en est pas. L'exemple qu'il prend est le suivant (remanié à ma sauce) : Si demain, la surface de la planète était complètement rasée et toute trace de l'humanité effacée, sauf un paquet de bonbons, celui-ci donnerait énormément d'informations sur notre civilisation et serait à juste titre considéré comme une oeuvre d'art par la civilisation extra terrestre qui le découvrirait.
Enfin, on est clairement hors sujet, donc je te propose de continuer en cliquant sur ce lien.
" Le seul type au monde capable de modérer un topic sans droits de modérateur pendant un ban. " lincruste
Ou alors, si tu fais l'effort de réfléchir deux secondes, il y a aussi une considération d'impact sur la structure même du jeu. Si les combats sont passables, le jeu ne va pas être construit de la même façon. Le jeu connu et apprécié tel qu'il est pourrait en être "dénaturé". Sans compter qu'un système devenu optionnel pourrait être moins travaillé puisque ne concernant pas tous les joueurs et n'étant par la même plus essentiel.
Les P&C sont accessibles et n'ont, pour la plupart, pas de combat. Tu peux parfaitement y mettre des dialogues interactifs. Comme ils sont moins exigeant techniquement, il est possible d'allouer l'essentiel des efforts à la scénarisation dans son sens le plus large. Le genre peut évoluer sans se renier et, techniquement, il n'y a aucun obstacle d'adaptation de "RPG" sans combat à ce format. Je ne vois donc pas en quoi ça n'a rien à voir.
Bon en gros il y a ceux qui gagnent de l'argent avec les jeux vidéo qui défendent la nana, et ceux qui jouent aux jeux vidéo qui lui crachent à la figure. N'empêche que cet article répond à une de mes interrogation : à quoi ressemble l'esprit qui a pu créer les personnages de Dragon Age.
Et voila quand Toto le Mongolo évite beaucoup de cours de littérature pour regarder des trucs sur internet, bah des fois ça donne des trucs comme ça...
Ça sert à quoi que je passe des heures sur photoshop si personne ne dit du bien de ma sirène.
Encore une sale affaire de bouc émissaire qui prend des proportions démesurées. Sincèrement le problème de Bioware ça n'est pas ses scénaristes, premièrement ce ne sont pas eux qui décident du gameplay, deuxièmement les gros soucis de leurs derniers jeux ne se situent pas au niveau du scénario (par exemple dans DA2 c'est vraiment le scénario le souci ou plutôt la paresse patente du gamedesign, de la diversité des maps, de l'interface 100% consolisée etc? Je penche plutôt pour la seconde piste, c'est bel est bien le contenu ludique qui pèche grandement et pas l'histoire). Et puis franchement il y a quoi d'étonnant à ce qu'un scénariste se dise plus intéressé par l'histoire que les combats?
Bref, le fond de l'affaire c'est juste une bande d'abrutis qui cherchent une cible facile pour exprimer leur mécontentement. Discuter des goûts et préférences de Jennifer Brandes Hepler en matière de jeu n'a rien à faire dans le débat, c'est même finalement donner du crédit aux critiques des dits abrutis.
Dernière modification par Kimuji ; 05/03/2012 à 20h54.
Tout dépend de la réalisation: si ce "skip combat" est un mode very easy avec moins d'ennemis couplé à un pilotage semi auto du perso (des tirs et pas des mouvements par exemple) la structure peut rester la même. Quant au système optionnel, si les devs gardent en tête qu'il ne s'agit pas des phases de gameplay mais bien de leur passage en auto, le concept peut être intéressant. C'est pour ça que ton argument est justifié, si on parle de l'exécution, mais pas de l'idée en elle même. On peut toujours arguer par la suite que la solution de facilité est le choix de développement le plus probable, mais c'est quand même dommage de tenir ça pour un acquis. Mais en soi, encore une fois, je trouve l'idée plutôt bonne (même si je continuerai à jouer à mes jeux de manière classique).
Dernière modification par Jorkens ; 05/03/2012 à 20h54.
Il peut y avoir du skip de combat si on joue un assassin de la nuit qui fait tout pour éviter les combats. Ou en étant très habile dans les dialogues en ayant les skills où il faut et en ayant de l'intuition et de la logique. Bref du skill, comme quand on joue stealth dans n'importe quel jeu. Par contre avoir un gros bouton "skip", autant prévoir un jeu naze sans difficulté dès le départ : avoir la possibilité de skipper des combats est emmerdant pour le joueur normal parce que ça va lui trotter dans la tête. Il y a aussi le fait que par le passé, le jeu était plus fort que tout le monde et c'était un challenge de le surpasser. Si on rend tout ça optionnel, ça donne l'impression que c'est une difficulté artificielle pour les abrutis qui aiment se compliquer les choses. Je trouve qu'on ne joue pas du tout avec le même état d'esprit. Le jeu perd en grandeur.
Dernière modification par MrPapillon ; 05/03/2012 à 22h06.
Apparemment, EA joue la carte du "je suis un connard".
It is now a bannable offense to complain, criticize, or even question EA Games, BioWare, BioWare's employees, or the BioWare Forum Moderation Staff. Getting your account banned on the forums means you also lose access to all of your BioWare/EA games.
I will be the first, and you will go... oh wait.
"It is now a bannable offense to question EA Games, BioWare, BioWare's employees, or the BioWare Forum Moderation Staff. "
Absolument merveilleux, au début on trouvait ça fou, que c'était une erreur de leur part. Mais ils en rajoutent encore et encore. C'est assez incroyable, on a l'impression d'avoir un grand dictateur qui repousse les limites du gonflé une par une.
C'est fou, on est vraiment très loin de la notion de "client roi".
Dernière modification par MrPapillon ; 05/03/2012 à 22h40.
Moui bof, quand on recherche la phrase, on tombe sur 4chan (pour ma part, je n'ai retrouvé aucun communiqué officiel, aucune news de site vidéoludique, qui mentionne une phrase pareille). De toute façon, ce n'est pas très crédible."It is now a bannable offense to complain, criticize, or even question EA Games, BioWare, BioWare's employees, or the BioWare Forum Moderation Staff. Getting your account banned on the forums means you also lose access to all of your BioWare/EA games. "
Dernière modification par Shane Fenton ; 05/03/2012 à 22h48.
Gaming Since 198X : http://gamingsince198x.fr/
Par des vieux cons, pour des vieux cons...
Oracion je dirais que pour quelqu'un qui s'exprime sur la définition de l'art t'as l'air de bien camper sur tes positions, on est d'accord balancer des pots de peinture sur un mur c'est pas de l'art, mais l'intention qu'il y a dans l'acte a transformé ça en une œuvre, l'art c'est aussi bousculer les idées reçues et dire "regardez mon mur plein de couleurs" c'est bousculer l'idée qu'un tableau doit être fin (par exemple), et donc c'est de l'art qu'on le veuille ou non. Après libre à chacun de trouver ça pourri/peu inspiré etc etc
Dernière modification par RedCap ; 05/03/2012 à 23h52.
Réserver les bonnes histoires aux joueurs hardcore, ça ressemble quand même pas mal à de l'élitisme. Et encore une fois, je ne vois pas pourquoi quelqu'un qui veut du challenge appuierait sur le bouton! Ou alors c'est qu'il se ment à lui-même. Et puis on est content de voir que le prochain Bioshock bénéficie d'un mode de difficulté "1999" apparemment plus chaud que d'ordinaire. C'est pas pour ça que ça dénature le jeu. Du coup, je vois pas bien en quoi ce serait une régression de proposer également l'inverse. Faut voir ça comme un édition jeunesse des Misérables: c'est peut-être tronqué et les puristes ne la lirons pas. Mais si ça peut permettre à certains de profiter de l'histoire et de découvrir Hugo sans décrocher au bout de la trentième page, je me sens pas trop de cracher dessus.
C'est exactement ça, c'est comme si on présentait chaque bouquin en plusieurs versions. Une version pour les littéraires élitistes et une version pour ceux qui préfèrent le SMS. Ça dénature un petit peu, mais je suis sûr qu'on peut tout à fait présenter un bouquin de Zola en 20 pages de verlan et de mdr sans que l'on perde l'esprit de l'oeuvre. D'ailleurs beaucoup d'écrivains parlaient du peuple mais sans parler dans la langue du peuple. Il faudrait que les bouquins soient rédigés dans la langue de la masse, puis qu'on insère en option de la qualité pour assouvir les besoins des 10% qui composent l''élite.
D'ailleurs je propose aussi un autre concept. Pourquoi ne pas donner la possibilité de passer tous les passages descriptifs dans un bouquin en ayant des pages détachables avec un gros point d'interrogation clignotant dessus pour bien montrer qu'on possède le Choix ?
Pour reposer ça dans un ton moins débile : j'ai toujours considéré qu'il fallait préserver le savoir-faire sous sa forme la plus pure chez celui qui en a. Celui qui veut en profiter doit faire l'effort de le rejoindre, mais pas l'inverse.
Dernière modification par MrPapillon ; 06/03/2012 à 01h26.
T'es de mauvaise foi quand même. Les éditions jeunesse sont le plus souvent des versions abrégées, pas des réécritures. Elles passent les passages les plus compliqués (un peu comme une option pour passer les combats en fait). D'ailleurs ose dire que tu ne sautes jamais une ligne dans un bouquin. Ca fait partie du savoir lire.
Par contre attention hein, on (en tous cas je) parle des jeux "à scénar", pas des pures gameplay ou jeux de niche. Je vois mal cette option dans un Super Meat Boy ou E.Y.E.
Oui je le fais très souvent et c'est une faiblesse. Mais sinon je préfère faire la différence entre un enfant qui est dans la découverte d'un adulte qui est responsable de sa culture.
Oui je conviens que le problème est moins important dans les jeux de Bioware. Ce qui m'emmerde c'est surtout le manque de cohérence. On se retrouve avec un truc qui veut faire tout et n'importe quoi. Du customisable mais du customisable idiot, pas du customisable créatif. Ça devient plus un "produit" qu'une vision ou un acte de création.
En fait le jeu vidéo est trop jeune pour s'étaler. Je ne suis pas du tout un conservateur, au contraire, j'aimerais justement qu'on profite de la valeur ajoutée de ce qui a déjà été fait pour aller encore plus loin. Là c'est que de la régression et ça donnera des trucs qu'on oubliera vite. Il ne faudrait vraiment pas que le jeu vidéo devienne un simple produit de consommation, il a un potentiel énorme et on n'en a encore rien vu.
Dernière modification par MrPapillon ; 06/03/2012 à 02h03.
Tu n'as jamais sauté les passages que tu jugeais un peu trop long d'un bouquin ? Bah c'est exactement ce qu'elle propose. Elle ne parle pas de simplifier un jeu ou d'en détruire la qualité. Certains aiment repasser un film pour ne voir que la séquence qui leur plait le plus, d'autres n'écoutent qu'une seule chanson en boucle d'un album. D'autres remanient les règles du Monopoly ou du Cluedo pour qu'elles conviennent à leur goût. Pourquoi une personne travaillant dans le jeu vidéo ne pourrait pas offrir la même liberté aux joueurs ? Alors même que ces derniers vont jusqu'à travestir complètement un jeu avec la masse de mods simplement parce qu'ils veulent voir les nichons des personnages féminins ou parce qu'ils n'aiment pas le recul du magnum.
" Le seul type au monde capable de modérer un topic sans droits de modérateur pendant un ban. " lincruste
On n'est pas d'accord sur ce point: au contraire, je considère que ça fait vraiment partie des atouts du lecteur complet. Surtout que la plupart du temps, les passages sautés sont relus en seconde lecture, pour savoir ce qu'on a manqué. C'est aussi ce qui fait de chacun un lecteur unique. C'est aussi ce qui fait du livre, en un sens, un média plus interactif que le jeu vidéo.
Là on se retrouve un peu par contre. C'est pour ça que le "skip" doit être une option et le jeu dans son intégralité la matière première. Mais on peut l'introduire plus subtilement que par un gros bouton jaune. Un niveau de difficulté "Story Telling" par exemple, en dessous de "Easy" serait une bonne façon de faire, pourquoi pas modifiable à la volée dans les options. Comme ça le joueur classique ne serait pas emmerdé. Mieux, celui qui choisit cette option pourrait alors intégrer les combats par la suite s'il finit par se prendre au jeu. Une sorte de découverte progressive en somme. Dans ce cas, ça pourrait aider un casual pur et dur à faire évoluer sa manière de jouer vers quelque chose de plus profond.