Crunchez vos adresses URL
|
Rejoignez notre discord
|
Hébergez vos photos
Page 1 sur 3 123 DernièreDernière
Affichage des résultats 1 à 30 sur 78
  1. #1
    Depuis le temps que cette section est créée, y'a toujours pas de topic pour présenter son perso et expliquer comment il a fait pour finir dans cette charrette direction l'échafaud . C'est dingue quand même, quand on pense que certains ont du passer près de 45 minutes à peaufiner leur elfette pour pas que les poils dépassent trop derrière les oreilles...

    Bon alors allons-y !

    Le premier post servira d'annuaire, avec classement par race de chaque perso présenté. Ça permettra de voir quelles sont celles qui sont le plus plébiscitées par les canards.

    Les Altmers :
    • Lestat ♂ (Tildidoum) - Un magos qui se la pète... Un Altmer quoi.
    • Valahyru ♂ (Caparzo) - Un magos qui se la pète pas.

    Les Argoniens :
    • Sho-Zen Waan ♂ (invock) - Lézard pour qui tout foire.
    • Bran-Jul ♂ (Nacodaco) - Ex-philanthrope en repentir.
    • Serpaks ♂ (zijulo) - Bon samaritain à tendance homicidaire.

    Les Bosmers :

    Les Brétons :
    • Farah ♀ (Tildidoum) - Briseuse de rotules des magos qui se la pètent.
    • Ama ♀ (Nacodaco) - Guerrière intolérable, qui a pas de tolérance.
    • Marzy ♀ ([dT] Moustik) - Une meuf tellement chiante que son joueur a préféré passer à un autre perso.
    • Lachlann ♂ (Ketham) - Plagiat honteux.

    Les Dunmers :

    Les Imperiaux :
    • Thorgalen ♂ (Artgalen) - Grand brun ténébreux avec un complexe d’œdipe prononcé.
    • Olipro ♂ (Olipro) - Mercenaire multi-tâches.
    • Ark'Ghor ♂ (Spawn) - Psychopathe chauve.

    Les Khajiits :
    • Brakhmar ♂ (sissi) - Roublard bien membré.
    • Nyan ♂ (Anark) - Ce chat, c'est vraiment un branleur.

    Les Nordiques :

    Les Orcs :
    • Gruk gro-Grak ♂ (Anark) - Un nom de petit pain suédois, une passion pour l'artisanat et un cœur de midinette. Un Orc Emo... où va le monde.

    Les Rougegardes :
    • Titus Askvara ♂ (Jasoncarthes) - Bourrin éloquent (oui, ça existe).
    • Athanor ♂ (hommedumatch) - Obsédé qui bande en permanence. Son arc.
    • Sana ♀ (EpicFail) - Palouf imbibée.






    ---------- Post added at 05h15 ---------- Previous post was at 05h14 ----------









    Salutations désabusées d'un Argonien fatigué par son destin...
    Je me nomme Sho-Zen Waan, ce que l'on pourrait grossièrement traduire par "Celui-Qu'on-Cherche" en langue impériale. Néanmoins, la traduction n'étant pas tout à fait correcte, j'ai décidé de conserver mon nom du Marais Noir.

    Je me suis présenté comme fatigué par mon destin, car il faut bien dire qu'en presque trente années d'existence, la vie ne m'aura laissé que peu de répit. J'ai été esclave durant la majeure partie de mon enfance dans une ferme de Sucre de Lune en Morrowind, dans une partie de la région qui n'avait été touchée ni par l'Année Rouge, ni par l'invasion Argonienne. Un jour, une violente guerre des maisons éclata, et la plantation fut rasée, en même temps que toute âme qui y vivait. Je ne dû mon salut qu'à mon don inné pour la dissimulation (qui m'a valu mon nom). Je récoltai autant d'affaires que possible avant de disparaître dans la nature, et ce faisant, je pris soin de consulter les archives de la ferme pour tenter d'en apprendre plus sur mon passé. Je pense être natif d'un hameau qui était situé aux environs de Stormhold. Du moins c'est ce que semblait indiqué les contrats de propriétés de mes maîtres... j'ai bien entendu tenté de me rendre sur place, mais les lieux n'étaient plus que cendre et poussière depuis longtemps, et déjà les herbes folles avaient envahis les fondations des maisonnettes qui se dressaient jadis dans le paysage.

    Voulant à tout prix m'éloigner de Morrowind, et trop peiné à l'idée de retourner au Marais Noir, je pris la direction de la cité impériale en Cyrodiil. J'y vécu plusieurs mois en vagabond, mendiant ou chapardant ma nourriture... Lorsqu'un jour une "organisation" me contacta et me proposa de mettre mes talents à leur service. Pour la première fois, j’eus une vraie famille. Quelques années passèrent au cours desquels je pus manger à ma fin, dormir dans un lit et surtout faire confiance à ceux qui m'entouraient.

    Et alors que je me laissais bercer par la relative quiétude de cette vie aventureuse, je baissais peu à peu ma garde, oubliant par la même la méfiance la plus élémentaire. Shalani, une jeune Khajiit extrèmement douée, qui avait intégré les rangs de notre guilde peu de temps auparavant et gravit les échelons à une vitesse époustouflante, proposa une rencontre des membres d’élite à Bruma, pour "un coup d'éclat dont l'Empire se souviendrait longtemps". Et elle disait vrai : la rencontre était en fait un guet-apens des soldats impériaux, et Shalani était un agent infiltré qui avait préparé son piège des mois durant. Une rude bataille s'ensuivit, de laquelle je parvins tant bien que mal à m'extirper. Je me retrouvai nez à nez avec la Khajiit sur le chemin de la fuite, et un duel à mort s'ensuivit. Mon visage porte désormais le souvenir de la trahison : une triple balafre causée par un coup de griffes particulièrement vicieux, et qui faillit me faire perdre mon œil gauche...

    Après avoir achevé la traitresse, je sautai sur un cheval et me mis à galoper en direction du Nord, espérant atteindre la frontière de Bordeciel avant que la Légion ne me rattrape. Las, nous autres Argoniens sommes des êtres à sang-froid, et le climat des montagnes entourant Bruma auquel je n'étais pas encore habitué eut bientôt raison de mon métabolisme. Je me mis à hiberner sur le dos de ma monture, pour me retrouver au réveil... sur un chariot, au milieu d'un convoi de condamnés à mort par l'Empire ! Et le plus drôle dans tout ça, c'est qu'il semble bien que je sois embarqué dans un conflit politique nébuleux, qui ne me concerne ni de près ni de loin.

    Il semble que cette fois, ce soit la fin. Mais qui sait, le destin étant plein d'ironie, peut-être n'est-ce là encore que le début d'une autre vie.






    (Infos complémentaires : Sho-Zen Waan est un spécialiste en discrétion, crochetage, vol à la tire et archerie. Il utilise des magies d'illusion et de conjuration, préférant laisser ses ennemis se massacrer entre eux ou combattre ses atronachs, avant d'achever les survivants d'une flèche vicieusement placées entre les omoplates.)
    Dernière modification par invock ; 13/12/2011 à 16h55.

  2. #2

    Titus Ashkvara

    Non, je ne suis pas orphelin comme beaucoup en tamriel prétendent l'être (probablement des bandits en repentir cherchant à faire verser la larme pour excuser leur méfaits) , non mes parents n'ont pas été assassiné et mon chien n'a pas non plus été violé devant mes yeux non, mon enfance est moins.... trépidante, je suis née dans la ferme de mes parents (ils sont propriétaire terriens et possède beaucoup d'employé), une ferme située dans une oasis situé en plein milieux du désert de l'alik'r.
    J'ai été élevé dans la tradition Ra-Gada, mes ancêtre étant d'ancien noble il y a de cela plusieurs ères quand ceux que l'on appelle rouge-garde maintenant occupait le continent de yokuda.
    J'ai eu donc une enfance paisible mais dédiée à l'entrainement aux armes.
    A 18 ans je du quitté le domicile, une tradition familiale, n'étant pas l’aîné je ne suis pas destiné à reprendre les affaires de la ferme , notre sort peux paraître terrible mais pour garder notre lignée forte, nous sommes envoyé sur les routes de tamriel avec pour biens : 100 septims.
    J'ai donc dépensé mes 50 premiers septim dans la caravane me menant à Sentinel, la capitale d'hammerfell pour y trouver un travail, après plusieurs jours de recherche et ayant dépensé mes 50 derniers septim je finis par accepté le premier emplois que j'ai trouver : docker.
    Après plusieurs semaine de travail je me rend à l'évidence, ce travail est une impasse, je quitte donc mon emplois et désespéré je passe ma soirée dans le rade le plus miteux du port, avec pour espoir d'y trouver un boulot moins ... propre mais plus rémunérateur.
    C'est lors d'une bagarre de taverne qui finis par éclater que je me retrouve embauché comme garde du corps par un capitaine de navire... un pirate.
    Cela se passa bien, trop bien même, mon bagout "éloquence" et mon habilité aux armes me rend très populaire auprès de l'équipage, si bien que le capitaine finis par me soupçonner de vouloir fomenter une mutinerie.... il passera à l 'action pendant mon sommeil en tentant de me planté une dague dans l'oeil, chose presque réussie, je me suis réveillé à temps, j'ai pu esquivé un peu tard le coup mon visage restera mutilé à vie.
    Je tue donc le capitaine avec sa propre dague et me sauve du navire.
    C'est alors que je décide de voir tamriel, de partir visité cyrodill et la capitale impériale, mais déjà des bruits court à propos de troubles dans la région de skyrim... peut être une bonne opportunité pour des mercenaires tels que moi?? je décide donc d'y aller, prêter ma lame et apprendre l'art de la forge car l'expérience avec le capitaine m'a appris que je ne peut compter éternellement sur la force de mon corps pour gagner ma pitance.



    Moi dans l'armure orc que je viens de forger.
    Tout ce que je mets est trop gros

  3. #3


    Brahkmar

    Miaou.
    J'ai vu le jour à Vivec, trouvé abandonné dans les égouts au milieu de mes frères et sœurs mort noyés. Recueilli par Llindt, maître chocolatier et membre de la guilde des voleurs à ses heures perdues, il m'a affublé du surnom de Brahkmar en raison d'une particularité physique plutôt surprenante pour ma race. Vivant de vol à l'étalage et de rapine, apprenant les ficelles du métier et la température idéale pour travailler le cacao grâce à Llindt, je me suis fait un nom dans le milieu de la nuit en arpentant les ruelles malfamées des grandes villes de Morrowind. Je devins également le bourreau des cœurs du coin, multipliant les conquêtes féminines et les drames conjugaux. Cela prit fin un jour quand je fus rattrapé par la justice ( ou plutôt par un juge cocufié dirais-je) et condamné à être pendu en place publique. Mes accusateurs m’amenèrent eux même jusqu'au gibet où la sentence fut appliqué devant une foule en colère, en partie composé des femmes épanouies de mes détracteurs scandant "Mon Chéri".
    Bon, ils auraient dû savoir que j'avais neuf vies et j'en tirais avantage pour la deuxième fois en ressortant de la nécropole ... Oui, je suis déjà décédé une fois, causé par la réception d'une chaussure en ébonite dans la gueule alors que, juché sur une palissade, je faisais la sérénade à une demoiselle nordique...
    Après cet incident somme tout banal, je décidais de quitter la région pour le nord de Tamriel, longeant les montagnes sud de Bordeciel tout en exécutant de menu larcins dans les fermes isolées pour survivre.

    Comment j'ai fini dans ce charriot me menant au billot ?
    Je venais de faire la rencontre d'une jolie fermière, Mathilde la Joufflue, 110-110-110, joues pourpres et chaudasse avinée quand son fermier de mari débarqua en furie dans la maison. N'écoutant que mon courage, je pris la poudre d'escampette en me jetant courageusement à travers la fenêtre, causant de ce fait une nouvelle mort. J’errais donc à la frontière nord de Cyrodiil poursuivi par une meute de mari hargneux, d'assassin payé pour me dessouder, usant mon stock de vie en crevant minablement, tantôt en tombant ivre-mort d'un escalier ou de fatigue en tentant de lire les quarante-huit volumes de la biographie d'Uriel Septim VII.
    Au fil de mes pérégrinations, je me retrouvais au plus près de Bordeciel, me vint à l'idée de rejoindre mes confrères de la guilde des voleurs.
    Et l'on dit que les femmes de Solitude ne sont pas farouches.
    Et me voila donc dans ce chariot ( un cheval fiscaux) alors que je tentais de passer la frontière.
    Malheureusement, j'ai utilisé toutes mes vies ces derniers mois et je ne saurais dire ce qui m'attend si ce n'est le tranchant froid d'une hache affutée.

  4. #4
    Thorgalen



    Mon nom est Thorgalen de Sauronir-Beladriel, fils d'Artgalen de Sauronir-Beladriel, je suis né en 4e166 à Kvatch, en Cyrodiil.

    Mon père, issu de la vieille noblesse de la cité impériale, voyait en moi la relève tant espérée.
    Seul mâle d'une fratrie de 7 enfants, pour lui mon chemin était tout tracé, d'abord les collèges privés, puis l'Ecole Tamrieliste d'Administration pour finir gestionnaire de comté, économiste royal ou fin politicien.
    Ma mère, Sybillia, fille d'un forgeron de Bordeciel, aux origines bien plus modestes, n'entrava point les desseins de mon père me concernant.

    J'avais huit ans quand, pendant d'un séjour chez mes grands-parents nordiques, je suis tombé sur des documents que mes yeux d'enfant n'auraient pas dû voir.
    Ces livres parlaient de contrats, d'assassinats, de cambriolages, de confrérie noire et de guilde des voleurs.
    Je compris alors que le grand-père que j'idolâtrais menait une double-vie, à la forge la journée pour devenir une fois la nuit tombée un des plus grands voleurs et assassins de Bordeciel.
    Ce jour-là, je comprit que ma destinée serait de marcher sur les traces de mon aïeul, que la vie décidée par mon père ne me conviendrait pas, que le sang des nordiques allait prendre le pas sur celui des impériaux.

    Ce n'est que bien plus tard, à 14 ans, la majorité à Tamriel, que je quittais le domicile familial pour partir rejoindre mes frères nordiques, au grand désespoir de mon père, qui comprit que tout les Septims du monde ne ferait pas de moi un notable.

    Pendant des années, j'ai vécu de rapine, de vol à la tire et de meurtres de bas-étages dans l'espoir d'attirer l'attention de la guilde et de la confrérie.
    Mon grand-père, mort peu de temps après ma découverte, je ne pouvais compter que sur moi-même.

    Pendant longtemps je me suis demandé si je serai digne de mon ancêtre jusqu'à ce jour... Le Jour où je me suis fait pincé par les impériaux et condamné à mort... le jour où tout à vraiment commencé.

    Depuis, je suis devenu Rossignol et Oreille Noire devant l'éternel, l'ombre est mon alliée et c'est à peine si mes victimes entendent le bruit de ma lame sortant de son fourreau, mon bras gauche vole et mon bras droit tue.
    Mon but, aujourd'hui, est d'unifier la guilde des voleurs et la confrérie noire sous la bannière de la Sombre Obédience qui marquera de son empreinte les légendes de Tamriel.
    Dernière modification par Artgalen ; 24/11/2011 à 13h48.

  5. #5
    Donc c'est un impérial ou un nordique le grand ténébreux des ténèbres ? Dans le doute je l'ai classé impérial, mais dis-moi si je m'ai gourré

    [EDIT] Bon, Sybillia, c'est quand même du nom Cyrodiilien, donc je pense ne pas m'être planté.
    Dernière modification par invock ; 25/11/2011 à 16h10.

  6. #6
    C'est un impérial, il vient de Cyrodiil.

  7. #7
    ça pourrais être une famille originaire de skyrim qui s'était expatrier en cyrodill aussi ^^ mais bon vu qu'il y a le mot noblesse je crois que c'est bien un impérial
    Tout ce que je mets est trop gros

  8. #8


    Ce mage Altmer qui a l'air de tirer la gueule, c'est Lestat.
    Et il en a des raisons de tirer la gueule.
    Le nord, il aime pas ça. C'est froid, ça grouille de sauvages.
    Ces gens ne semblent pas avoir correctement assimilé le concept de civilisation.

    Un état de fait qui lui pose problème : lui se sent à l'aise dans les intrigues de cour, quand il s'agit d'exploiter les faibles et de manipuler les puissants.
    Mais ces péquenauds ignares ne comprennent que la loi des armes et se montrent incapables d'apprécier la justesse d'un discours raffiné, ou la subtilité d'un sort de persuasion.

    La magie en Bordeciel, parlons-en : des simplets provinciaux qui s'affolent au premier sortilège de novice, et une 'académie de magie' perdue au fin fond du trou du cul d'un pays d'arriérés.
    On pourrait difficilement imaginer plus mauvaise situation, or il lui faudra faire avec. Il n'est plus le bienvenu ailleurs en Tamriel et c'est ici qu'il doit s'établir de nouvelles relations.

    Mais bon sang ce que ça lui coûte de faire mine de s'intéresser à ce peuple de tocards à fourrure !

  9. #9
    Peut être mais ça ne lui interdit de pas de se laver de temps en temps.

    Crado!
    Tout ce que je mets est trop gros

  10. #10
    Ça faut avouer y fait clodo le mage :D. J'aime ce topic, vais ptete mettre mon argonien si je trouve le temps pour écrire 20 mins au lieu de jouer bordel !

  11. #11
    Mauvaise langue. Il s'adapte, y fait des efforts d'intégration, et v'là comment il est reçu !



    Et voici Farah. Le sang bréton dans ses veines aurait pu la pousser sur la voie des arcanes.
    Et bien pas du tout; Farah au contraire a décidé de devenir chasseuse de mages.
    Ce n'est pas une tueuse sanguinaire pour autant, Farah est une brave fille, seulement un peu à cheval sur ses principes.
    D'ailleurs elle n'est pas farouchement opposée à toute forme de magie; elle respecte les guérisseurs et ceux qui usent de leurs talents pour protéger les faibles.
    Elle a même un penchant naturel à s'intéresser à ce type de sort. Penchant qu'elle essaye de réprimer, une chasseuse de mage qui lance des sortilèges, ça ne fait pas très sérieux.

    Non, ses ennemis ce sont les nécromants, les adorateur de daedras, les suceurs de sang et autres lycanthropes monstrueux, tous ceux qui ont tourné le dos à leur humanité. Pour ces déviants là, pas de pitié.

    En tout cas, jusqu'à maintenant.
    Imaginez un peu son trouble aujourd'hui : elle, Farah, farouche opposante à la magie noire et aux horreurs contre-nature, tirée d'un mauvais pas par un foutu loup-garou ? Sans lui elle serait morte aujourd'hui.
    Oh comme elle brûlait de lui enfoncer une lame d'argent dans le coeur.
    Mais on ne tue pas quelqu'un qui vous a sauvé la vie!

    Incapable de prendre une décision, elle s'est retirée tout là-haut, au sommet de pierre.
    Mais il lui faudra redescendre. Et choisir : tuer celui a qui elle doit la vie, ou laisser vivre un monstre caché sous les traits d'un ami...

    (et c'est un vrai putain de dilemme là, je m'y attendais pas et je sais pas quoi faire avec ce perso du coup )

  12. #12
    Un véritable ami tire dans la tête de ses potes devenus zombies, en versant une larmichette. Et ça devrait être pareil pour les loup-garous !

  13. #13

  14. #14


    Valahyru - Altmer

    Valahyru ne sait pas très ce qu'il fiche en Bordeciel, mais il se rappelle très bien du désagréable souvenir du moment où il y avait faillit perdre la tête.
    Pourtant, ce mage appartenant au peuple des Haut-elfe n'est pas vraiment rancunier puisqu'il doit sa survie à un garde de la Légion Impériale, les mêmes en voulant à sa pauvre tête. Une douce ironie qui le suivra tout au long de ses aventures.
    Ayant vécu par le passé de nombreuses années en Cyrodiil, il connait très bien l'Empire et les agissements de ces gens là et ne s'étonne guère du sort qui lui a été réservé lors de ses pérégrinations en Bordeciel. Son ultime but était de rejoindre la très réputée mais dangereuse académie de Fortdhiver. C'est d'ailleurs là bas qu'il rencontrera pour la première fois un Thalmor appartenant à sa propre race. Alors que l'on aurait pu penser que tout irait pour le mieux, le débat s'est horriblement durci pour en venir au résultat que l'on imagine aisément. Encore une fois, les ennemis et les amis de Valahyru ne sont pas ce que l'on aurait pu imaginer dès la première fois.

    Passant son temps à vagabonder pour faire de nouvelle découverte en Bordeciel, il ne souci guère des gens l'appelant Enfant de Dragon, préférant vouer un culte pour les terribles Daedra dont la mauvaise réputation n'est maintenant plus à faire. Malgré cette bonne situation qui semble le combler, et cela même si le danger le guette à chaque croisement, il réfléchi à son retour à Cyrodiil dans sa vielle et chaude ville aux marbres blancs d'Anvil. Il se rappelle souvent des interminables moments passés au pied du phare à contempler la luminosité rasante du soleil jouant avec les légères vagues d'une mer calme. Tout cela lui manque terriblement, mais la dure et froide province de Bordeciel a eu raison de ses bons sentiments et Valahyru envisage maintenant d'explorer les ruines se trouvant sur l’île de Vvardenfell à la suite de l'éruption du Mont Écarlate. On lui a souvent parlé de la ville de Balmora et de l'atypique cité de Sadrith Mora dont les habitations sont apparemment construites dans des champignons. Voilà un très bon moyen pour lui d'expérimenter une nouvelle forme d'archéologie plus récente.

    À en croire cette petite biographie, nous pourrions facilement penser que ce mage est dénué de sentiments, ou tout du moins qu'il est un Altmer ayant une humeur aussi vagabonde que ses voyages. Mais à vrai dire, ce n'est pas vraiment le cas. Il aime les bonnes choses, comme le fait de tout simplement partager un bon repas en compagnie de quelques compagnons d'infortune dans une auberge. Il apprécie également la musique et pourrait passer des heures à écouter les fameux bardes de la très aérienne cité de Solitude. Finalement, il aime les choses simples que lui offre le monde, des choses communes à toutes les personnes vivant sur ces terres quelque soit leurs origines.

  15. #15


    Olipro - Impérial

    Les armes, c'est bien, ça tranche. Avec une armure légère et un bouclier, je suis paré au corps-à-corps bien violent, mais tout de même technique. Je sais straffer pour éviter les coups, faire de belles parades, charger l'épée et le bouclier en avant tel un Huscarl, ou me servir de deux armes à la fois. L'épée est un bon recours quand la fourberie et la magie ne suffisent plus.

    Mais parfois, j'aime réfléchir avant de foncer tête baissée. Je sais manier l'arc correctement, planqué en hauteur, je peux atteindre une cible à 100 mètres, sans que personne ne s'en aperçoive. Je suis fourbe, je peux me faufiler derrière l'ennemi et lui trancher la carotide dans l'ombre. On dit que j'ai les mains baladeuses et que je ne suis pas digne de confiance. Grumf. En tous cas, c'est souvent ma première approche avant d'user de la magie ou de l'épée.

    Donc pour redorer un peu mon blason, je me suis aussi investi dans les sciences de la magie. Je maîtrise quelques sorts de destruction que j'allie correctement avec l'environnement, je sais me soigner de façon plutôt efficace et poser des runes pour piéger les innocents. Mais là ou j’excelle, c'est dans la nécromancie. Je prends un malin plaisir à réanimer des morts afin qu'ils se battent à mes cotés. J'abuse aussi de certains sorts qui complètent les deux dimensions précédentes (le combat et la fourberie).

    Et comme il n'y a pas que la guerre dans la vie, à mes heures perdues, je forge de magnifiques armes et armures, produits de superbes potions à partir d'une vaste liste d'ingrédients dont je connais les caractéristiques, et je me suis récemment mis à l'enchantement de bidules en tous gens que je revends hors-de-prix à des marchants qui s'imaginent meilleurs magouilleurs que moi.

    Au fait, faut que je vous présente la petite aussi. C'est une épée d'acier de la Forgeciel, améliorée par mes soins. Avec ses 55 points de dégâts, c'est une arme très puissante et pure dont je ne me séparerai jamais.

    Pour conclure, rares sont les gens qui parviennent à me cerner, je suis adapté à toutes les situations et peu de techniques me sont secrètes. On m'appelle Le couteau-suisse de Bordeciel.
    Je fais même le café.
    Dernière modification par Olipro ; 05/12/2011 à 18h50.
    ⚜ Une foi, une loi, un roi.
    Senscritique

  16. #16
    Dans le doute je l'ai classé impérial
    Thorgalen te fait savoir que tu l'a inséré dans la bonne catégorie et qu'il exécute beaucoup de contrats pour se payer le meilleur psychanaliste de Bordeciel afin de soigner son complexe d'Œdipe.

  17. #17

    Un petit nouveau, vous pouvez l'appeler Bran-Jul, ce qui pourraît être traduit par "Vole afin de substenter à ses besoins", mais étrangement, peu de personnes le nomment ainsi. De toute manière, son nom importe peu puisqu'il n'a jamais passé le rite de ceux de sa race.

    Il a en effet passé sa jeunesse à Omayni, en Morrowind, ou il travailla comme esclave pour de riches propriétaires Dunmers. Montrant un grand potentiel pour la magie, il fut très vite racheté par un érudit impérial souhaitant l'utiliser comme cobaye afin de confirmer certaines de ses thèses. Ce dernier lui permit de développer ses talents magiques dans l'illusion, la destruction et la guérison, mais également d'organiser son premier meurtre (l'érudit jouant le rôle de victime ).

    Libre, il parcourut durant plusieurs années le nord-est de Cyrodiil ainsi que l'ouest de Morrowind, où il soutint différentes organisations luttant contre l'exploitation des plus démunis, notamment en participant à de très nombreux cambriolage, falsification et même assassinat. Il finit toutefois par se lasser du manque de volonté de ses "exploités" qui refusaient trop souvent d'engager des actions armés et jugea que ceux qui souhaitaient s'en sortir devraient désormais faire comme lui : se débrouiller.

    Il décida alors de rejoindre un petit hameau peuplé d'Argonien et de Khajiit qui se situait entre Hammerfell et Cyrodiil dans le but d'y prendre une retraite bien méritée. Mais cela ne dura pas bien longtemps, persécuté par des elfes, le village fut déserté du jour au lendemain après la découverte d'un soldat Thalmor égorgé gisant dans la rue au petit matin .

    Il décida donc de retourner au Marais Noir afin de se rendre compte de la situation politique de son peuple et éventuellement d'organiser une "résistance". Malheureusement, payer le conducteur de la charette en bouteille d'alcool se révéla être une mauvaise idée quand "l'excellent raccourci" proposé par le chauffeur traversa une escarmouche. Soupçonné par les vainqueurs - des impériaux -, d'être du camp adverse, il fut enchaîné et chargé dans un véhicule, probablement pour être jugé.

    -
    Sauvé miraculeusement par l'arrivée d'un gros machin jamais vu auparavant, il a changé ses projet. En effet, il est maintenant embarqué malgré lui dans une histoire qui pourrait rapporter beaucoup. Il est donc décidé à exploiter le filon jusqu'à épuisement avant de retourner au pays les poches pleines.
    Il offre ses services à qui en voudra (tant qu'il donne plus que le voisin), à l'exception des Impériaux qui ne reçoivent de se part que des coups d'épée dans le ventre (il n'aime pas beaucoup qu'on tente de le décapiter).
    -

    Un premier perso Argonien type voleur/mage. J'évite tout ce qui est empire, guildes des guerriers ou "trop honnête" afin d'avoir des choses à découvrir avec ma future guerrière forgeronne


  18. #18
    Sympa ton argo
    Je fais pareil je me limite coté guilde a celles qui colle au rp de mon perso.
    Tout ce que je mets est trop gros

  19. #19
    Citation Envoyé par Jasoncarthes Voir le message
    Sympa ton argo
    Carrément.

    -------------------

    Ak'Ghor - Impérial


    Je suis né dans les terres intérieurs de Cyrodiil, enfant, j'ai vu mon père sous l'emprise de la colère, violé ma pauvre mère et l'égorgé sous mes yeux... cet acte restera à jamais gravé dans ma mémoire, mon père se suicidera ensuite, me laissant seul en pleine forêt.

    Aujourd'hui je peux dire que je m'en suis sorti grâce à ma faculté d'adaptation et de survie, est ce le destin ? ou ma force intérieur ? je ne sais pas, par contre je suis sûr d'une chose, le sang de mon père coule dans mes veines, j'aime tuer, violemment, furieusement, j'ai besoin de ça pour me sentir vivant, si ma pauvre mère me voyait... elle qui était si attentionné avec moi, je crois qu'elle me manque... néanmoins sa passion pour la lecture m'a été transmis, quand je ne tue pas, je lis, beaucoup, les bouquins sur l'anatomie humaine me passionne tout particulièrement.

    J'ai donc gagné ma vie en alternant plusieurs boulots pendant des années, marin pêcheur, serrurier, faiseur de cercles, charpentier, j'ai énormément voyagé, je peux dire que j'ai vu du pays, ça oui, et des femmes aussi, beaucoup de femmes, malheureusement je suis un loup solitaire, la tristesse me suit comme une ombre, certaines femmes ne supportant pas de me voir partir, je les tuais pour éteindre leur chagrins, l'amour à ses raisons que la raison ignore...

    Pendant ces expéditions au quatre coins de Tamriel j'essayais donc d'assouvir mes pulsions meurtrières mais ce n'était pas toujours facile, jusqu'au jour où pendant une traversé vers Solstheim, le nom de Confrérie Noire me vint à l'oreille par le capitaine du navire pendant une soirée un peu arrosée, ce vieux birbe affirmait que cette guilde d'assassins était à la botte de l'Empire, certains marins étaient d'accord avec lui et d'autres non, pour ma part je m'étais retiré dans ma couchette pour réfléchir.

    Je fis escale au prochain port.

    Bordeciel, voici le nom de cette terre où ma vie prendra une tournure pour le moins bizarre, prêt à tout pour rejoindre cette fameuse confrérie, je fis confiance aveuglément aux autochtones, quel idiotie de ma part ! je me vois alors embarqué comme prisonnier innocent, sans pouvoir me défendre de cette erreur ! injustice honteuse d'un Empire tel que celui-ci, me retrouvant face à la mort, aux murmures de mes dernières pensées, je suis sauvé par un dragon (!) je sus à cet instant que j'étais différent.

    Mon nom est Ak'Ghor et je suis en Bordeciel pour assouvir ma passion, tuer, femmes comme enfants, je n'ai aucune limite, tant que je serais vivant, une personne mourra chaque jour.
    Ma raison de vivre, c'est de prendre la vie, une seule règle, les animaux sont toujours innocents.

    Expert à l'épée, assassin depuis toujours, mes meurtres sont violents et sanglants, je ne fais pas dans la dentelle, mes frères de la guilde m'ont nommé "Le Sanguinaire".
    Bordeciel étant actuellement en plein trouble, la Confrérie Noire ne s'est jamais mieux porté, mes besoins meurtriers aussi, plus le statut social du condamné est élevé et plus mon sang bouillonne, tenez en parlant de sang, je vous ai dit que j'étais aussi vampire ?

    Dernière modification par Spawn ; 29/11/2011 à 15h05.

  20. #20
    Canardpc.com repère de dangereux psychopathes

  21. #21
    Mon perso est clairement un psychopathe oui, mais il en est conscient, donc finalement pas si dangereux que ça si on sait lui parler.

    Ou pas



  22. #22
    J'adore vos histoires!! Vous m'avez donné envie de raconter celle de mon personnage. Et puis, je croyais que Olipro ne squattait que Minecraft. Je te lancerai bien un : "Hé! C'est moi Imoen! C'est bon de vous revoir"


    Athanor, l'archer Rougegarde.

    Mon nom est celui de mon arc. C'est l'arme de prédilection de ma lignée de sang. Nous sommes archers de père en fils, de mère en fille. L'arme au corps à corps est étranger à mes yeux. Elle ne m'intéresse point, me repousse. Je la soupçonne de vouloir se retourner contre moi à chaque occasion. Je n'ai pas confiance en elle. Exilé des forêts du nord de Hammerfell, mon penchant pour le meurtre m'a poussé à vivre loin des miens pour ne pas causer tort au prestige de ma famille. Le meurtre, contrairement à l'assassinat, est pulsionnel voire naturel. L'assassinat, au contraire, est comme une insulte à notre intelligence, un sous-meurtre, avec des raisons qui viennent troubler et maquiller nos vrais instincts.



    J'aime la distance. Celle que je parcours et celle qui me sépare des autres. La proximité est aussi sournoise que pernicieuse. D'ailleurs, la plupart de mes rencontres avec des inconnus débutent par un décochement de flèche à la jambe ou à la main selon la corpulence. Cela se solde souvent par la mort ou l'agonie. En cas d'agonie, le poison en bout de pointe de flèche se charge de ne pas la faire durer trop longtemps. Si la proie survit à cette attaque, tirer en furtivité me permet d'apercevoir les sensations de ces êtres étrangers afin d'analyser comment les aborder.

    Comme pour chaque membre de ma famille, je suis en quête d'un arc exceptionnel et unique pour définir qui je suis. Peu importe les moyens, je dois trouver l'arc qui correspond à mon être intérieur. Je ne l'ai pas encore trouvé...


    Mon prénom est Athanor. Il vient de mon affinité avec l'alchimie. Le goût étant particulièrement développé chez moi. La richesse des saveurs et effets peut être une raison de m'aventurer hors de mes terres originelles. C'est la seule compétence qui me donne l'occasion d'être plus sociable avec d'autres personnes. Jongler avec les mesures du sel, du souffre et autres ingrédients me donne autant d'appétit intellectuel qu'un dépeçage d'animaux me donne de l'appétit physique. L'alchimie est utile pour mes diverses potions de poison. Les araignées sont les meilleures réserves à venins que je connaisse. Ce poison qui s'insinue dans les veines et liquéfie la chair est d'une efficacité redoutable. Il paraît que ces bestioles offre un poison de qualité supérieure en Skyrim, notamment grâce au climat rude et à la faune encore plus hostile qu'en forêt humide.


    Equipé d'un simple sac fournit en sel et quelques légumes, d'un des arcs de mon père et de quelques flèches elfiques (la qualité des flèches impériales étant douteuse), je décide de m'aventurer sur le territoire des gens du nord en laissant tout ce que je connais derrière moi. A mon arrivée en ces terres enneigées, j'ai eu le malheur de blesser, d'une flèche, la mauvaise personne au mauvais endroit. Cela m'a valu une confiscation de mes biens et un voyage en charrette en direction de l'abattoir de ces gens du nord. Sauvé in extremis par un animal que je n'ai jamais vu auparavant, je vais pouvoir continuer ma quête de l'arc...

    Entrainé par les évènements, je me retrouve dans un combat avec ce genre d'animal que les gens du nord nomment : "dragon".
    Après une série de coups de haches, d'épées et de flèches, la bête se décide à poser les pattes sur terre et me laisse mettre un terme à sa vie. Nous l'avons fait! Nous avons battu un "dragon" ! La fierté me gagne et mon père aurait aimé voir cela. Les soldats de Blancherive éclatent de joie et hurlent à la victoire. Puis soudain, une lumière jaillit du corps du reptile volant et m'enveloppe pour ensuite me pénétrer ! Une énergie, que j'absorbe naturellement sans effort ni douleur, qui tout à coup, me force à pousser un cri.

    " FUS !!!" Pourquoi ce mot ?! Pourquoi ce cri ?! J'ai la sensation bizarre d'être plus fort. Les soldats s'approchent de la dépouille puis me fixent du regard, les yeux écarquillés et la bouche grande ouverte. Les soldats s'exclament et me surnomment : " Dohvakiin, fils de dragon !!! ". Qu'est-ce donc ce surnom ? Un titre honorifique ? Une insulte ? Ces gens sont bien bizarres. Me donner un surnom alors que je n'ai toujours pas de nom convenable...




    PS : Mon film de chevet est " Predator "
    Citation Envoyé par 564.3 Voir le message
    Là j'ai mangé n'importe quoi et j'étais toujours au bord de la fringale

  23. #23
    J'adore les 2 images !

    Donc tu as honte de la tronche de ton personnage ? :D

  24. #24
    Le personnage de ma partie sur mon portable (les graphismes son donc largement moins bon...)


    Ama, de son petit prénom, est née en Hauteroche comme la plupart de ses homologues Brétons. Originaire d'un village proche d'une région peuplée d'Orc, elle a dès sa jeunesse appris à se battre lorsqu'elle accompagnait son père pour leur vendre du Skooma. Son désir d'aventure est réellement apparu lorsque les dit Orcs ont totalement massacrés son village (et accessoirement sa famille ), l'obligeant à s'exiler à Daggerfall.

    Débrouillarde, elle devint très vite apprenti d'un forgeron & enchanteur qui lui apprit les ficelles du métier. Mais dès qu'elle obtint assez d'argent pour, elle fit l'acquisition d'une puissante hache, d'une armure lourde complète et d'un cheval afin de partir rendre la justice dans ce monde pourri par la corruption .

    Elle est déterminée, déteste les machins tout vert - Qu'ils ressemblent à ces immondes bestiaux d'Orc ou aux autres lézards pernicieux - et tout ce qui ressemble de près ou de loin à un félin (elle est persuadée qu'ils attendent le bon moment pour éliminer tous les hommes ). Elle a également un faible pour le tranchage de têtes de receleur de Skooma.

    Elle soutient fermement l'Empire même si leur concept de la justice semble étrangement différent du sien. C'est ainsi qu'elle fut enchaînée dans une charette, les soldats impériaux jugeant "que rien ne permettait d'affirmer que ces hommes désarmés soutenaient les Sombrages". Pourquoi ils portaient du bleu alors ? Hein ?


  25. #25
    Citation Envoyé par Nacodaco Voir le message
    Elle est déterminée, déteste les machins tout vert - Qu'ils ressemblent à ces immondes bestiaux d'Orc ou aux autres lézards pernicieux - et tout ce qui ressemble de près ou de loin à un félin (elle est persuadée qu'ils attendent le bon moment pour éliminer tous les hommes ). Elle a également un faible pour le tranchage de têtes de receleur de Skooma.

    Tu sais donc pas que c’est pas bien, d’être raciste ? Que c’est mal ? Qu’on ne doit pas faire de discrimination raciale, c’est mal. Juger les gens sur leur religion, c’est mal. Sur leur couleur de peau, sur leurs origines sociales ou sur leur nationalité, c’est mal.

  26. #26
    Citation Envoyé par Spawn Voir le message
    Vraiment très stylé ton personnage

  27. #27
    .Sana Khan.
    .Rougegarde.
    .Fine lame, soigneuse, forgeâge, enchanteuse et majoritairement alcoolique.


    Bon bon bon...par ou commencer...Ha ! oui ! Bien que je ne sois habituellement peux à même de parler de moi, le doux bruit des pièces d'or que je viens de recevoir d'un scribe me pousse à lui faire la sérénade, oui, celui la même qui me regarde les yeux vitreux et la plume tremblante. Si cela me permet de me payer quelques pintes de plus !

    "Lance une choppe pleine d'hydromel vers l'homme en robe"

    Je disais donc..."hum".
    Je préfère tout d'abord qu'on me nomme tous simplement Sana, c'est bien plus rapide à mémoriser, surtout pour les gens que je fréquente le plus souvent: les hommes et les femmes ayant comme moi l'amour des liquides divins, quand on en tiens une bonne, les souvenirs, c'est plus vraiment ça.
    Je suis bien obligé de l'admettre, ici il savent boire !
    Mon enfance était des plus simples, fille d'un paysan des plus classiques mais malheureusement sans mère, j'ai du très vite apprendre la dure vie de la ferme, j'ai eu la chance en temps que petite fille d'être pris en affection par les bretteurs à la solde d'un petit duc de campagne à force de venir leur amener des en-cas, pommes et eau clair que mon père leur faisait livrer régulièrement durant leur entrainement quotidien, livraison que j'entreprenais souvent à son insu tellement j'étais passionné par ces hommes en armes. Bien entendue, un jour il se rendit compte de mes incursions et je fut promptement corrigé, brave père, il était plus inquiet qu'autre chose.
    Soucieux de ne plus me voir pendant une semaine, un des soldats est venue s’enquérir de ma santé. Mon père à donc compris qu'il avait été dure, et sachant que j'étais prête à tous pour revoir les danses de l'épée, il se dit que peut-être, l'opportunité était de mise. Travailler dans un rang plus avantageux est toujours bon.
    J'ai donc retrouvé les joies de voir chaque jour ma passion et mes grands frêres d'armes, élevé comme un garçon on peux dire et de file en aiguille, j'appris à manier les lames et les rudiments de la forge. Une fois en âge d'être adulte, brulant de découvrir le monde, mon vieux père n’eut d'autre choix que de me laisser prendre mon envole. Après tout, j’étais un vrai garçon manqué. Les hommes du duc essayèrent bien de me retenir et de me persuader de rester dans leur service, mais ma soif était trop grande et je fis mon paquetage, deux lames d'argents, cadeau de mes compagnons, de quoi me nourrir pour une lune et une armure légère doublé de peau d'ours pour les nuits fraiches.
    J'ai vadrouillé, braconné durant longtemps, travaillé pour quelques pièces d'ors de nombreuses fois, et j'ai surtout découvert la chaleur que l'hydromel procure quand on est seul, dans le froid à la merci de la nature et des bandits rodant sur les chemins. Pendant bien dix ans, j'ai fais mes armes seul, me cherchant, et c'est la vie elle même qui m'a trouvé.
    Comment je me suis retrouvé en Bordeciel, héhé, non, ne dite rien, vous avez deviné, encore une soirée bien arrosé avec des soldats Impériaux de passage dans la ville de Cheydinhal, une belle ville ou j'avais fait halte après de long jour à braconner pour me faire quelque Septim en revendant des peaux de bonne qualité auprès des marchands.
    Mais cette fois ci, la cuite fut total, je ne sais pas quel idiotie j'ai pu faire, mais quand on se réveille en haillon, dans une carriole avec une gueule de bois légendaire sans aucun souvenir de beuverie, il y a de quoi s’inquiéter. Surtout qu’habituellement, je me retrouve simplement dans un cachot miteux d'une quelconque bourgade pour dégrisement et trouble sur la voie paysanne.
    Dans le brouillard complet, me gelant copieusement, un homme en face de moi, enchainé de la même manière m'explique rapidement la situation. je me demande bien pourquoi je suis en pleine montagne et...il m'annonce que je vais être exécuté !
    " ?"

    Plus tard j'ai appris de la bouche d'un vieil impérial que j'avais coupé la main d'un soldat un peu trop entreprenant. Il parait même que nous nous étions mis en tête de braver une ruine Elfique soit disant hanté dans le nord de Cheydinhal tellement nous étions aviné. Sur le chemin des ruines, le désaccord eux lieu. Une femme aimant l'alcool dans ce monde misogyne à la réputation d'être facile, bien lui en a pris, pauvre bougre.

    Me voila donc sur un billot prêt à me faire couper la tête. Vache ! Bas c'est le destin après tous, et je ne l'avais pas volé cette sentence quand on y réfléchie bien...

    Et la patatra ! Une sorte de lézard gigantesque avec une face démoniaque incroyable qui vient se poser juste au dessus de ma caboche prêt à rouler. Sans bien comprendre, le bourreau est devenue cendre sous mes yeux et la pagaille fut tel que je n'ai eu d'autre choix que de suivre mon instinct, à savoir courir, et vite !
    L'apocalypse était la, les murs s’effondraient devant moi, la chaleur était insoutenable, comme souvent décrit dans certain manuscrit traitant de l'Oblivion. Les morts jonchaient les rues et cette odeur de chair brulé... j'en frissonne encore de dégout.
    Et dans toute cette fureur, j'ai entendue la voie d'un homme me hélant. J'avoue ne pas avoir réfléchie, la première vrai porte de sortie était la, je l'ai donc suivie. Malheureusement, à peine le calme revenue, j'ai du affronté quasiment nue des soldats de la légions en passant par cette voie salutaire, rendue folle de rage par la situation, j'en ai tué beaucoup et quand revint le calme, j'étais en Bordeciel, sale, couverte de sang, de brulure et de balafre, j'en garde d’ailleurs un souvenir sur le visage.

    "Je portais ma main à la joue gauche, caressants les cicatrices, avec le regard dans le vague"

    *soupir*Et me voila devant vous, à raconter cette histoire, je savais que vous bruliez de savoir comment j'avais eu ces balafres sur le visage...

    Depuis, j'en ai appris une sacrée bonne, je suis "l'enfant de dragon", j'avoue ne pas en faire tout un foin même ci parfois, des hommes en armes félicitent mon port de l'armure draconique avec ce mélange d'envie et de jalousie dans le regard. En temps que femme, avoir une vie porté sur la bonne chair et la boisson une fois de longue chasse terminé n'était déjà pas de tout premier repos, mais la, être une tueuse de dragons, jamais je ne me serais douté qu'un jour les dieux me donnent un tel pouvoir.
    Ho ! Bien sur, la vie n'est pas facile tout les jours, mais les rencontres incroyables que j'ai l'occasion de faire par delà les routes n'ont pas de prix et voir ce que mes yeux on vue à de nombreuses reprises, je suis certain érudits serait prêt à piéger mon âme pour en extraire des écrits leur donnant satisfaction.

    Je vie ma vie, mais je passe le plus clair de mon temps à aider les gens, pourquoi ne pas utiliser le pouvoir que le destin m'a donné après tout ? Aider une vieille dame ou jouer avec un petit qui s'ennuie et souvent bien plus gratifiant que de ramener la tête d'un bandit à un Yarl. Les dragons sont une menace, et bien je ne crains pas de les affronter, beaucoup comptes sur la légende des enfants du dragons, et je donnerais satisfaction à tous ces gens dans la peur.
    Mais il y a une chose dont je resterais fidèle avant toute chose, le plaisir de boire dans un endroit chaleureux en compagnie d'hommes et de femmes, connue ou inconnue. Et sous cette couche froide d'apparence, les gens de Bordeciel couvent une chaleur des plus réconfortantes.

    "Lève sa pinte remplie d'hydromel en criant: Une tournée pour tous le monde tavernier !"

    Dernière modification par EpicFail ; 04/12/2011 à 16h03.

  28. #28


    Mawwic "One-Eye" C'Baoth.

    Dunmer anciennement spécialisé dans le commerce de la mort, qui a fini par trouver refuge en terres Nords.
    Avec l'espoir de mettre ainsi un peu de distance entre lui et la lutte de pouvoir opposant la Morag Tong à la Confrérie Noire.
    Querelle dont il a tenté de se tenir à l'écart, mais à laquelle il a fini par être mêlé malgré lui grâce à d'habiles jeux de pouvoir et de manipulation.

  29. #29


    Gruk gro-Grak, l'enfant de Malacath
    Hache, Bouclier, Armure lourde, Forgeron, Enchanteur
    Chaotique / Neutre-Bon

    Gruk est né orphelin en Cyrodiil. Seul contre tous. Il aurait pu finir sa vie dévoré par un loup, un ours ou pire, mais ce n'est curieusement pas arrivé. En réalité, Gruk semble avoir été protégé par de puissantes forces daedriques. Nul ne connait précisément le rôle de Malacath durant les premiers instants de la vie de Gruk, mais c'est pourtant sur un de ses autels au plus profond de la forêt qu'un chasseur l'a trouvé pour le ramener à Bravil.

    L'enfance de Gruk est aussi tragique que classique. Après quelques années au sein de l'orphelinat du village et dès qu'il fut en âge de porter un marteau, Gruk est devenu l'apprenti du forgeron Grak gro-Nagur. Grak a été un bon maître pour Gruk, il a pu lui enseigner les arts ancestraux de la forge et, fier de son élève talentueux, lui a même offert son nom patronymique. C'est durant ces années qu'est né chez Gruk cette fervente passion pour le feu et l'acier, pour le son du marteau et de l'enclume.

    Malheureusement, cette vie calme et satisfaisante devait avoir une fin. C'est arrivé un soir de beuverie lorsque Gruk, pas tout a fait conscient de sa force colossale, a brisé la nuque du fils d'un noble des environs pour une broutille. Son maître, rapidement informé, a été contraint de le chasser avant que la garde ne vienne le chercher. Profitant de la nuit, Gruk a évité de se faire lyncher par la population locale. Mais cette vie de coq en pâte était désormais finie. Il ne pourrait plus revenir à Bravil, il fallait retourner en forêt. De nouveau seul. Seul contre tous.

    Seul, il s'est battu. D'abord en Cyrodiil puis toujours plus au nord, jusqu'en Bordeciel. Seul, il s'est reposé et a continué de vénérer les dieux deadras. Orphelin et sang maudit, fils de Malacath, Gruk porte des larmes de sang noir en guise de peinture de guerre. Seul contre tous a toujours été sa philosophie. Les prémisses de ses aventures devait se terminer en Bordeciel, quand il a été fait prisonnier par les Impériaux. Là, il fait la rencontre de sa vie, celle qui progressivement allait lui révéler son destin : un dragon. De retour des âges oubliés.

    Aujourd'hui, Gruk tente de comprendre son rôle tout en essayant d'exister par lui-même, de vivre sa vie sans être réduit à devenir un outil du destin. Mercenaire, fondamentalement neutre-bon, il offre ses services tout en essayant d'interférer le moins possible dans les affaires des gens pour ne plus avoir à fuir. S'il ira volontiers chercher des sels de givre à l'autre bout du monde, il rechignera à trancher les vieilles querelles de ses voisins de Blanche-Rives. Et oui, Gruk est propriétaire désormais. Devenu riche grâce à sa passion pour le métal, il s'est installé à Blanche-Rives, tout près d'une forge. Là il se repose en paix, en écoutant la douce mélodie du marteau et de l'enclume.

    Ses aventures hors de Blanche-Rives sont plus intenses, il a même rencontrés certains dieux deadras. Gruk commence a se passionner sévèrement pour les deadras, notamment pour le pouvoir des artefacts deadriques. S'il pouvait recueillir ce pouvoir et le comprendre, peut-être qu'il pourrait le réinjecter dans d'autres choses plus utiles ? Vous l'aurez compris, Gruk souhaite forger des armes enchantées (et ça à l'air de marcher plutôt bien aux dernières nouvelles).

    Dernière lubie de notre Gruk : il s'est mis en tête de trouver l'amour. Après quelques tentatives infructueuses, notamment chez les prêtresses de Dibella, il a été tenté de se rabattre sur Lydia sa housecarl. Mais d'horribles rumeurs couraient sur elle et Gruk ne voulait pas finir avec une femme qui avaient connus tant d'hommes. Résigné, Gruk pensait ne jamais trouver l'amour. Pourtant, hier, au hasard d'un détour, Gruk a été touché. Une jeune villageoise, blessée à la jambe et qui se déplace mal, ne peut pas remettre un message à ses parents et lui demande de l'aide. Pourtant, elle ne rechigne pas à la tâche et semble piocher deux fois plus que les hommes de la mine. Comment vous dire... Le coeur de brute de Gruk, lui dont la force n'a jamais faibli, a juste fondu devant le courage et l’opiniâtreté de cette petite estropiée au visage d'ange. Je ne sais pas encore ce qu'il adviendra, tout ce que je sais, c'est que depuis Gruk porte une amulette de Mara en espérant la revoir de nouveau. Qui sait, il est peut-être temps de changer de philosophie ?
    Dernière modification par Anark ; 03/12/2011 à 01h58.

  30. #30

Règles de messages

  • Vous ne pouvez pas créer de nouvelles discussions
  • Vous ne pouvez pas envoyer des réponses
  • Vous ne pouvez pas envoyer des pièces jointes
  • Vous ne pouvez pas modifier vos messages
  •