Exact ! On retrouve plutôt les Sophie de Menthon, Denis Kessler, le frère de Sarko et autres copains de notre gouvernement actuel.
Envoyé par Julizn
You want to grab a politician by the scruff of the neck and drag him a quarter of a million miles out and say, "Look at that, you son of a bitch." — Edgar Mitchell, Apollo 14 astronaut
une balle, un imp (Newstuff #491, Edge, Duke it out in Doom, John Romero, DoomeD again)
Canard zizique : q 4, c, d, c, g, n , t-s, l, d, s, r, t, d, s, c, jv, c, g, b, p, b, m, c, 8 b, a, a-g, b, BOF, BOJV, c, c, c, c, e, e 80, e b, é, e, f, f, f, h r, i, J, j, m-u, m, m s, n, o, p, p-r, p, r, r r, r, r p, s, s d, t, t
Canard lecture
Bah en tout cas le problème reste entier : les syndicats français ne sont pas démocratique. Ils représentent rien, vu la faiblesse de leur base militante. Soit on oblige chaque travailleur à choisir un syndicat (en créant d'autres syndicats), soit on pratique le système enfantin d'une subvention étatique pour les syndicats caclulé au prorata du nombre de militant par branche d'activité.
A l'heure actuelle, les syndicats, c'est des coquilles vide qui ont un pouvoir immérité et illégitime.
Un vrai syndicat est un syndicats avec une vraie base, pas trois clampins qui se battent en duel et ergotent sur les philosophies de Proudon, Trotsky ou autres Marx.
Le faible taux de syndiqués vient AMHA du fait qu'on a l'impression qu'ils ne servent un peu à rien, vu que quasiment tout est fixé par la loi. Les jours de congés, c'est la loi, le smic, c'est la loi, le temps de travail, c'est la loi, etc. La plupart des gens ne se rendent compte de l'existence des syndicats que lors des grèves des transports (et des profs), ce qui ne contribue pas à leur donner une bonne image...
Dernière modification par Praetor ; 02/04/2012 à 22h41.
Mais puisse qu'on te dit que Bernard Thibault et François Chérèque ont organisé la resistance voyons ! Du coup ils sont forcément représentatifs !
---------- Post added at 21h55 ---------- Previous post was at 21h53 ----------
Y'a de ça aussi, mais comme on ne peut pas créer de nouveaux syndicats, même en essayant très fort ça marche pas de toutes façons.
C'est encore plus simple.
En France, ce que négocient les syndicats d'une boîte s'applique à tous les salariés de la boîte, même ceux qui ne sont pas syndiqués. Mais si vous voulez, on peut adopter le système allemand (c'est à la mode, en ce moment), où quand un syndicat négocie un avantage, seuls les travailleurs membres dudit syndicat en bénéficient… On verra si les syndicats restent «peu représentatifs» très longtemps.
Sinon, je vous rappelle que le fait à l'origine de ce passioooooooooonnant débat encore jamais lu en ces pages, n'est pas que les syndicats ça sert à rien, mais que le patronat british des entreprises du bâtiment avait un fichier totalement illégal établit avec la collaboration tout aussi illégale de la police britannique, empêchant des milliers de personnes de travailler, sans possibilité d'appel, sans prescription, pour avoir osé des actes tels queorganiser un barbecue-pétanquerelever la présence d'amiante non déclaré.
Donc hein, allez vous faire foutre, les trolls.
Dernière modification par AtomicBondage ; 02/04/2012 à 22h22.
You want to grab a politician by the scruff of the neck and drag him a quarter of a million miles out and say, "Look at that, you son of a bitch." — Edgar Mitchell, Apollo 14 astronaut
Oué, s'interroger sur le faible taux de syndiqués en France et les conséquences sur la (non)-représentativité c'est vraiment du troll de bas étage. On devrait avoir honte.
Ce n'est pas le client qui paye le salarié, c'est le patron. En fait, qu'il y'ait un client ou pas, le patron est tenu de payer ses salariés aux montants fixés par le contrat.
A l'origine de la relation de salarié-employeur est y'a question de risques et de responsabilité. L'employeur garde pour lui la valeur ajoutée produite par l'employé, car c'est lui qui assume le risque de l'activité. Le salaire fixe de l'employé ne sera ainsi jamais modifié en fonction de l'activité de l'entreprise, c'est sa sécurité. A l'inverse le patron n'a aucune sécurité et est responsable a la fois du succès ou de l'echec de son entreprise.
Le problème fondamental du patron aujourd'hui, c'est que les lignes sont floutées par l'évolution très rapide de l'économie ces dernières années.
Avant c'était assez simple, l'employeur était aussi le propriétaire, et les lignes étaient parfaitement définies. Or maintenant dans les SA, celui qu'on appelait le patron, ie celui qui donne les ordres et fait tourner la boite, n'est plus qu'un salarié, et les propriétaires sont les actionnaires. La responsabilité et les risques se retrouvent dilués a plusieurs niveaux, on attribue un status de "personne morale" aux entreprises alors que ça n'a fondamentalement pas de sens, et pour finir l'intervention de l'Etat fait en sorte que les notion de risque et de responsabilité sont désormais socialisées.
Bref, la logique du XIXème siècle ou tout était parfaitement défini avec des lignes bien tracées et claires peut difficilement s'appliquer aujourd'hui.
Une nouvelle fusillade aux États-Unis. Ce ne sont évidemment pas les armes qui sont en cause...
Et sans armes, on fait comment des tueries de ce genre ? Et pourquoi ça n'arrive majoritairement qu'aux États-Unis ?
Faut voir, les armes canadiennes ne circulent pas.
Quand il y en a un.
Le risque est de plus en plus refilé au salarié, c’est à ça que servent les CDD, l’intérim, les vacataires, contractuels, contrats précaires, la flexibilité, l’annualisation, et tout ce que le MEDEF ou le gouvernement va nous pondre.A l'origine de la relation de salarié-employeur est y'a question de risques et de responsabilité. L'employeur garde pour lui la valeur ajoutée produite par l'employé, car c'est lui qui assume le risque de l'activité. Le salaire fixe de l'employé ne sera ainsi jamais modifié en fonction de l'activité de l'entreprise, c'est sa sécurité. A l'inverse le patron n'a aucune sécurité et est responsable a la fois du succès ou de l'echec de son entreprise.
Le problème fondamental du patron aujourd'hui, c'est que les lignes sont floutées par l'évolution très rapide de l'économie ces dernières années.
une balle, un imp (Newstuff #491, Edge, Duke it out in Doom, John Romero, DoomeD again)
Canard zizique : q 4, c, d, c, g, n , t-s, l, d, s, r, t, d, s, c, jv, c, g, b, p, b, m, c, 8 b, a, a-g, b, BOF, BOJV, c, c, c, c, e, e 80, e b, é, e, f, f, f, h r, i, J, j, m-u, m, m s, n, o, p, p-r, p, r, r r, r, r p, s, s d, t, t
Canard lecture
Et donc quand tu chies beaucoup , ça veut dire que tu manges beaucoup, et ça veut donc dire que tu est riche, CQFD
Dernière modification par Dar ; 03/04/2012 à 09h27.
And now for something completely different... Je ne sais pas ce qu'il en sera pour vous, mais moi ça illumine ma journée.