Le topic du cinéma et du port-salut

[alucard le mordant]

Cite moi un "block-buster" récent ayant un scénario complexe et alambiqué.
Juste un.

J'avais constaté la complexification inutile des blockbusters avec Star Wars Episode 2, qui s'encombrait d'une sous-intrigue politique à la fois imbitable et surtout inutile.
George Lucas avait récidivé avec Indiana Jones 4 au scénario à la fois très mal écrit (des problèmes de rythmes évidents) et difficile à suivre (je suis capable, 10 ans après, te décrire en détail ce qui se passe dans les 3 premiers mais pas dans le 4).

Pirates des Caraïbes et Matrix sont deux bonnes illustrations. Pour chacune de ses séries, le premier film avait un scénario astucieux mais relativement en retrait et facile à suivre. Les films suivants (pas vu Pirates des Caraïbes 4) ont tous un scénario long, incompréhensible, aux rebondissements lourdingues, chiants...

Dark Knight multiplie les sous intrigues. Son scénario est cependant très mal construit puisqu'au lieu de croiser les fils scénaristique, le film les traite un par un et donne l'impression de contenir deux films dans le même film.

[Shub Lasouris]

Attendez faut pas exagérer, Inception oui c'est blockbuster au scénario plus complexe que la moyenne. Qu'on ait pas aimé le film, qu'on trouve ça cousu de fil blanc ou autre c'est une chose... mais bon c'est pas le scénario d'Expendables quoi. Ya un concept, un univers développé, une intrigue un peu chiadée.... Ca n'a rien à voir avec la qualité du film hein.

[Lt Anderson]

Attendez faut pas exagérer, Inception oui c'est blockbuster au scénario plus complexe que la moyenne. Qu'on ait pas aimé le film, qu'on trouve ça cousu de fil blanc ou autre c'est une chose... mais bon c'est pas le scénario d'Expendables quoi. Ya un concept, un univers développé, une intrigue un peu chiadée.... Ca n'a rien à voir avec la qualité du film hein.

Le pitch d'Inception avec "the dream inside a dream" et autre digression sur le concept des réalités imbriquées comme des poupées russes est un thème récurent de la littérature SF des années 60-70-80. Dès 15 mn de film je me suis dit "Oh putain ils vont nous faire le coup".

[Aghora]

Pirates des Caraïbes et Matrix sont deux bonnes illustrations. Pour chacune de ses séries, le premier film avait un scénario astucieux mais relativement en retrait et facile à suivre. Les films suivants (pas vu Pirates des Caraïbes 4) ont tous un scénario long, incompréhensible, aux rebondissements lourdingues, chiants...

Matrix 2 était chiant. Le 3 n'allait pas par 4 chemins justement. Plus de discours avec des mots qui existent pas.

Les Pirates des Caraïbes (2 et 3) étaient chiants oui.

[Shub Lasouris]

Le pitch d'Inception avec "the dream inside a dream" et autre digression sur le concept des réalités imbriquées comme des poupées russes est un thème récurent de la littérature SF des années 60-70-80. Dès 15 mn de film je me suis dit "Oh putain ils vont nous faire le coup".

Bah ouais mais je vois pas le rapport avec "pas complexe". Je crois que tu confonds avec original pour le coup. Même si Inception est un blockbuster relativement original, de l'anticipation comme ça on en voit pas tous les jours.

[Kahn Lusth]

Par ici la suite.