Bonsoir.
Je passe les présentations, je ne suis là que pour avouer un terrible crime que j'ai commis en toute connaissance.
Voila, il y a au moins 100 ans, le numéro 200 de Canard PC a marqué votre entré dans la cour des grands et a cette occasion, grand maitre B a fait un article a propos des jeux vidéo (rende t'ils violent ou non) a l'époque je l'avais dévoré puis rangé avec amour le magazine sur mon étagère.
Entre temps j'ai postulé comme Chroniqueur pour un site d'actualités amateur, son but faire découvrir l'expérience professionnel aux étudiants en école de journalisme plus que pour vraiment informé et j'ai décidé de tester mes talents de plume en devenant rédacteur de la partie High-Tech.
Après 2 articles passables (seul mon style déjanté a du plaire car je les trouve très moyen) j'ai décidé de taper dans le gros dossier et j'ai repensé a l'article de GMB a propos des jeux.
J'aimerais vous dire que ça n'a été qu'une légère inspiration mais non, j'ai totalement repompé l'article et mal en plus, je l'ai allégé pour en foutre moins. Plus bas il y a un exemple de ce que j'ai écrit.
Je voulais savoir si ça posait un problème à la rédaction que je vole jusqu'à votre style pour pondre mes articles. Si des insultes du genre "Voleur" , "plagieur" vous viennent a la bouche, allez y je n'ai plus aucune fierté depuis un moment donc ça ne m'atteint pas. Si vous m'interdisez de reprendre votre article, je plagierai autre chose, j'imagine (mais pas de votre magazine, je suis honnête!) et je tiens a dire que je ne suis pas étudiant en journalisme.
Voici un extrait du forfait :
Les magistrats américains ont alors rappelé une affaire des années 90 qu'ils avaient eu a juger . Une mère avait avait attaqué le studio Wizards of the coast car son fiston chéri qui jouait régulièrement a Donjons & Dragons venait de se suicider. Et la cour avait répondu que non, la société ne pouvait pas prévoir ce "tragique" accident, quelque soit la violence du jeu et blablabla.
La Cour a conclu par le même raisonnement pour cette affaire comme pour celle de Carneal. Les comportement étaient si extrêmes que imprévisibles par les éditeurs et que tirer sur des pixels, activité pratiqués par des millions de gamers "n'est pas comparable a tirer sur des élèves d'une salle de classe" (activité pratiqué par une minorités de passionnés)
La Cour rajoute que, des experts peuvent certainement prouver que les des jeux ou des films modifient le comportement du consommateur mais qu'une personne normale n'en viendra pas pour autant a imiter Duke Nukem dans la rue. Et que surtout les Cours américaines prennent le risque de considérer que sauf cas exceptionnels, qu'un tiers ne commettra pas volontairement des actes criminels.Et j'ai le culot de vous dire franchement que j'ai la flemme de corriger les fautes.Et même si les éditeurs avaient un Duty of care envers leurs clients il n'y a pas de lien de causalité entre le préjudice et le duty of care, on ne peut pas prévoir qu'un jeu deviendrai une arme entre les mains d'un fou.
A court d'arguments (mais en ont ils eu ?) les parents prétendirent que la violence des jeux étaient une défectuosité. A Partir de là, la Cour rigole franchement, Car il ne s'agit pas d'un emballage de steack avarié, la justice considère un produit comme défectueux lorsqu'il cause un dommage physique au consommateur, Hors Carneal a la forme comparé aux victimes, ensuite un jeu ou même un film n'est pas un produit. La cartouche du jeu et la cassette d'un film le sont mais pas le contenu et encore moins la violence qu'il contient.
Les plaignants auront tout perdu durant le procès : Temps et crédibilité. Quand aux jeux vidéo ils s'en sont sortie.