- Première rencontre avec Garry dans le bunker des scientifiques, quand il me dit qu'il a besoin de deux artefacts. Coup de pot pour lui, je suis un chasseur d'artefact renommé, c'est pas un kobolok et un bout de viande qui vont me faire peur. J'arrive donc à dégotter ça, mais après remise à Garry, ce dernier disparaît. Vlà la reconnaissance, sale petit salopiaud, ça m'apprendra tiens.
- A Prypiat, je retombe sur Garry. Il me considère un peu comme un ami, il apprécie me parler, en fait, je crois qu'il a confiance en moi. La réciproque n'est pas vraie, mais je suis prêt à faire des efforts pour un guide aussi doué.
Alors quand je lui demande comment il est venu, il me dit tout. Sa galère, presque prisonnier des mercenaires qui voulaient entrer à Prypiat, sa fuite. Les bribes de conversation glanées pendant le trajet, concernant un rendez-vous prévu pas loin.
- C'est sûrement important, alors Kovalsky doit être mis au courant. Je vais lui en toucher deux mots, qui se termine en une conversation sur la suite de la mission : dois-je tuer les commanditaires, ou le groupe de mercenaire ?
- J'ai choisi d'exécuter les commanditaires. Kovalsky me fournit une planque et une arme, je n'ai plus qu'à attendre le rendez-vous.
- J'ai eu ces deux enfoirés. Viser à cette distance a été difficile, je devrais peut-être imiter Cardan et lâcher le pied sur la bibine. Conneries de radiations, grmbl grmbl ...... faut vraiment que je rentre à la maison.
Le reste des mercenaires a pu s'enfuir, quand mon attention était toute dédiée à la nuque de leur chef, et au trou que j'ai percé dedans. Ils s'en sortiront moins bien la prochaine fois, je le jure sur ma Boussole, joyau de ce que j'appelle ma "boîte à bijoux".
[Plusieurs jours plus tard]
Bon, sympa cette balade digestive, dommage qu'il n'y ait pas un peu plus de soleil, et que les conserves faisandées me ballonnent comme ça.
Tiens, 2 cadavres ? Un exosquelette, et une combi SEVA ? Intéressant.... AH MAIS NON, quel crétin, ce sont feux les deux commanditaires, que j'ai totalement oublié de fouiller, et leurs complices aussi, dans la panique. Heureusement qu'il y a plus de bestioles que d'humain dans ce bled, personne n'a volé cette petite carte d'accès sur le corps du scientifique.