Les années lycées & collèges : Scritch, Zack ou Kubiack ?

[Phatcobra]

Suite aux réflexions sur le topic de l'enfer, je m'aperçois que beaucoup considèrent leurs années collèges et lycées comme un enfer.

Perso, je crois que le collège et le lycée ont été mes années préférées, tous mes amis datent de cette époque, et je n'ai que peu de liens avec des gens rencontrés après le BAC....

Alors, vous, vos années collèges / lycées ?

[Tyler Durden]

je suis autodidacte

[Nelfe]

Plutôt l'inverse. A part mon meilleur ami que j'ai depuis la 5ème, tous mes meilleurs amis viennent de la fac'.
Le lycée ça allait, j'emmerdais personne, j'avais un ptit groupe de potes avec qui on écoutait du métal, jouait aux JdR et à Magic rien de plus. Une classe sympathique avec qui je m'entendais bien.

Par contre le collège.... Si je pouvais bannir cette période ma mémoire ignoble , je le ferais tout de suite sans regret. Être souffre-douleur, c'est pas génial à la longue (mon côté extrêmement nerveux et ma propension à la violence sans limite quand on m'énerve doit venir de là)

[Charlot]

De plus en plus de topics "canapé" (allongez-vous et parlez-moi de vos parents)...
Sinon, pour pas faire que flooder, je réponds: collège tout pourri (pas vraiment intégré, un peu en retard niveau émotionnel) mais lycée méga-classe (l'internat, c'est la vie - pour ceux qui passent la première semaine).
edit: du coup, je vote quoi???

[pseudoridicule]

Que des amis de la fac et un du lycée qui est resté incrusté. Le collègue c'est meme pas la peine d'y penser, vu que j'étais entouré soit par des idiots du village, soit maltraté par des idiots du village. Etre la victime numéro un, ça aide pas à avoir des copines. Après, le lycée c'était cool. J'me suis mis dans un coin avec mes potes torturés du cerveau et j'ai déconné pendant trois ans.

[Snowman]

Les premières années (6ème/ 2nde) furent difficile mais après ça allait.

Je garde un excellent souvenir de ma 3ème, de ma 1ère et de mes 2 terminales (ouais j'ai un peu forcé sur la déconne la première fois ).

Par contre je ne revois plus personne et je ne sais pas ce qu'ils/ elles sont devenu(e)s.

[Phatcobra]

De plus en plus de topics "canapé" (allongez-vous et parlez-moi de vos parents)...
Sinon, pour pas faire que flooder, je réponds: collège tout pourri (pas vraiment intégré, un peu en retard niveau émotionnel) mais lycée méga-classe (l'internat, c'est la vie - pour ceux qui passent la première semaine).
edit: du coup, je vote quoi???

je fais comment pour modifier le sondage ?

[Electabs]

Comme je disait

Collège une galère sans nom, en plus après un déménagement ça aide pas, une famille en crise (vraiment en crise ). forcement ça aide pas la sociabilisation, pi je sait pas pourquoi je me vois petit mais gros (que j'etait hein).

par contre le Lycée j'ai surfer sur la vague de la Coolitude . Mais je pense que c'est surtout du au fait que j'ai été le seul a m'interposer face au groupe de gros blaireaux true rebel of da life fumeur de oinj parce que tu comprend etre con-défonser 22/24 et violent avec sa nana c'est cool... Pi bon je mesurait 1m95 100Kg et avec un temperament d'ours

En passant mon meilleur pote viens du collège

[Skiant]

Perso c'était l'horreur jusqu'à ce que je lâche les lunettes pour les lentilles et, corolaire, que je commence le judo. Là, j'me suis senti mieux dans mes basques, et depuis ma vie n'est que réussite sociale et débauche d'effusions.

[Empereur_Yoda]

Moi le collège c'était pas le pied, mais le lycée par contre

[orime]

Collège c'était pas mal mais sans plus :réponsenulle:.

Le Lycée j'en garde des supers souvenirs (premières vrai copines, meilleurs potes,...) entre les parties de Babyfoot, de Billard, de Magic, de JDR...

En fait avec un pote, on est devenu quasiment frères (je pieutais chez lui tout le temps pour faire de la N64 .).

Mais le mieux pour moi restera les années BTS et FAC (avec mon colloc le même qu'au dessus, sauf que la c'était sur Timesplitters 2 et SSX .).

[Zevka]

Moi ça c'est plutôt bien passé, pourtant je cumulais les handicap : pas fashion pour deux sous, premier de la classe, tout maigrichon, pas doué avec les filles, fan de jeux vidéos (surtout qu'à l'époque, ça commençait tout juste à se démocratiser), gauchiste (bon ok, ça c'est toujours un handicap)...

J'ai eu des soucis avec quelques petits cons, mais au final, ça ne m'a pas marqué plus que ça, je sociabilisais super facilement, je faisais beaucoup rire, la contrepartie, c'était que je m'entendais plutôt bien avec tout le monde (ah làlà les p'tits caïds de l'époque 6ème-5ème qui me proposait de me protéger si besoin est ), mais je liais rarement des amitiés durables : je n'ai gardé qu'un ami proche du lycée avec qui je suis en contact régulièrement, même si ça fait longtemps qu'on a même pas pu boire un verre à deux.

Bref, j'ai eu des passages pas glorieux et pas faciles à vivre, mais au final ça ne m'a pas marqué plus que ça, même à l'époque quand ça me foutait le moral à zéro, je me rendais compte que c'était que des conneries de gamins, et qu'il fallait mieux laisser couler et passer à autre chose. Passé le mal-être de la crise d'adolescence, mon estime de soi est vite remontée !

M'en suis pas trop mal tiré, globalement, sauf pour les nanas : j'ai pas profité du lycée pour écouler mon stock de loses sentimentales suffisamment vite, du coup il m'en reste encore beaucoup sur le bras, ça va pas m'aider à me caser !

[Aghora]

On peut étendre le cas au primaire aussi :

mon post ici : http://forum.canardplus.com/showpost...0&postcount=99

[Pluton]

J'étais pas une victime, du moins pas régulièrement, mais j'étais super con, les autres autour aussi et la plupart étaient des petits bourgeois fachos qui te considéraient comme un être inférieur si t'avais ni Nike aux pieds ni ce putain de blouson Schott trop laid.
J'me prenais râteaux sur râteaux, j'avais quelques potes mais cette ambiance de merde a fait que j'ai été plutôt un élève moyen. Sauf que j'étais plus fort que mes profs de français en 4ème et 3ème, qui n'étaient pas capables de lire des textes littéraires, effrayant.

Avec ces appels interminables : appels le matin pour la première heure de cours, appel pour les salles de perm', appel pour la cantine... on passait 2 fois plus de temps à attendre son nom dans ce bahut qu'à faire autre chose.

Ce qui n'a jamais empêché certains de ma classe d'aller se bourrer la gueule pendant les heures de cours toutes les semaines chez une fille bien propre sur elle bien bourgeoise.
Un fois ils revenaient pas on a fait le mur pour aller les chercher, ils vomissaient tous leur malibu dans le jardin de ladite fille et on a ramené les moins déchirés en cours d'allemand.
Quelques mois plus tôt j'avais quand même trouvé le moyen de tomber amoureux de l'une d'entre elle qui me disait "tuuu saiis je t'aimeuuh" alors que je la maintenais sur sa chaise, mais c'est parce qu'elle était bourré. Elle est sorti avec un des gars les plus violents de l'univers et des plus cons du collège pendant des années après. Je crois qu'il la battait, ou en tout cas il la faisait chialer 7j/7.

Bref, le collège c'est de la grosse merde, surtout chez les bourges. Ma soeur a fait que sa 3ème dans celui-ci, avant elle était dans un collège plus mixe, avec plus de racailles et de problèmes grave, mais elle m'a dit qu'elle savait même pas comment j'avais tenu 4 ans dans cet enfer, parce que le sien y'avait peut-être des problèmes de drogue etc, mais au moins l'ambiance générale était bonne parce qu'une bonne partie c'était des gamins qui étaient un minimum humbles, qui cherchaient pas la merde parce que la merde là bas c'était pour les vrais caïds, qui savaient ce qu'est la tolérance parce que c'était bourré de mômes de diverses origines et qui se définissaient pas par leur garde-robe.

Par contre dans le mien, j'ai vu de ces souffres-douleurs, à mon avis leur vie ne sera plus jamais la même

Lycée super par contre.

[JuBoK]

Le collège, a part la 5ème, bah c'est pas génial génial, pas que j'me fesait taper ou que j'étais tout seul non (J'étais même plutot avec certaines personnes qui fallait pas faire chier) mais c'est que j'me fesais chier, mais a mort.

Par contre mon année de lycée là, génial, par contre clle qui arrive j'la sens moins : (..

[Anon4782]

J'ai passé l'intégralité de mon collège à faire du skate.
Du point de vue scolaire ça allait mais je vivais vraiment un enfer à cause de la discipline, ça m'a toujours fait préféré les flics aux profs.
Quelques doigts dans des chattes aussi à la fin, c'était émouvant.
Le lycée c'était sex, drug & rock'n roll et premiers émois amoureux donc sympa aussi à la fin.

Je n'y retournerais pour rien au monde mais je ne regrette ni le collège ni le lycée, sûrement parce que j'ai toujours eu conscience que le temps libre çaylebien (à la fac j'étais au paradis).

[pseudoridicule]

M'en suis pas trop mal tiré, globalement, sauf pour les nanas : j'ai pas profité du lycée pour écouler mon stock de loses sentimentales suffisamment vite, du coup il m'en reste encore beaucoup sur le bras, ça va pas m'aider à me caser !

Pareil, mais je m'en fous.

[francou008]

Collège, un très bon pote, j'étais encore un peu "nunuche" du fait de mon année d'avance, et en "retard" sur le plan émotionnel. Y a juste en 4ème où un boulet me foutait une petite claque de temps en temps. J'ai jamais trop compris pourquoi mais ça m'a pas marqué plus que ça. Je passais juste pour le petit de la classe. Il a fallut attendre la troisième dans une classe un peu difficile pour découvrir CPC et m'enrichir émotionnellement et "dans la vie". Arrivé au lycée je faisait parti d'un petit groupe de 4 ou 5 dont mon pote du collège et c'est tout. Tout les autres de ma classe étant des péteux finis, surdoués, fils à papa, "je porte des polos rose avec le col relevé" et autres "j'ai la mèche avec du gel" "je fais une grande fête dans la propriété de mon père au bord du lac, ramenez du champagne".
Et après cette année en DUT, j'ai découvert des gens qui ont les mêmes passions/occupations/état d'esprit/réflexion et ça fait plaisir.

[Anon4782]

J'étais pas une victime, du moins pas régulièrement, mais j'étais super con, les autres autour aussi et la plupart étaient des petits bourgeois fachos qui te considéraient comme un être inférieur si t'avais ni Nike aux pieds ni ce putain de blouson Schott trop laid.

Inconsciemment j'avais trouvé la parade: look de skater trashy + Ludwig et Berus, ça fait un style pas cher.
Je frappais fort et bien aussi grâce à mon surclassement en hand-ball et c'et le genre d'infos qui circule vite dans un collège.

[pseudoridicule]

En fait, je devrais en vouloir à mon grand frère avec qui j'étais en classe en 6e et 5e (oui il avait redoublé la 6e ce nul). Il m'a bien laissé pourrir quand ces cons de CPE ont décidé de nous séparer pour "épanouissement personnel". Les connards. Bon après il a quand meme redoublé la seconde, ce qui fait que je suis passé devant lui. Ce qui reste un de ses unique ressentis envers moi.

[Aghora]

Mon grand frère a paradoxalement été un de mes principaux bourreaux depuis le primaire jusqu'au lycée. Encore qu'au bahut je le voyais pas tout le temps, mais à la maison par contre.

[pseudoridicule]

Mon grand frère a paradoxalement été un de mes principaux bourreaux depuis le primaire jusqu'au lycée. Encore qu'au bahut je le voyais pas tout le temps, mais à la maison par contre.

Ah ouais quand meme... Toi c'est jusqu'au bout. Tiens, j'avais une soeur au collège aussi (ils ont quand meme vu passer la famille au complet, ce qui est beaucoup plus que 3 membres), mais elle écoutait Nirvana et mettait des chemises de merde. Donc rien à attendre d'elle.

A noter qu'elle a 4 ans de plus que moi et qu'elle a eu son bac un an avant moi. eheh j'adore ma famille.

[--Lourd--]

Bof, sans plus. J'ai souvent déménager, donc je n'avais pas tellement de très bon potes.

[Morgoth]

Le collège plutôt pourri quand même, avec de bons moments cependant.
Par contre, le lycée, quasi-parfait. De très bons potes en pagaille, les filles, et en plus je réussissais bien contrairement au collège.

[DakuTenshi]

J'étais connu dans tout le lycée, j'étais la star, ma chérie de l'époque tout le monde nous connaissait parce qu'on était toujours ensemble et toujours heureux. Jusqu'à la terminale parce qu'en terminale les Secondes nous connaissaient pas et les premières pas tellement.

Au collège j'étais rien du tout, et encore moins que ça .

[Electabs]

Persos les emmerde se sont calmer le jour ou dans mon collège on a appris que je faisait du tir a l'arc, et que j' avait déja un stage de tir Chasse dans les pattes, en troisième quoi.

c'est clair que le collège ou j'étais c'est 4 catégorie :

- les peteux, morveux, qui ont une 103sp, un scoutaire, un boustaire
- les copine de peteux, morveux
- les mecs qui demande rien a personne, sauf qu'on leur lache les rouleaux.
- Les filles moches.

a savoir que généralement les 2 dernieres catégories sont incompatibles, alors que les 2 première se genait pas dans les alliance traumatisante.

Au lycée j'ai appris la gratte et la basse ça a aider pour être cool... bon faut que je m'y remette (Go topic de la gratte)

[pseudoridicule]

Persos les emmerde se sont calmer le jour ou dans mon collège on a appris que je faisait du tir a l'arc, et que j' avait déja un stage de tir Chasse dans les pattes, en troisième quoi.

c'est clair que le collège ou j'étais c'est 4 catégorie :

- les peteux, morveux, qui ont une 103sp, un scoutaire, un boustaire
- les copine de peteux, morveux
- les mecs qui demande rien a personne, sauf qu'on leur lache les rouleaux.
- Les filles moches.

a savoir que généralement les 2 dernieres catégories sont incompatibles, alors que les 2 première se genait pas dans les alliance traumatisante.

Au lycée j'ai appris la gratte et la basse ça a aider pour être cool... bon faut que je m'y remette (Go topic de la gratte)

Rahahah excellent. C'est tellement ça.

[Aghora]

Ah ouais quand meme... Toi c'est jusqu'au bout.

Oh il me foutait la paix de temps en temps, voire même se comportait "en frère". Mais il lui arrivait d'être très violent souvent. Et paradoxalement, je défendais toujours mon frère quand ma mère le punissait. Un jour, très en colère, elle voulait le foutre dehors parce qu'il m'avait encore emmerdé méchamment, je voulais pas, j'en avais pleuré même.

Les choses ont bien changé aujourd'hui même si il y a encore une certaine tension de palpable.

[Aghora]

Tiens parmi nous, les soufres-douleurs, n'y avait il pas un emmerdeur plus méchant que les autres dans vos souvenirs ?

[Jolaventur]

(l'internat, c'est la vie - pour ceux qui passent la première semaine).

Je confirme y'a rien de semblable