Je n'étais pas non plus particulièrement amateur d'histoire (au sens "cours d'histoire") jusqu'à la fin du lycée, même si ça a toujours été une de mes matières "fortes".
Depuis quelques années (en gros depuis mes vingt ans), tout cela a sensiblement changé : non seulement parce que la connaissance de l'Histoire est nécessaire à la compréhension de l'art, de la littérature et de la philosophie et que j'ai donc dû en passer par là, mais surtout parce que j'ai découvert à cette période que les historiens n'ont pas le monopole de sa transmission (désolé Sidus ), cf. ce qu'ont écrit Georges Perec ("l'histoire avec une grande Hache") ou Michel Foucault.
Et je persiste à prendre plus de plaisir à lire des documents d'époque (surtout les documents médicaux : j'ai récupéré des traités médicaux du XVIIe et un carton entier de littérature psychiatrique du XIXe) que les livres écrits par (et pour ?) des historiens.