Défolé, elle est tirée par les chefeux, mais pas autant que felle à venir. En attendant de vous consterner un peu plus, au diable l'imitation de clodo édenté et parlons donc du passage de Tomb Raider: Underworld à l'E3.
Comme vous avez dû le voir dans les brèves, la principale révélation à son sujet a concerné sa date de sortie, fixée au mois de novembre. C'est évidemment léger, mais les développeurs de Crystal Dynamics n'étant pas nés de la dernière pluie, ils ont pensé à accompagner l'annonce d'un trailer et d'un dev diary. Passons sur le premier, sans autre intérêt que d'affamer le geek amateur de cuir et arrêtons-nous plutôt sur le pompeux montage de promesses, de screenshots et de brèves séquences in-game.
À vrai dire, ce sera rapide. Il n'y a en effet pas tant de choses que cela à voir, c'est-à-dire quelques animations (pas vilaines) et une poignée de décors (plutôt majestueux). Ce qui est amplement suffisant pour que je vous confie ceci : cela fait bien longtemps qu'un Tomb Raider n'avait autant rimé avec éclate potentielle. Et puisque Tomb Raider rime avec éclate, cela veut aussi dire qu'éclate rime avec Lara. Catherine Lara quoi. Pardon pour les cheveux.
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