Le topic de vos rencontres avec ceux qui abusent de la binouze

[Nyrius]

Pour moi la petite histoire du genre
je sort d'un immeuble ou habite un pote
en bas un type vient me parler

il me sort "vous ete une personne pas comme tout le monde je percoit une grande aura autour de vous"

ca the phrase ou j'ai failli mourir de rire devant lui mais j'ai eu un mal ignoble a me retenir
il a voulu me payer un café () dans un bar
et ma raconte qui percevait les ondes des aura des gens qui etait plus ou moins puissante ou negative et que l'on degagait des halo de couleur suivant les personnes

il etait bien enorme avec aussi la phrase "attention au personne etant au service du mal je les percoit elle sont nombreuses"

[Aghora]

Ouais j'adore ! C'est con que j'ai une mauvaise mémoire parce que j'en ai oublié plein du coup. J'essaye de me souvenir d'une mama qui promettait en gueulant dans le metro que le diable nous découperait, nous les "sarkochiens", mais je me rappelle juste qu'elle était trop bruyante et répétitive. En tout cas c'était marrant quand elle est descendu et que le métro est reparti elle continuait à hurler en nous pointant du doigt avec beaucoup de conviction.

Je crois avoir rencontré la même à Toulouse : "tous ceux qui ont voté Sarkozy, ils vont le RE-GRET-TER !!".

[Kami93]

L'année dernière, soirée fin d'exams. On quittait le studio d'un pote pour aller s'imbiber chez une pote. Et sur le chemin on tombe sur un mec, qui nous a raconté sa vie (ancien camé je crois) et enseigné les méfaits de l'alcool.

En fait, je crois que j'inverse les rôles. Le plus bourré, c'était moi.

C'est trop classique ça, moi pendant une période quand je prenais les transports en commun, j'avais des rencontres sordides comme ça avec des mecs qui me racontait ma vie à moi d'homme pressé (pas par les transports mais par la vie et tout), etc....un peu comme gringo souvent ils visaient juste les mecs, mais aujourd'hui je me dis que 90% des gens qui prennent les transports sont pressés.

Et puis je vous passe les clodos qui vous gueules sales arabes sales bicots dans le métro, ça fait toujours plaise ....et les camées sur chateau rouge qui te propose une pipe contre un peu de drogue etc etc, cette station de métro est assez magique quand même :D

[nothing]

C'est un black sur la ligne 5 nan ?

C'est sur la ligne 7

[Kami93]

C'est sur la ligne 7

Je pense qu'on parle du même cela dit, ca doit pas être uber fréquent.

[nothing]

Je pense qu'on parle du même cela dit, ca doit pas être uber fréquent.

C'est clair, rien que d'y repenser je me suis marré comme un con tout seul dans mon coin

[Ek-ZutWar]

Ahaha.

On a des champions du monde aussi à Nantes.

D'abord il y a "le coureur" , un type d'une trentaine d'années, sans doute un schizo qui passe son temps à courir dans le centre-ville, mais pas en tenue de jogging sinon ça passerait peut-être inaperçu, mais non, il court tout le temps en jeans et pull. Il est quand même dangereux ce couillon, une fois une copine qui à priori lui barrait le passage a pris un gnon dans la gueule.

Il y a aussi "le géant", un mec qui doit faire dans les 2m15, tout vouté, avec une barbe et les cheveux mi-longs très crades. Il parle parfois tout seul, il a pas l'air méchant mais personne lui dit rien vu la montagne que c'est, même lorsqu'il s'allonge en bouffant les cinq sièges au fond du bus. Il lit aussi des bédés à la FNAC, en squattant trois-quatre sièges.

Et puis il y a "Gladiator", alors lui tout le monde le connait à la FAC de Nantes, une véritable légende, c'est un vieux clodo alcoolique complètement schizo qui est plongé dans le plus long monologue du monde, il se parle tout le temps, des trucs sans queue ni tête. Il erre souvent dans les couloirs de la Fac, et parfois en arrivant à un siège d'un amphi, on sait où il a dormi vu comment ça pue ( oui parfois il échappe au concierge de la Fac et il dort dans les amphis ) Tout ce qu'on a pu capter une fois c'est qu'il avait trippé sur l'affiche du film Gladiator qui était affiché dans la Fac et qu'il était devant en répétant : " glagggaaaaditorrrr, ragnaditorrrrr" preuve qu'il avait encore peut-être des vagues souvenir de l'alphabet.

Par contre, un truc pas cool, c'est qu'il y a deux-trois ans il s'est fait passer à tabac sûrement par des jeunes cons qui avaient rien compris à bumfights et ça c'est vraiment naze.

[Evilblacksheep]

Tiens j'avais zappé ce topic. Ma petite contribution :

L'an dernier, au début de mon stage de fin d'études (genre la première semaine). Tous les matins, je prenais le métro assez tôt. Genre il devait être 8h15 quand j'arrivais sur mon lieu de travail. Un des premiers jours donc, je sors du métro, et la, une femme, la quarantaine, qui semblait complètement paumée s'approche de moi. Elle puait l'alcool à un mètre et ce qu'elle disait était difficilement compréhensible, mais bon, moi polie, j'écoute ce qu'elle a à me dire. Je finis par vaguement comprendre qu'elle cherche la CAF, mais comme je connaissais pas encore assez le quartier, je m'excuse poliment. Là, elle se dirige vers un type en costard qui émergeait de la station de métro et lui pose la question. Le type commence à lui expliquer, moi je commence à m'éloigner pour aller taffer quand... énorme bruit... je me retourne et la nana lui avait dégueulé dessus, un truc phénoménal.

[jakbonhom]

C'était la première fois que j'assistais à une soirée spéciale "Nuit du film fantastique". Ils passaient The devil's rejects et un Saw quelconque en avant-première. La salle est pleine et je chope une place bien pourrie, juste au bout de la rangée. Le premier film a débuté depuis un peu moins de 10 minutes. Une silhouette se lève au milieu de la rangée et se dirige doucement vers moi en chancelant. Je fais pas attention; sûrement un idiot qui a oublié d'aller aux toilettes avant le début du film.

Je rentre un peu les genoux pour le laisser passer et là, le type s'écroule sur moi. Je l'engueule, mais il bouge plus. Purée, il est lourd! Je le chope tant bien que mal et je le fais rouler sur les marches, à côté de moi. Il bouge toujours pas! Je commence à m'inquiéter. Je penche au-dessus de lui et je commence à tâter son cou pour trouver un pouls, mais je sens rien. Merde, merde, merde! Je commence à gueuler que j'ai besoin d'aide, mais personne réagit autour de moi. La scène est surréaliste: je tâte le cou d'un mec allongé sur les marches dans une salle de cinéma pendant que les gens autour de moi regardent un couple de bourgeois se faire agresser par une famille de psychopathes sur l'écran.

Deux autres types se lèvent dans la rangée, morts de rire. Ils viennent me voir et me disent que c'est leur pote, qu'il est torché et qu'il a l'habitude de faire ça. Ils le saisissent sous les bras et le trainent dehors. Je l'ai plus revu de la soirée.

[bellerophon_mwc]

Marrant ce topic

Allez petite contribution perso.

Y'a 2-3 ans en ardeches (pays de cocagne), on (5potes) etait au camping au bord d'une riviere.

Un soir particulierement arrosé, on se retrouve plus que 2 courageux allongés sur les rochers, les autres sont remontés allez pioncer.
On devise tranquillement quand d'un coup une ombre surgit de la riviere. Trop bourrés pour etre apeurés, on attend goguenard de voir ce que c'est. L'ombre titubante approche et c'est un gars la trentaine qui apparait. Il ne cesse de répéter "incroyable, incroyable", il est trempé et encore plus torché que nous.
On lui propose de se rechauffer auprès de notre feu. Il obtempere et commence à se rouler une clope en tremblant de froid tout en répétant "incroyable, incroyable". Amusés par le coté irréel de la scene, on se décide a questionner notre bonhomme pour voir d'ou il vient et surtout pourquoi il est trempé.

C'est là que ça devient génial, le gars nous explique en parsemant son récit de "INCROYABLE! INCROYABLE!", que ce dont il se souvient c'est que dans l'aprèm, il etait au bord de la riviere avec sa famille (femme et enfants) et qu'il faisait un barbec en siphonant des bieres. Puis que le soleil s'était couché et qu'il etait toujours entrain de boire des bieres, et qu'a un moment... Bin il est tombé dans la riviere, qu'il s'est debattu pour finir par ressortir sur la berge pas loin de nous.

Se retenant d'éclater de rire, on se decide a aider le pauvre bougre a retrouver sa famille (qui en toute logique doit etre morte d'inquietude).
Dans un premier temps on pensait que le naufragé venait du meme camping que nous, jusqu'a ce qu'on comprenne au milieu de son fouilli verbal, que non, le con avait traversé la riviere et etait sur la mauvaise rive. On l'emmene donc au gué le plus proche, il nous suit docilement en maugréant des "incroyable, incroyable". Arrivé au gué, on lui explique qu'il doit traverser (son camping est juste en face), sans nous (faut pas déconner non plus).
Le gué fait une trentaine de metres, l'eau monte jusqu'au cuisse, le courant est mesuré (tranquille à jeun, moins quand on est chargé). Notre homme s'engage dans le courant, titubant mais surement, s'encourageant en lançant des "INCROYABLE, INCROYABLE". Le premier tiers de la traversée se passe sans encombre. On le voit de moins en moins(il fait nuit) mais au bout d'un moment je sens que quelque chose cloche. Depuis le temps qu'il traverse il aurait du arriver a gué. On comprend d'un coup, le con a changé sa trajectoire au beau milieu de la riviere, il ne traverse plus il remonte le courant!!???? Il s'en est meme pas aperçu... A grand renfort de cris on essaye de lui expliquer, soulagement ça marche, il reprend la bonne direction et arrive à la berge (pas dbol en plein dans un massif d'orties). On le voit repartir dans le camping, et sur un dernier "INCROYABLE, INCROYABLE", on rentre a notre tours nous coucher.

THE END, excusez la longueur, mais bon c'est une action que j'oublierais jamais.

[Arseur]

Incroyable.

[bellerophon_mwc]

Incroyable.

N'est ce pas?

C'est pour des actions comme ça, que je reste un inconditionnel de l'Ardeche

[r2djbeuh]

Incroyable.

tttt il en manque un, Arseur ;p

Majuscule -4 points.

Boulon

[Arseur]

tttt il en manque un, Arseur ;p

C'est mon esprit rebelle, je ne finis toujours pas mes

[O.Boulon]

Si mon métier m'amène souvent à être en contact avec des alcooliques, Gringo en particulier, mon souvenir le plus marquant n'a rien avoir avec mon collègue adoré (par contre le plus hallucinant, le plus dégueu, le plus dérangeant, le plus ridicule et le plus marrant, si).

Là, j'ai 18 ans et je tente d'aller bosser. Il est 13 heures, je dois prendre mon poste dans un lamentable Relais H de Châtelet les Halles.
Alors, logiquement, je vais prendre le RER A à Vincennes, par la petite entrée à deux pas du kébab d'Arkan.
Je descends l'escalier avec toute la légéreté de mes combat boots et de mon quintal athlétique au son des hurlements de deux gars bien éméchés. Normal, on est à côté du Kébab d'Arkan. Deux arabes bien rabbats, quatre-cinq ans plus vieux que moi, se chamaillent comme on se chamaille entre potes quand on est fait.

Je les dépasse, je me dirige vers le quai et je me pose en attendant mon train. Dans la grande tradition de la journée de merde, le train n'arrive pas mais les poivrots, eux, si. Je leur jette un coup d'oeil, même pas désaprobateur (j'étais pas encore totalement Straight Edge) ce que n'apprécie pas l'un d'entre eux qui se sent obligé de venir me souffler son haleine pourrie à la tronche dans une longue diatribe m'expliquant que "ni Dieu, ni Mohammed son prophète, ni le Coran n'aime les gros pédés à lunettes comme toi".
Souriant, avenant, cool et tout ça (parce qu'à l'époque, je vous jure, j'étais ainsi), je réponds en souriant "tu sais, je crois qu'Allah n'aime pas trop les poivrots non plus".
Logique, je me prends un coup de tête. Hors de question de répondre, il n'a pas totalement conscience de ses actes. Et un deuxième. Non, c'est pas du jeu, il est bourré. Et un troisième.

Hop, je laisse l'amour, la joie et mon Bud Spencer intérieur m'emporter.
Son pote, solidaire, ne tarde pas à venir à sa rescousse. Tant mieux, je me sentirais moins coupable.
Au bout de quelques instants, je songe à les jeter sur les rails, mais un truc surnageant au milieu des hormones en furie me signale que c'est potentiellement une idée discutable. Alors, je les cogne l'un contre l'autre, jusqu'à être sûr que je peux les lâcher sans craindre de coup de pute dans le dos.

A cet instant, merci de vous rappeller que j'ai un reubeu dans chaque main, soit deux reubeus en très mauvais état. Surpuissance de ma part ou nullité de la leur, vous êtes seuls juges, mes lunettes ne sont même pas de travers alors qu'ils ont l'air d'avoir été passé à l'attendrisseur.
Et, je reprends conscience, juste au moment où le train s'arrête et dépose, pile devant moi et mes potes désarticulés, la gonzesse que je convoitais à l'époque. Gonzesse "catho-peace-cool-gentille-j'aime-mon-prochain" que certains concours de circonstances fâcheux avait convaincu que j'étais une brute sanguinaire.

Autant vous dire que l'image de gros facho-ratonneur m'a poursuivi pendant quelques semaines chez elle et ses proches. Image qui a été remplacé par celle de sale connard sans âme quand j'ai fini par la "serrer" et me tailler 96 heures plus tard en m'apercevant qu'elle était complètement dingue.


Nota Bene : Preuve que la nature écrasera toujours la culture, en arrivant au boulot, j'ai fouillé dans mon blouson pour découvrir les montres des deux imbéciles que j'avais chourré sans même m'en rendre compte. Oui, je les ai remis au commisariat de la station les Halles.

[Guest]

Oh merde pourquoi j'ai lu, je vais plus pouvoir travailler maintenant.

[Arseur]

On peut nelsoner un modo ?

Chic !

:triplenelsonaumoins:

(et merci pour l'éclat de rire)

[Empereur_Yoda]

Boulon fighting

[Pelomar]

Tiens j'avais zappé ce topic. Ma petite contribution :

L'an dernier, au début de mon stage de fin d'études (genre la première semaine). Tous les matins, je prenais le métro assez tôt. Genre il devait être 8h15 quand j'arrivais sur mon lieu de travail. Un des premiers jours donc, je sors du métro, et la, une femme, la quarantaine, qui semblait complètement paumée s'approche de moi. Elle puait l'alcool à un mètre et ce qu'elle disait était difficilement compréhensible, mais bon, moi polie, j'écoute ce qu'elle a à me dire. Je finis par vaguement comprendre qu'elle cherche la CAF, mais comme je connaissais pas encore assez le quartier, je m'excuse poliment. Là, elle se dirige vers un type en costard qui émergeait de la station de métro et lui pose la question. Le type commence à lui expliquer, moi je commence à m'éloigner pour aller taffer quand... énorme bruit... je me retourne et la nana lui avait dégueulé dessus, un truc phénoménal.

Oh putain dur

Celle de boulon est pas mal aussi, mais j'ai arrêté au moment ou il dit qu'il les balancera pas sur le train.

[greenflo]

C'est juste grandiose!

[Guest]

Bon Gringo maintenant !

[boris-fr]

En effet un grand moment l'histoire de boulon.

[greenflo]

Bon Gringo maintenant !

J'aurais plutot tendance à dire que c'est au gens qui ont rencontré Gringo de poster dans ce topic...

[Guest]

Gringo il arrive à table, direct il demande le vin et il parle des limites de la légalité en matière de zoophilie.

Mais je veux bien l'anecdote dégueue de Boulon. C'est rapport au "j'ai perdu mon vomi" ?

[Pelomar]

Je vous déjà parlé d'une de mes rencontres avec un bourré sur un pont ?
(Pour les sadiques, ca s'est mal finit)

[r2djbeuh]

La classe...
Et aprés tu parles quand on bouscule une radasse en folie ?
Ca m'en a rappelé une bonne baston que j'ai affronté contre un homo alcolicus :
Je me promène sur la plage avec une charmante jeune fille que je voulais (hors charte) tout en la (hors charte) et aprés la (hors charte) et (hors charte) ou bien (hors charte) par les cheveux.
Euuh enfin, bref.
Arrive l'homo alcolicus suscité.
(HEeeeeeeres come a new challenger !!)
Simple embrouille vocale, pour s'échauffer (je ne lui laissais pas la place de passer, à ce que j'ai cru comprendre (sisisi, je suis tellement obèse que je bloque touuuute la plage, khonnard.))
Vu l'état d'ébriété et le potentiel de (hors charte) de la jeune fille, je reste courtois, et lui expliques calmement qu'il lui suffit de faire un pas de coté, (enfin, dans son état je vois mal comment il aurais pu fair eun pas ailleur que de coté :s) et finis mon explication par ceci :
"t'as pigé ?"
Et là, c'est le drame.
"Quooiii mais je suis pas un pigeon, tu m'insultes, tu veux te battre, viens te battre, etc."
Je me place devant la jeune fille et essaye de négocier. (Dans ma tête : éclates le, d'toute façon, c't'un con.)
derrière moi : le tape pas, r2djbeuh, tu vois bien qu'il est bourré.
Ecoutant la logique, la raison, et la jeune fille, je décide de ne pas engager les hostilités, mais bien décidé à en découdre si besoin est.
Et là, toute s'accélére : il arme un coup de boule et se jette de toutes ses forces sur moi.














Et ben, un mec bourré, enfin, lui en tout cas, ça a pas de force. Scène à la matrix, ralenti, mais en fait, que de son coté. J'ai laaaaaaargement le temps de me préparer au choc. ou plutot au "ploc" tout mou que fais ça tête qui vient heurter se poser sur ma poitrine. Un pas de coté et mon ivrogne tombe la tête dans le sable.
Voilà, ce fut le combat le plus court de toute mon existence.

[Guest]

Te fais pas prier.

[b0b0]

j'ai déjà raconté tout ça dans mon topic, donc cf mon topic parceque là j'ai la flemme de réécrire

[Empereur_Yoda]

j'ai déjà raconté tout ça dans mon topic, donc cf mon topic parceque là j'ai la flemme de réécrire

Donne un interval de pages.

[UltimPingouin]

Moi j'dis, boulon, que d'la gueule.

Absence de point, -4 points.