Classique je te confirme. J'ai beaucoup aimé aussi bien quand j'étais jeune (j'ai du les lire vers 11 ou 12ans) que plus récemment (20 ans après ...). Le tome 2 et 3 sont sympas, mais le 1er est clairement mon préféré!
Classique je te confirme. J'ai beaucoup aimé aussi bien quand j'étais jeune (j'ai du les lire vers 11 ou 12ans) que plus récemment (20 ans après ...). Le tome 2 et 3 sont sympas, mais le 1er est clairement mon préféré!
Je viens de finir le deuxième tome de Fondation.
Cette lecture est toujours passionnante, ce tome est très différent du premier car l'on suit les mêmes personnages du début à la fin. Et contrairement au premier tome où aucune femme n'a une quelconque importance, sur le grand nombre de personnages principaux c'était même étonnant, là c'est l'une d'entre elle qui a le premier rôle.
J'attaque le tome III en retrouvant avec plaisir un "méchant" très intéressant qui tranche beaucoup avec les poncifs du genre.
J'ai lu le recueil Expiration, de Ted Chang.
Le marchand et la porte de l'alchimiste m'a fait tomber sur le cul, et à peine relevé que je retombais encore plus fort pour Expiration. Chefs d'œuvre, point.
Puis une très courte histoire sympa, et arrive le cycle de vie des objets logiciels. Et là c'est le drame: même si elle n'est absolument pas mauvaise, je n'ai pas du tout réussi à accrocher à cette histoire. Et c'est la plus longue du livre. Je me sens comme quelqu'un qui serait passé à côté de quelque chose sans comprendre pourquoi, c'est presque embarrassant.
Les histoires suivants sont fort bien aussi, mais les deux premières restent pour moi les meilleures, c'en est même frustrant de les avoir dès le début tellement elles mettent la barre haut.
Puis Le poumon vert, de Ian R. MacLeod.
L'ambiance est assez sympa, les personnages attachants, l'univers mystérieux, mais je n'ai pas non plus réussi à accrocher à cette histoire, sans doute à cause d'une combinaison de soucis au boulot et de gros soucis familiaux.
Ensuite La chambre des officiersde Marc Dugain.
Je découvre l'auteur avec ce roman (ça tombe bien, c'était son premier) et j'ai beaucoup apprécié l'atmosphère qui s'en dégageait, j'ai également eu l'impression qu'il a voulu créer des personnages fidèles à la mentalité de leur époque, et pas des décalques d'une pensée avec du recul sur les événements, plus moderne et moins belliqueuse à la façon d'un Tardi.
Là je suis en train de lire le recueil Axiomatique de Greg Egan sur les conseils de TwinBis
Jusqu'à présent j'apprécie plutôt bien, même si j'ai failli choper une migraine avec la première histoire, l'assassin infini.
J'ai trouvé "Le cycle de vie des objets logiciels" trop longue et plus faible que les autres nouvelles aussi. Mais le niveau du reste du recueil est tel que je ne vais pas râler.
Le poumon vert je ne l'avais pas fini, pas accroché du tout.
- La version 3 est arrivée !
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J’ai fini ça :
Un excellent livre féministe qui étudie sans complaisance les origines et l’évolution de la domination masculine chez un grand nombre d’espèces de singes, dont nous.
En gros, les singes sont plutôt machistes mais avec de notables exceptions.
La première partie étudie comment les femelles singes sont traitées dans les sociétés de singes, la deuxième étudie les sociétés humaines des origines à nos jours en fonction des sources historiques, génétiques, sociales, archéologiques, etc, disponibles.
Je commence ça :
une balle, un imp (Newstuff #491, Edge, Duke it out in Doom, John Romero, DoomeD again)
Canard zizique : q 4, c, d, c, g, n , t-s, l, d, s, r, t, d, s, c, jv, c, g, b, p, b, m, c, 8 b, a, a-g, b, BOF, BOJV, c, c, c, c, e, e 80, e b, é, e, f, f, f, h r, i, J, j, m-u, m, m s, n, o, p, p-r, p, r, r r, r, r p, s, s d, t, t
Canard lecture
Ha ouais les berserkers moi j'ai beaucoup aimé !! De la bonne SF à l'ancienne (sous forme de nouvelles plutôt indépendantes) !!!
Général de canapé : Jamais devant, toujours vivant !
Oui, le premier tome.
une balle, un imp (Newstuff #491, Edge, Duke it out in Doom, John Romero, DoomeD again)
Canard zizique : q 4, c, d, c, g, n , t-s, l, d, s, r, t, d, s, c, jv, c, g, b, p, b, m, c, 8 b, a, a-g, b, BOF, BOJV, c, c, c, c, e, e 80, e b, é, e, f, f, f, h r, i, J, j, m-u, m, m s, n, o, p, p-r, p, r, r r, r, r p, s, s d, t, t
Canard lecture
Janus, de Alastair Reynolds.
Bof bof. La préface précise "l'un des auteurs les plus vendus au monde". Quand on a besoin de ce genre d'argument de vente, aïe. Le quatrième de couverture dit : si vous aimez A. C. Clarke, vous allez aimer. Ben oui mais non, ce n'est justement pas Clarke même s'il y a un gros air de "Rama". Et aussi de "Éon" + "Éternité" de Gregory Benford, dirai-je. Qui sont d'ailleurs passés avant, je me sens donc un peu blasé de ce style de "space opera".
C'est pas mal écrit et maîtrisé, mais je trouve que l'auteur veut trop en faire avec son intrigue qui envoie les acteurs des millions d'années plus tard, ce qui déconnecte l'intrigue de toute autre présence humaine. Et les dernières pages qui laissent entrevoir un immense univers, ce qui transforme donc toute l'intrigue "cosmique" du roman en une minuscule péripétie/pet de mouche. Et ainsi l'histoire se tire une balle dans le pied, en sorte. A moins d'envisager une longue saga derrière, mais pas sûr que ce soit prévu.
Je viens de commencer la Cité des Dames, de Christine de Pizan, écrit dans les années 1400 (traduit du vieux français évidemment, j'ai pas étudié le français médiéval ). c'est la première écrivaine de langue française a avoir pu vivre de son métier, et une des premières féministes à écrire en langue française du même coup. J'ai hâte de me plonger dedans !
The expanse tome 4 Je suis arrivé péniblement au bout. Trop de longueurs. Sur 300/400 pages, ça aurait pu passer mais là sur + de 600 pages bouarf ! C'est fastidieux. Ca devient devient un peu space-opéra de seconde zone.
ZzZzZzZzZz
Pour accompagner cette lecture, cet épisode de "Parler comme Jamais" est idéal (d'autant qu'elles abordent longuement Christine de Pizan) : https://www.binge.audio/podcast/parl...e-au-moyen-age
La délation sous l'occupation, de André Halimi, édition augmentée de 1998.
Histoire de bien garder foi en l'humanité... Intéressant sur le fond, moins sur la forme, ce n'est pas un technique travail universitaire et je trouve que ça manque de mise en perspective, d'explication de contexte, justement. Des fac-similés auraient eu plus d'allure que des retranscriptions (au moins un cahier photo).
Bob Morane contre l'Ombre Jaune- euh pardon, Max Larcher et les Samouraïs, de Jean-Michel Charlier. Celui de Buck Danny, Barbe-Noire et autres, je suppose.
Notre héros marin (non, pas Bernard Prince non plus) aide un homme en détresse et se trouve embarqué dans une chasse au fabuleux trésor japonais perdu après-guerre (donc bien avant le Cryptonomicon), poursuivi par les samouraïs du Soleil Noir. De la bagarre, du rebondissement en cascade, moins rocambolesque que prévu (notre héros sait prévoir ses arrières dans une certaine mesure) et une fin peu réjouissante, notre héros n'est plus motivé pour une suite, au moins c'est plié sans chercher à le sauver par tous les moyens.
Pas de l'énorme littérature mais disons roman de gare honnête (action vers 1965, écrit début 70s). Acheté histoire de rentabiliser mon passage à l'Easy Cash du coin, ça manquait de SF.
Petite coïncidence, je viens de finir le Decameron, de Boccace.
Je trouve la page wikipedia pas mal faite pour se faire une idée plus précise du livre:
https://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9cam%C3%A9ron
C'est une série de 100 courtes nouvelles principalement centrées sur l'amour (à la fois platonique mais aussi charnel) ou sur des situations comiques, voire certaines nouvelles plutôt "aventureuses".
Boccace cible un public féminin, et les nouvelles tournent souvent à l'avantage des femmes (quand il parle de "sexe faible" à propos d'une femme, c'est limite spoiler quant à qui va passer pour un idiot à la fin).
Il règne sur l'ensemble de l'ouvrage un ton de "liberté" assez étonnant pour l'époque, qu'elle soit sexuelle, de moeurs, voire d'opinion. Les personnages étant souvent très individualistes.
Toutes les nouvelles ne sont pas aussi intéressantes, surtout pour un homme du troisième millénaire (fût il né au deuxième). Pour ma part, j'ai de loin préféré les farces surtout lorsque l'auteur se moque du clergé et de l'hypocrisie des moines (ou de leur bêtise, ou des deux).
Mais j'ai vraiment aimé et je recommande, à condition évidemment de ne pas être hermétique à la littérature du moyen age.
Le jeu vidéo est une chose trop grave pour le laisser aux canards
J’ai fini ça :
Lyra rencontre Will et découvre la Croisée des mondes, envahie de spectres qui ne tuent que les adultes.
Sa mère et le père de Will sont à leurs trousses pour récupérer l’aléthiomètre et le poignard subtil (qui donne son nom au bouquin… en anglais), arme décisive dans la bataille qui s’ensuivra.
Ça se lit vite, c’est pas mal mais c’est encore plein de deus sex machine. Le monde est néanmoins intéressant, moins gnangnan que prévu.
Je commence ça :
une balle, un imp (Newstuff #491, Edge, Duke it out in Doom, John Romero, DoomeD again)
Canard zizique : q 4, c, d, c, g, n , t-s, l, d, s, r, t, d, s, c, jv, c, g, b, p, b, m, c, 8 b, a, a-g, b, BOF, BOJV, c, c, c, c, e, e 80, e b, é, e, f, f, f, h r, i, J, j, m-u, m, m s, n, o, p, p-r, p, r, r r, r, r p, s, s d, t, t
Canard lecture
J'ai commencé ceci:
J'en suis presque à la moitié. Le livre s'interesse moins aux opérations de la division qu'au pourquoi du comment de la création de la division et de sa composition.
On s'aperçois qu'on est loin d'une division SS d'élite, avec finalement une petite minorité de volontaires pas conviction et surtout une majorité de volontaires pour les avantages fournis par l'engagement (pour soi et la famille) et par l'engagement forcé. D'ou les problème lorsque la division en envoyer en France pour s'entrainer, même si la révole de Villefranche-de-Rouergue du bataillon de pionnier reste finalement anecdotique. Et les désertion massive quand ces avantages disparaossent ou sont amoindris.
Dans les chapitres déjà lu on voit bien aussi toute les relations difficile entre la SS, la Wehrmacht et le régime Oustachi. De même l'auteur s'attarde beaucoup sur la classe politique et religieuse des Bosnique qui oscillent entre franche collaboration, attentisme et hostilité. Beaucoup passant par ces différents sentiments au fil de la guerre.
Au passage aussi on voit bien toute la complexité des relations entre communautés dans les Balkans.
Un livre super intéressant pour peut que l'on intéresse au sujet.
On voit souvent les SS comme des troupes d'élite, mais ce n'est pas tout à fait exact.
Autant certaines unités étaient effectivement des unités d'élites, autant une bonne partie était incapable de combattre en première ligne et plutôt réservées au maintien de l'ordre ou à la lutte anti-partisans.
Il y a pas mal d'ouvrages sur le sujet, mais récemment, une bande dessinée raconte le parcours d'un SS français :
Le Voyage de Marcel Grob de Philippe Collin et Sébastien Goethals
Le jeu vidéo est une chose trop grave pour le laisser aux canards
Un manga sur le sujet, trois tomes sur neuf ont été traduits :
https://www.bdtheque.com/series/919/fleur-de-pierre
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Canard zizique : q 4, c, d, c, g, n , t-s, l, d, s, r, t, d, s, c, jv, c, g, b, p, b, m, c, 8 b, a, a-g, b, BOF, BOJV, c, c, c, c, e, e 80, e b, é, e, f, f, f, h r, i, J, j, m-u, m, m s, n, o, p, p-r, p, r, r r, r, r p, s, s d, t, t
Canard lecture
Il y a un numéro de Guerre et Histoire sur la question. De mémoire, sur un peu plus de 20 divisions de Waffen SS il n'y en avait que 4-5 au maximum qui étaient correctement équipées et menées, avec une bonne expérience du combat. Majoritairement les premières, composées d'Allemands uniquement, avec une ou deux exceptions.
Je viens de lire (péniblement) La société autophage d'Anselm JAPPE.
Péniblement car je m'attendais à un peu plus de réflexion économique et/ou politique que de sociologie et de philosophie.
C'est une attaque du capitalisme, essentiellement à travers le problème et le prisme du narcissisme.
Ceci dit c'est très intéressant comme point de vue, j'ai plus accroché à la fin du bouquin où il laisse de côté l'Histoire (philosophique/sociologique).