La Chaine WW2 en fait des tonnes pour Pearl Harbor, mais c'est j'imagine pour plaire au public américain, et puis c'est facile et sympa de faire une visite touristique à Hawai à cette époque de l'année.
Mais bon Pearl Harbor c'est ultra connu et analysé sous toutes ses coutures ....
Moi je préfèrerais ils soient à moscou pour décembre 1941, quoi il fait froid
Général de canapé : Jamais devant, toujours vivant !
Est-ce qu'ils parlent du message d'alerte qui arrive juste trop tard?
https://www.lepoint.fr/histoire/pear...88616_1615.php
Le 7 décembre 1941, vers 4 heures du matin, un dragueur de mines américain repère un périscope à l'entrée du chenal de Pearl Harbor et avertit un contre-torpilleur, qui ne retrouve pas sa trace. C'était en réalité un sous-marin de poche envoyé par les Japonais pour confirmer la position des cibles prioritaires dans la rade. Sans plus d'informations, l'incident est « classé ». Les Japonais apprennent via leurs hommes envoyés en reconnaissance qu'aucun porte-avions n'est présent : une grosse déception pour eux. D'autant plus que, sur ce point, ce sont les Japonais qui jouent de malchance : le porte-avions géant USS Enterprise, fer de lance de la flotte du Pacifique, est retardé par le mauvais temps, mais aurait dû être présent...
Quelques heures plus tard, un autre périscope est repéré dans la rade, il s'agit de nouveau d'un sous-marin de poche japonais. Mais, cette fois, l'US Navy traque et coule l'intrus. Mal informé de la gravité de l'incident, le poste de commandement pense à une fausse alerte et ne s'inquiète pas. Le navire américain est obligé d'envoyer un second message pour insister. Un peu plus tard, une barque pénètre dans la zone interdite. Cela arrive de temps en temps, mais, cette fois, l'embarcation se « rend » avec un drapeau blanc. Les marins américains sont stupéfaits : ils ne sont pourtant pas en guerre !
Dans le même temps, postés sur les hauteurs de l'île, des soldats américains testent un système de détection révolutionnaire : le radar. À l'aube, ils voient une ombre suspecte sur leur écran et concluent à une formation très importante d'appareils s'approchant de l'île. Ils viennent de repérer, sans vraiment le comprendre, les 180 appareils de la première vague japonaise. Ils transmettent l'information à leur supérieur, mais ce dernier ne juge pas utile de prendre en compte l'information : il estime qu'il s'agit d'une erreur de lecture. Les radars sont encore mal connus. De plus, étant rattaché à l'armée de terre, l'officier n'est pas au courant des incidents navals qui viennent d'avoir lieu. Constatant que les points suspects se rapprochent et sont très nombreux, le soldat en poste sur le radar demande à parler d'urgence à son chef, qui lui répond simplement « ne vous inquiétez pas » en lui expliquant qu'une formation de 12 bombardiers américains est attendue en provenance de Californie.
À Washington, les événements s'enchaînent aussi de façon malheureuse. Les services de renseignements interceptent dans la nuit précédant l'attaque un message destiné à l'ambassade japonaise à Washington. On peut y lire que « le gouvernement japonais a le regret d'informer [...] le gouvernement américain qu'en raison de son attitude il ne peut rien faire d'autre que considérer qu'il est impossible d'arriver à un accord en menant d'autres négociations ». Flou, ce message est interprété par le président Roosevelt comme une simple rupture des relations diplomatiques.
Un autre message intercepté précise que l'ambassadeur japonais doit transmettre le texte aux autorités américaines à 13 heures précises. Les Américains ne savent pas qu'ils ont sous les yeux l'heure de l'attaque japonaise, et évoquent dans leurs échanges « ce qui s'apparente à un ultimatum ». L'information est lentement transmise aux états-majors, qui sont invités à se mettre « en alerte en conséquence », mais Hawaii ne prend pas de mesures particulières. Les communications sont difficiles avec l'archipel : la radio est en panne et un télégramme est transmis via un réseau civil. Il n'est pas marqué comme prioritaire et n'arrive sur le bon bureau à Honolulu que quelques minutes avant l'attaque... À Washington, les responsables militaires sont persuadés que la puissance concentrée à Pearl Harbor met la base à l'abri de toute attaque. Au beau milieu du Pacifique, « la journée du 7 décembre 1941 commence comme n'importe quel dimanche ordinaire. L'activité tourne au ralenti. L'esprit est à la détente », relevait l'historienne Hélène Harter, interrogée par Le Point pour les 70 ans de l'attaque. Les ingrédients d'une défaite sont réunis...
C'est juste une préview on est pas à la date encore.
Tu parles de la déclaration de guerre ?
Général de canapé : Jamais devant, toujours vivant !
Ca va être IN-CROY-ABLE. Je suis plus que jamais heureux de souscrire à leur Patreon.
Sinon Stelteck t'inquiète pas ils oublient pas le front russe, ça occupe même 90% de leurs vidéos depuis 6 mois, un peu de variété ne fera pas de mal (surtout que Rommel va pas tarder à s'énerver )!
La guerre du pacifique est super intéressante, mais j'espère qu'ils n'auront pas claqués tout leur budget pour Pearl Harbor, le noyage de chaton ce n'est pas trop ce qui est le plus intéressant à observer
S'ils vont au delà des gros affrontements (corail, midway, etc...), la ça sera très intéressant, car le conflit a été très acharné.
Général de canapé : Jamais devant, toujours vivant !
Pour regarder religieusement leurs vidéos toutes les semaines, leur couverture est extrêmement large, alors comme on reste sur des vidéos de 15-20mn on rentre pas dans le détail de chaque escarmouche, mais sur Barbarossa par exemple on a les avancées allemandes un peu partout jour après jour en ce moment.
Aussitôt un conflit s'arrête au Caucase, un autre commence au Sahara Occidental. Faut croire que le Haut-Karabagh en a inspiré d'autres à régler de vieux comptes.
Je poste ici un article qui pointe un des soucis qui fait que c'est la m... en Orient, et pourquoi ça risque de le demeurer pour longtemps encore (et par ricochet chez nous par simple migration depuis cette zone).
Iran : Trump aurait sondé ses conseillers sur une frappe contre un site nucléaire
En gros, Trump voulait bombarder un site iranien... et après lui, le déluge (laisser la situation au prochain président)...
Ou mieux : comme c'est une situation de guerre, il doit rester au pouvoir pour la gérer.
Tant pis si ça n'a pas été fait avant, Trump vaut bien ça.
Vu le poids de la politique poutinienne, je me demande ce qu'il va en rester quand il ne sera plus là.
C'est une bonne chose de mettre le focus sur l'éducation, mais je reste choqué par le manque de diversité, l'ergonomie des postes des étudiants ; pas de soutient du dos/lombaire, j'espère que des cours d'éducation sportive existent à coté pour dégourdir tout ces muscles ankylosés, et dernier point la sécurité des enfants, pas de signalisation des issues de secours, aucune barrière en sortie d'établissement, c'est un coup à se faire attaquer par les parents si un jeune se blesse :x
+1
J'avoue que le manque de femmes et de minorités visibles est très choquant, si le nombre de moustaches/barbes rassure sur la présence de la catégorie Gay/Bear, les autres catégories sont dramatiquement absentes. Je pense qu'ils devraient nommer rapidement un coach bonheur & diversité pour résoudre ces problèmes avant d'avoir un bad buzz sur insta & twitter.
Le Meister reconnaitra les siens.
https://www.rfi.fr/fr/afrique/202011...-navale-soudan
Enclavée entre Suez et Djibouti (présence FR, US, JP et CN), le positionnement stratégique me paraît curieux. Mais c'est sans doute mieux que rien.La Russie confirme la construction d’une base navale au Soudan
Le projet d’accord prévoit la construction, près de Port-Soudan, sur la côte, d’un carrefour logistique pour la marine russe. Ce centre de soutien sera destiné aux réparations, au réapprovisionnement et au repos du personnel.
[...]
La Russie est aussi le plus grand fournisseur d’armes en Afrique, notamment en Algérie, en Égypte, en Angola. Ces dernières années, elle a signé des accords de coopération militaire avec près de 20 pays d’Afrique, dont la Centrafrique. Moscou tente également depuis des années d’installer une base militaire dans la région de la corne de l’Afrique, notamment à Djibouti, mais sans succès.
Le Meister reconnaitra les siens.
Erdie qui arrive avec les mains dans les poches en sifflotant : https://www.lefigaro.fr/flash-actu/a...etats-20201115
Déjà passé dans le topic de l'UE.
Il a été un peu secoué, et pas que par la météo. Privé de pique-nique sur la plage du coup.
Ca permet d'ouvrir aussi l'accès au Yémen, l'Iran, l'océan indien et l'afrique de l'est, et d'avoir une base pile en face de l'arabie saoudite pour contrebalancer l'influence US. Sachant qu'ils ont déjà des bases en syrie, et que l'egypte (donc suez) est amicale avec a russie, la succession Crimée > Syrie > Soudan c'est absolument pas déconnant. Le seul risque dans cette stratégie ça reste le Bosphore, donc Erdogan garde un moyen de pression sur les russes dans ce contexte.
Je pense pas qu'il faille résonner comme cela.
Quand on voit ce que leur base en Syrie leur a permis, on peut raisonnablement extrapoler vers le même genre de résultat pour celle-là.
La quantité d'états plus ou moins faillis dans la région est considérable, et rien ne met le Soudan actuel (pendant longtemps dans "l'Axe du Mal" je rappelle) à l'abri, si ce n'est justement cette base. C'est du gros gagnant-gagnant pour les deux pays.
En outre, vu ce que permet le traité, c'est potentiellement juste un premier bond. Pour le prochain bond, on pourrait imaginer que la Russie se mette à reconnaître un des bout de Somalie de facto indépendant par exemple.
Pas de signature.