Les acteurs français ne jouent jamais aussi bien la comédie que lorsqu’ils ne sont pas dans un fiction.
Je dois avouer ne jamais avoir vu un spectacle aussi divertissant.
Les acteurs français ne jouent jamais aussi bien la comédie que lorsqu’ils ne sont pas dans un fiction.
Je dois avouer ne jamais avoir vu un spectacle aussi divertissant.
Stop le HS, créez un topic du tribunal populaire si vous voulez causer des affaires judiciaires de Polanski...
Déjà que les conversations sur les Césars c'est chiant
Je ne tiens pas à alimenter la "polémique".
Quelqu'un explique très l'affaire, si vous voulez savoir avec votre tête plutôt que de réagir à un sujet que vous ne maîtrisez pas.
https://www.youtube.com/watch?v=YWM289BmD1Q&
En tout cas je suis allé chez quelqu'un pour voir les Césars hier avec un pote, qui lui est un peu "dissident" sur les bords, on a bien ris (je ne suis pas forcément d'accord avec ce qu'il pense, mais j'exècre la morale au plus au point).
La question de la peine n'a pas vraiment d'importance, d'un point de vue purement pragmatique. La peine prononcée n'a pas à être modifié simplement parce qu'un juge a décidé que "bon c'était pas assez ou trop". Après si y'a d'autres éléments que la conscience du juge qui permettaient de rouvrir légalement le procès et d'alourdir la peine, ouais ok.
Après peut être que c'est courant dans le milieu judiciaire, de revenir sur l'énoncé d'un verdict, mais ça me semblerait un peu abusif...
-.-.-– nAKAZZ, depuis 2024
Honour, eh? What the hell is that anyway? Every man thinks it's something different. You can't drink it. You can't fuck it. The more of it you have the less good it does you, and if you've got none at all you don't miss it.
Roman Polanski on s'en fout au final c'est plus le sort de ses films, qu'on les aime ou pas, dont on devrait se soucier.
Ces acteurs ne sont pas des joueurs.
C'est toujours l’Éternel débat entre l'homme et l’œuvre.
On pourrait parler de Gauguin et sa "copine" de 13 ans, qui fait encore débat, pour savoir si c'était vraiment catholique cette histoire.
D'ailleurs c'est pas évoqué dans le film avec Vincent Casesel ? Ca serait cocasse quand on sait que le mec s'est marié avec une nana de 19 ans quelques mois après.
Ces acteurs ne sont pas des joueurs.
Des fois j'hallucine complètement quand je mets les pieds ici (et c'est souvent dans la gueule).
Pour changer de sujet, je tiens un thread Twitter avec un principe simple :un film vu en 2020 = un post (je ne sais pas coller un post Twitter, la honte).
Là j'en suis à 42 films depuis le 01 janvier 2020
https://twitter.com/Monsieur_Couyu/s...281620992?s=20
Vu The Last Thing He Wanted de Dee Rees
Une journaliste engagée et déterminée est mise à l'écart pour s'être attaqué aux hautes instances de l'État. Un trafic d'armes entre les États-Unis et l'Amérique latine va lui permettre de rempiler.
C'est pas bon, le film est ennuyeux et très dissipé.
C'est encore une histoire de complot, d'agents, de personnage fantôme dont on a le nom mais pas le visage, de traîtres, etc. Au final l'intrigue est plutôt simple mais c'est laborieusement raconté, on s'y perd sans raison.
Le côté "film de journalisme" est lui-aussi très faible.
On sent quand même que le sujet du film est la protagoniste (interprétée par Anne Hathaway). Le personnage a pleins de facettes mais aucune n'est suffisamment travaillée. C'est particulièrement gênant dans les scènes de mélo : la musique monte, l'actrice pleure, sans qu'on comprenne d'où ça sort soudainement.
L'intérêt du film m'échappe totalement, à part pour s'endormir devant je vois pas.
Profitant de sa rediffusion dans les salles suite à ses oscars, j'ai vu Parasite de Bong Joon Ho hier
C'était... différent de ce dont j'étais habitué, je suis vierge au niveau de mon expérience sur le cinéma coréen, du coup je ne sais pas si c'est juste ce film ou bien quelque chose de commun au cinéma de ce pays, mais je n'arrive pas à décider quel est le message que ce film veut faire passer, ni même s'il y a un message :
Spoiler Alert!
Tokyo Godfathers ... et voila, je suis complètement rabiboché avec Satoshi Kon (bon j'étais pas si fâché en fait) ... j'ai ri fort et j'ai versé ma grosse larme. L'attachement aux personnages est vraiment dingue ... et je trouve ça incroyable que ce pan du travail de Satoshi Kon n'influence pas plus de monde depuis le temps, notamment dans les jeux vidéo. Visuellement c'est pas forcément aussi époustouflant que ses autres films, même si il y a quelques très grands moments : le sauvetage du bébé par le travesti !
Ce film est une merveille, y'a une humanité et une empathie incroyable, je suis tellement deg que cet homme soit parti si tôt, c'était son 4em long métrage seulement...
Sinon il a inspiré Nolan, Inception est pompé, pardon, très inspiré, de Paprika, et de son œuvre en général. (les réals nord Américains ont tj regardé avec attention les productions Japonaise, et fait des films ensuite, ce n’est pas nouveau, le Roi Lion est né de ça aussi)
Et pour le reste je te comprend, il (Kon) m'a semblé trop abstrait au début (comme réal), c’est vraiment Tokyo Godfather qui m'a fait apprécier son cinéma, et m’intéresser + subtilement aux autres œuvres ensuite (même si elles ne me touchent moins, mais même si je comprends son rapport à la réalité et le trouve très intéressant).
Ils réussiraient pas à rater un film Projet Zéro quand même.
Le concept est simple comme bonjour. Tout le monde ici pourrait le faire le film.
Sinon vu Joint Security Area de Park Chan Wook
C'est l'un des derniers films qui me manquait à voir de mon petit chouchou.
C'était formidable, même si certains effets spéciaux ont un peu vieilli, l'histoire globale et notamment le développement des personnages est vraiment extra.
J'ai aussi aimé la subtilité du film qui ne prend jamais parti dans cette histoire, c'est très nuancé et ça permet déployer une encore plus belle histoire ( qui contient évidemment son lot de noirceur ).
J'ai pas grand chose à dire de plus dessus, c'est vraiment très, très bon.
Dark Waters
C'est Erin Brockovich sans les boobs. Assez déprimant.
Ça casse pas des briques sur un canard...
Le réal est Marxiste, il t'amènes juste une lecture Marxiste des classes sociale, après tu en fais ce que tu veux, y'a pas d’idéologie derrière, à toi d’en penser ce que tu veux et d'en tirer les conclusions qui te chante.
Y'a aussi Snow Piercer dans le genre (+ frontal lui).
Ah et regarde Memories of Murder, un des meilleurs film noir ever (de ce réal aussi).
https://invidio.us/watch?v=0AC_-lXRTw8
Week-end relativement prolifique en terme de films d'horreur, puisque j'en ai vu 4, dans l'ordre :
Get Out (2017) de Jordan Peele.
Chris est un peu angoissé à l'idée de rencontrer les parents de sa petite amie, étant donné qu'ils ne sont pas au courant qu'ils sont un couple mixte et qu'elle ne leur a encore jamais présenté de petit ami noir. Une fois arrivé là-bas, les choses prennent une tournure vite déroutante pour Chris.
J'étais content d'en savoir le moins possible, donc je ne dirai rien sur l'intrigue : mieux vaut la découvrir au maximum
Ce film a beaucoup fait parler de lui à sa sortie donc je n'ai rien à rajouter qui n'a sûrement déjà été dit, c'est vraiment bien, la tension montre crescendo tout le long, les acteurs sont tous très bons. Les scènes marquantes se succèdent, notamment grâce aux acteurs. Pas de jump scare, plutôt une ambiance angoissante tout le long.
Très très sympa, à voir pour ceux qui l'auraient raté !
Wedding Nightmare (Ready or not) de Tyler Gillett et Matt Bettinelli-Olpin.
Grace est sur le point d'épouser Daniel, et de réaliser son rêve : enfin faire partie d'une famille après n'avoir jamais vraiment été chez elle nulle part. Cependant, Daniel est angoissé par un rituel propre à la famille, mais qui semble pourtant anodin : à minuit, un jeu sera choisi au hasard, et elle devra y jouer pour être intégrée à la famille.
Dans le genre du cinéma d'horreur, il est toujours risqué de tenter un mélange entre horreur et humour. Celui-ci y parvient assez bien, l'un n'éclipsant jamais l'autre. J'avoue avoir souri tout en ayant apprécié des moments bien dégueux.
Si on accepte le scénario abracadabrantesque, on peut franchement passer un bon moment.
La photographie fait parfois un peu cheap, les acteurs ne sont pas tous supers, mais globalement je n'en attendais rien, c'était donc rafraichissant.
En fait, pour moi c'est un peu un anti-American Nightmare (The Purge) que j'ai profondément détesté récemment. The Purge se prend incroyablement au sérieux malgré son synopsis complètement débile si on y réfléchit plus de cinq secondes, et tous les personnages croient dur comme fer à ce concept qui donne pourtant au spectateur envie de rire. Ici, les personnages sont conscients de l'absurdité de la situation, ils en discutent les règles, se chamaillent à ce propos, bref, ils sont aussi perplexes que nous, et c'est ça qui est bien !
Une bonne surprise, même si le film n'échappe pas à quelques clichés du genre survival.
The Void (2016) de Jeremy Gillespie et Steven Kostanski.
L'officier Carter se retrouve avec un blessé sur les bras alors qu'il effectue une simple patrouille dans son petit bled. Il l'emmène à l'hôpital, en cours de déménagement et donc quasiment vide, et rapidement les choses dégénèrent tandis que d'étranges personnages masqués entourent le bâtiment...
Ce film a clairement des allures de premier film de quelqu'un qui a écrit son propre scénario : on sent que l'expérience manque un peu, notamment au niveau de la narration et du montage, tout n'est pas toujours très clair, mais on sent que le scénario était parfaitement limpide au départ. J'avais adoré Bio-Cop, le court-métrage de Steven Kostanski, un peu moins Man-Borg, un peu longuet, vus à l'époque dans un festival. Après ces deux espèces de nanars volontaires, The Void a une toute autre allure : c'est beau, il y a pas mal de bonnes scènes marquantes, les effets spéciaux sont classes et rappellent évidemment The Thing. L'histoire lorgne du côté de Lovecraft, mais en plus obscur, quand même, perso j'ai pas absolument tout compris.
J'ai passé un bon moment mais je n'apprécie pas trop de me gratter autant la tête sur la dernière partie d'un film d'horreur. Ça m'a un peu rappelé The Ritual, avec un excellent début mais un film qui s'embourbe dans sa dernière partie.
Sympa globalement.
Enfin, vu Ghost Stories (2018) de Andy Nyman et Jeremy Dyson.
Le professeur Goodman s'est confié la mission de débunker les mediums charlatans depuis qu'il a été en contact avec les travaux de Charles Cameron dans sa jeunesse, un enquêteur paranormal qui menait à bien la même mission. Il se retrouve confronté à trois cas paranormaux qui vont mettre à mal ses croyances.
Globalement déçu. Le film a une première partie assez dingue, le premier cas est génial. Le personnage, les scènes d'horreur, la réalisation, ça cartonne. Ensuite, le deuxième est un peu meh mais on a encore en tête le souvenir du premier cas et on est donc impatient de savoir la suite. Malheureusement, je trouve que le film ne se relève pas de ce premier cas très bien, et prend même une direction que je n'ai vraiment pas aimé sur la fin, que je ne peux que dire en spoiler :
Spoiler Alert!
Spoiler Alert!
Au final, vraiment déçu par la conclusion et toute la dernière partie, malgré la présence d'un (toujours) très bon Martin Freeman durant celle-ci.
J'aurais aimé un film plus direct, une bonne vieille histoire de fantômes, comme le titre me l'a vendu...
On grandit au milieu des rōnins.