Y'a au moins un film Les valseuses que je vois mal aux US
Quand Amelie Poulain est interdite aux moins de 18 (ou assimilé) à cause de la scène de comptage des orgasmes, aucune chance que ce film y ait sa place...
"Tout est vrai, tout existe, il suffit d'y croire."
Dieu. (enfin… je crois)
Reste plus qu'a croiser les doigts pour que les négociations avec Sam Raimi passe
https://www.tomsguide.fr/doctor-stra...de-spider-man/
c'est chiant la 3D
Détail amusant: Audrey Tautou sera dans ce "remake" des valseuses. De même que je vois mal une adaptation US des valseuses, j'imagine aussi mal Tautou dans une reprise de ce même film (je suis certain qu'elle en est capable, y compris une version aussi trash que l'original, mais j'ai juste du mal à l'imaginer).
Sinon je trouve dommage de faire un film qui en rajoute sur Jesus, ce personnage est WTF au possible et j'aurai aimé qu'il garde un peu de mystère.
Et donc quand tu chies beaucoup , ça veut dire que tu manges beaucoup, et ça veut donc dire que tu est riche, CQFD
Ah c'est un guide d'éducation des jeunes filles japonaises ?
Et donc quand tu chies beaucoup , ça veut dire que tu manges beaucoup, et ça veut donc dire que tu est riche, CQFD
Une hirondelle ne fait pas le printemps, mais il y a des rumeurs selon lesquelles le soldat du VRAI cinéma de super héros, Sam Raimi, va voler au secours du périmé MCU sans inspiration et sans talents. J'ai hâte de voir ce qu'il va faire de Brie Larson: lui faire rouler un train dessus, et elle finirait écrasée sur les rails.
En plus, Doctor Strange, ça siginfie l'arc Inferno, donc enfin du mature dans le MCU. Pas sûr que Disney va s'en remettre, tellement ils sont habitués aux gamineries. J'ai hâte de voir un requin géant croquer des gens dans Manhattan.
Primal Fear (1996)
Un archevêque est brutalement tué et un jeune homme couvert de sang (Edward Norton) est arrêté sur les lieux du crime. Martin Vail (Richard Gere), ancien procureur reconverti en avocat de la défense de renom, arrogant mais sympathique, décide de le représenter et se battre pour lui éviter la peine de mort, convaincu de son innocence. Il fera face au tribunal à son ancienne protégée (Laura Linney) qui mènera l'accusation.
Un casting solide complété par Frances McDormand en neuropsychologue, Alfre Woodard en juge, John Mahoney en procureur de district et un jeune officer Holt en enquêteur (bonus pic ci-dessous).
Spoiler Alert!
Résumé : La réalisation est correcte, l'histoire est prenante, tout le monde joue bien, c'est un vrai bon film d'enquête/tribunal.
Il s'agit du premier rôle d'Edward Norton au cinéma (sur un casting de 2100 personnes), qui se débrouille très bien dans ce rôle de jeune frêle et perdu avec un tic de langage. Richard Gere arrive à donner un côté sympathique salutaire à ce personnage d'avocat brillant mais qui aime un peu trop être sous les spotlights, et qui s'éloigne ici du cliché du séducteur qui arrive à ses fins (dans le côté "arrive à ses fins", s'entend). Laura Hinney est parfaite dans sa tentative d'émancipation de son mentor et ses passes d'armes avec Gere sont savoureuses.
Les sujets évoqués ont peut être pas mal galvaudés dans le cinéma depuis (pédophilie/déviance du clergé, l'accusé qui trompe son avocat dans les longueurs), mais ils sont ici correctement traités. Il y a une sous-intrigue et des personnages secondaires pour aérer tout ça. Non, c'est vraiment bien. Il n'y a que la fin qui péche un peu pour moi, très tape-à-l’œil et pas forcément très cohérente, mais bon.
Découvert complètement par hasard et c'est au final une très bonne surprise.
Honour, eh? What the hell is that anyway? Every man thinks it's something different. You can't drink it. You can't fuck it. The more of it you have the less good it does you, and if you've got none at all you don't miss it.
Aarghlb lub blohrub je pourtant clair, ne pas ?
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C'est du bon, c'est du lourd, je ne sais pas si le film est à la hauteur de la bande annonce mais elle est magnifique: elle devient progressivement de plus en plus débile et l'acteur principal canalise, selon les moments, Jason Statham, Stallone, Van damme et même Ken le survivant.
Si j'ai bien compris une autre bande annonce (plus complète mais moins fun), le frère du héros (un gentil benêt) se fait kidnapper en Syrie et, réaction logique, monsieur muscle pète la gueule à ISIS. C'est donc entre Taken et John Wick (sérieux, le frère à des yeux de chien battu).
Pareil, et j'espère sincèrement qu'il va apposer sa patte et donc toucher au scénario, les autres le font (par exemple pour Gardien de la galaxy....).
Et puis c'est sur Dr strange 2 qui est censé amener l'horreur (version marvel avec des jolis couleurs et....pas de la vrai peur sauf pour enfant de -12 ans) et donc le réalisateur qui peut vraiment faire la différence.
c'est chiant la 3D
Il semble très clair qu'ils ont compris comment vendre leurs productions à un public occidental friand de flims profonds.
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Il ne faut pas oublier que le dernier vrai flim en date pour Raimi est Drag me to hell. Pas vraiment ce que j'appelle un flim d'horreur totalement incompatible avec le style Disney. Plutot un petit truc insignifiant à la GotG.
Et donc quand tu chies beaucoup , ça veut dire que tu manges beaucoup, et ça veut donc dire que tu est riche, CQFD
Je reviens là-dessus.
Effectivement le dessin est étrange, les pommettes surlignées et le dessin des lèvres est inhabituel. Les flashbacks sont effectivement bien jolis. Par contre son enfance (sa vie entière en fait) se passent à Tokyo, elle ne va à la campagne que pour les vacances, que ce soit adulte ou enfant.
Adoration c'est vraiment beau, y a un vrai plaisir à revoir les Ardennes filmées par ce réal, en fait. Et le garçon déjà vu dans Jusqu'à la garde est vraiment excellent ... En ressortant j'avais plein d'interrogations à base de qui (se) raconte quoi et essayer de remettre un peu d'ordre dans tout ça. Le film ne cherche pas vraiment à répondre à ce que regarde le spectateur et se limite à dessiner la folie de ses personnages à l'image de certains mouvements de caméras au début, qui sont un peu fatigants eux pour le coup. Donc amoureux des théories farfelues, ça devrait le faire pour vous. Mais les autres risquent de ne pas voir beaucoup d'intérêt à cette histoire en revanche, voire penser que ça n'a ni queue ni tête.
Un beau film, mais c'est pas le Du Welz le plus inspiré, hélas.
(et donc ma théorie : Gloria est une personnalité créée par Paul qui cherche à rester le petit garçon mignon et naïf et non pas être l'adolescent qui tue et fout le feu. )
Pour les canards spationautes qui n'auraient pas compris pourquoi Ad Astra a été élu Grosse Bouse N°2 ( derrière un autre film de SF ) ici même par les experts canard pc, démonstration en 2H50min ce soir sur France 2, v.o. et musique de Hans Zimmer incluses :
Un grand oui.
Knives Out
Film collégial bourré de talents mais très peu exploités étant donné que c'est Daniel Craig et Ana de Armas qu'on verra le plus souvent à l'écran. Toute la famille est sous-exploitée, Jamie Lee Curtis n'a pas vraiment de rôle à jouer, on aimerait voir plus de Don Johnson, Michael Shannon ou Toni Collette, mais non, tant pis. Pareil pour l'inspecteur joué par le super LaKeith Stanfield, un peu de présence et de lignes au début et puis plus rien.
Ce qui est dommage parce qu'au final, Daniel Craig est celui qui joue le moins bien ici. L'acteur est fatigué, bouffi, a les yeux explosés (???) du début à la fin, et ils ont choisi de lui faire prendre un accent du sud des USA qui rend toutes ses répliques tellement forcées, peu naturelles (on sent qu'il se concentre sur l'accent) et malaisantes. On lui aurait laissé son accent britannique d'origine que le film y aurait beaucoup gagné.
Au final on a un film juste sympathique dans un genre où il est désormais très difficile d'innover (qui est le tueur ? la victime elle-même ? la bonne ? le membre de la famille qu'on soupçonnerait le plus ? celui qu'on soupçonnerait le moins ? meurtre collégial ? l'inspecteur lui-même ? tout a déjà été fait), mais que je trouve être un gâchis au vu des acteurs qui sont présents. Et remplacer Craig par n'importe qui au vu de ce qu'on voit à l'écran n'aurait pas été un mal.
Jojo Rabbit
J'ai été emporté du début à la fin. Très bon film.
Ils ont vraiment réussi leur casting. Les deux gamins (Jojo et Yorki) sont vraiment justes pour des enfants, Yorki on dirait un mini Nick Frost avec un vrai talent pour délivrer ses lignes humoristiques de façon complètement impassible (deadpan delivery, l'efficience anglaise). L'adolescente juive est jouée par Thomasin McKenzie, que j'avais découvert dans Leave No Trace, qui elle aussi est excellente, et dont la voix est toujours aussi magique (il faut l'avoir vu en VO).
Tous les acteurs adultes réussissent parfaitement leur mission, Scarlett Johansson en mère exubérante, Sam Rockwell en officier désabusé au grand coeur, Rebel Wilson avec ses notes humoristiques, etc.
Pas de temps mort, le récit arrive toujours à avancer, à aller quelque part, j'ai ri plusieurs fois (sacré Yorki), très bon moment. Si je l'avais vu avant il aurait été dans mon top 3 de l'année dernière.
Honour, eh? What the hell is that anyway? Every man thinks it's something different. You can't drink it. You can't fuck it. The more of it you have the less good it does you, and if you've got none at all you don't miss it.
Vu The Gentlemen de G.Ritchie.
Très chouette retour aux sources très verbeux, je me suis beaucoup amusé !
J'ai vu Paul comme aussi fou que les autres personnes autour de lui.
Fou d'amour, mais fou tout de même.
Un très beau film.
2020 continue sur de surfer sur les films de qualité avec "Une vie cachée" de Malick. Ouais bon, il n'est sorti que cette semaine en Belgique, faites pas vos français.
Comment ce film a pu être snobé à Cannes ?
Une claque. Un des plus beaux films qu'il m'ait été donné de voir au cinoche, une expérience de tous les instants, visuelle, sonore, lyrique, métaphysique. Malick retrouve une narration classique après sa trilogie/quadrilogie assez décousue (doux euphémisme) et cela redonne une consistance nécessaire à mes yeux. Une pure merveille. Alors c'est sûr qu'il faut aimer l'emphase mais si on se laisse couler, le plaisir est là.
Vu récemment :
Saving Mr Banks (2014) de John Lee Hancock.
Pamela Travers, l'auteur du livre Mary Poppins, est contrainte de céder les droits de son livre à Walt Disney, qui cherche à l'adapter au cinéma depuis vingt ans. Leur collaboration tourne vite à la galère pour les deux, qui ont chacun des visions différentes liées à qui ils sont.
J'en attendais sans doute un peu trop.
D'abord, le personnage de Pamela, interprété par Emma Thomson, est parfaitement antipathique tout le long.
Certes, le film est entrecoupé de scènes montrant son enfance et son rapport à son père, qui ont conditionné la personne qu'elle est plus tard, mais ça ne la rend pas sympathique. On comprend qui elle est, mais pas facile de s'attacher à un personnage aussi imbuvable.
Ces flashback, parlons-en justement, je suppose qu'ils sont idéalisés car du point de vue de l'enfant, mais pfff... C'est long et chiant. La chute de la figure paternelle n'est pas vraiment originale ni intéressante. Je comprends ce qu'on essaye de faire mais je pense que ça manque de finesse. En fait, l'ensemble fonctionne vraiment, ça forme un tout cohérent, mais ça manque de passion et ça ne sort jamais vraiment des rails.
Tom Hanks est pas mal en Walt Disney, et les séquences avec les auteurs qui inventent les chansons sont pas mal.
Mais bon, sinon on voit tout venir en avance et pas vraiment de surprise au final. J'ai trouvé le temps long et ne me souviens pas avoir été ni ému, ni vraiment transporté.
Par contre, la fin est vraiment mytho par rapport à la réalité
Mais bon, ça se comprend.
Déçu.
A peu près dans le même registre, j'ai aussi vu Rambo : Last blood (2019) d'Adrian Grunberg.
John Rambo est enfin rentré dans son pays, après une vie passée à essayer de le laisser derrière lui. Il a fondé un semblant de famille et aspire à la paix. Lorsque Gabrielle, la petite-fille de son amie Maria, part au Mexique pour retrouver son père biologique, et qu'elle ne revient pas, John part la retrouver.
Je suis dans le regret de partager la plupart des critiques que le film a reçu.
Je fais partie des gens ayant adoré de bout en bout John Rambo, le précédent opus. Il portait en lui une compréhension dingue du personnage de Rambo, il nous en montrait la continuité parfaite et logique, et apportait une réflexion fascinante sur la violence, sa nécessité tout autant que son inutilité, et sur l'impact qu'elle a sur la vie de quelqu'un qui ne sait plus vivre sans elle. C'était un coup de poing que j'avais reçu en plein visage et sur lequel je pourrais parler pendant des heures.
Mais là, on n'est pas dans John Rambo, mais bien dans Last Blood. Que reste-t-il de ça ? Finalement, bien peu de choses. La réflexion a quasiment disparu, il ne reste que la vengeance. Je ne suis pas contre, quand c'est bien exécuté. Mais ce Last Blood manque d'âme, d'originalité, de punch. La violence psychologique est déjà vue (les réseaux de prostitution forcée) et expédiée, et seul le dernier arc nous donne ce qu'on est finalement venu chercher : un déchaînement de violence graphique. Mais même là, j'ai été déçu. Tout est sur des rails, tout semble planifié et tout fonctionne, et on se dit "tout ça pour ça".
C'est dommage, car j'ai beaucoup aimé la première partie. En plus, en Europe, nous avons eu droit à une séquence initiale que les USA n'ont pas, avec la tempête et John qui essaye de sauver des victimes. J'ai beaucoup apprécié cet aspect du personnage, même s'il est un peu cliché, et aussi les premières scènes au ranch avec sa "nièce". Ensuite, on tombe dans un Taken-like vraiment peu inspiré, et ne volant pas beaucoup plus haut que le film en question.
Stallone a l'air d'y croire, quand même, et heureusement qu'il est là.
On grandit au milieu des rōnins.
T'as trouvé ? Avec juste les yeux et une partie de la bouche qui bougent encore ?
Mais bon, pour un film de série B très cheap, principalement tourné en Bulgarie, dans un ranch et aux îles Canaries, avec un budget conséquent de 50 millions de dollars (j'étais très surpris en apprenant ça après le visionnage, parce que t'en retrouves 20 max à l'écran), j'imagine que le père Stallone s'est bien mis au moins 20 millions dans les poches. Il peut bien être concerné.
Honour, eh? What the hell is that anyway? Every man thinks it's something different. You can't drink it. You can't fuck it. The more of it you have the less good it does you, and if you've got none at all you don't miss it.
Birds of Prey c'est sympa. L'action a un côté cartoon rigolo avec jambes qui se plient et dents qui volent.
On est mieux servi que sur les autres films de super héros de ce côté là.
Dommage pour le film qu'il dérive de Suicide Squad, ça ne va pas l'aider à trouver un public.