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  1. #6721
    J'ai toujours eu un faible pour le cinéma de Don Coscarelli, il n'y a pas vraiment de films de lui que j'ai pas aimé. Oui, même Dar l'invincible !! Après, je suis assez fan de cinéma d'horreur de série B (voir un peu moins dans l'alphabet). Les "Phantasm", ce sont des films tournés avec des sphères mais sans un rond, des acteurs approximatifs, des effets spéciaux fait maison, mais tout ça participe au charme de l'ensemble et Coscarelli parvient à bricoler sa propre mythologie avec son Tall Man, ses cadavres réduits en nains, son étrange porte vers un autre monde et bien sur ses sphères tueuses pompeuses de sang... Le tout dans une ambiance de fin du monde poussiéreuse à la Mad Max (le premier). Je n'appellerai jamais ça des chefs d’œuvre, mais pour l'amateur du genre (séries B fauché, donc), ça peut valoir le coup. Le dernier, qui n'est pas réalisé par Coscarelli, est une grosse déception : c'est fait avec des morceaux rapiécés tournés de loin en loin, sur un scénario incompréhensible, agrémentés d'effets numériques dégueulasses. Aucune homogénéité, on dirait un fan film (ce qu'il est en partie, je crois bien).

  2. #6722

  3. #6723
    Le jeu vidéo est une chose trop grave pour le laisser aux canards

  4. #6724
    L'historien Anthony Beevor (qui a écrit plusieurs ouvrages très connus sur différentes batailles du 20ème siècle) dit ce qu'il pense de différents films de guerre:

    https://www.theguardian.com/film/201...P=share_btn_tw

    C'est intéressant parce qu'il va plus loin que le classique "les films de guerre racontent rien que des conneries":
    - Les anecdotes (avec Annaud )
    - les films qu'il a trouvés réalistes (cocotrico !!!)
    - il différencie bien le film en tant qu'oeuvre artistique et son réalisme.
    Le jeu vidéo est une chose trop grave pour le laisser aux canards

  5. #6725
    Citation Envoyé par jeanba Voir le message
    - les films qu'il a trouvés réalistes (cocotrico !!!)
    Et ben ! et je crois bien n'avoir jamais entendu parler de ce film, en plus !

  6. #6726
    Citation Envoyé par Pierce Inverarity Voir le message
    Et ben ! et je crois bien n'avoir jamais entendu parler de ce film, en plus !
    C'est un film à voir.
    Globalement, Schoendoerffer a fait de très bons films de guerre.
    Le jeu vidéo est une chose trop grave pour le laisser aux canards

  7. #6727
    Citation Envoyé par jeanba Voir le message
    L'historien Anthony Beevor (qui a écrit plusieurs ouvrages très connus sur différentes batailles du 20ème siècle) dit ce qu'il pense de différents films de guerre:

    https://www.theguardian.com/film/201...P=share_btn_tw

    C'est intéressant parce qu'il va plus loin que le classique "les films de guerre racontent rien que des conneries":
    - Les anecdotes (avec Annaud )
    - les films qu'il a trouvés réalistes (cocotrico !!!)
    - il différencie bien le film en tant qu'oeuvre artistique et son réalisme.
    J'ai trouvé ça très intéressant, merci pour le partage.

    Beaucoup de mecs butthurt en commentaires par contre, ce qui n'est pas très étonnant étant donné le ton très incisif du mec face à la vision de l'Histoire qu'a Hollywood.

    Birds of Prey: And the Fantabulous Emancipation of One Harley Quinn

    Total contre-pied du Joker de Phillips, le film est complètement cartoonesque, dans ses personnages, ses situations, même les plus banales (c'est le flic de l'accueil assis sur son gros cul qui commence à se moquer de l'odeur de la détective alors qu'elle n'a pas encore franchi le pas de la porte), ainsi que dans sa narration, avec une quantité de flashbacks explicatifs/introductifs non négligeables et une Harley Quinn en voix off, des procédés que je trouve assez agaçants en règle générale (pas d'exception ici).

    Par contre j'ai trouvé que la photographie avait parfois des moments de grâce, malheureusement très peu exploités par une mise en scène et une réalisation très limitées.

    Sans mépris aucun, ça reste quand même un film très formaté pour adolescentes/jeunes adultes.
    Honour, eh? What the hell is that anyway? Every man thinks it's something different. You can't drink it. You can't fuck it. The more of it you have the less good it does you, and if you've got none at all you don't miss it.

  8. #6728



  9. #6729
    Raising Arizona

    Sur ARTE hier, le deuxième film des frêres COhen.

    J'ai trouvé ça super nul, mais faut sans contextualiser, ça a quand même 35 ans, et je l'ai vu en VF avec des voix ridicules.
    Ça casse pas des briques sur un canard...

  10. #6730
    Django Unchained hier soir. C'était trop bien, les 2h35 du film sont passés super vite. C'est fluide, rythmé, la lumière est superbe, le scénario solide, les interprètes géniaux. Un excellent moment. ²

  11. #6731
    Citation Envoyé par cailloux Voir le message
    Raising Arizona

    Sur ARTE hier, le deuxième film des frêres COhen.

    J'ai trouvé ça super nul, mais faut sans contextualiser, ça a quand même 35 ans, et je l'ai vu en VF avec des voix ridicules.
    Dommage que tu n'aies pas aimé.
    C'est le film qui m'a fait découvrir les frères Cohen, mais je l'ai toujours vu en VO.
    C'est surtout pour l'ambiance, l'atmosphère que je l'ai apprécié, et pour quelques scènes comme la rencontre entre els protagonistes, qui me fait toujours marrer
    Le jeu vidéo est une chose trop grave pour le laisser aux canards

  12. #6732
    Citation Envoyé par jeanba Voir le message
    Dommage que tu n'aies pas aimé.
    C'est le film qui m'a fait découvrir les frères Cohen, mais je l'ai toujours vu en VO.
    C'est surtout pour l'ambiance, l'atmosphère que je l'ai apprécié, et pour quelques scènes comme la rencontre entre els protagonistes, qui me fait toujours marrer
    Madame n'aime pas regarder en VO...
    Spoiler Alert!
    depuis le confinement j'ai aussi remarqué que madame regarde des merdes à la TV quand je suis au boulot : Koh lanta, the voice et des séries américaines sans intérets... vivement la reprise
    Ça casse pas des briques sur un canard...

  13. #6733
    Citation Envoyé par Sharn Voir le message
    Django Unchained hier soir. C'était trop bien, les 2h35 du film sont passés super vite. C'est fluide, rythmé, la lumière est superbe, le scénario solide, les interprètes géniaux. Un excellent moment. ²
    Je trouve ce film très distrayant, impossible de m'ennuyer devant même si je trouve le Tarantino précédent un bon cran au-dessus. Par contre les suivants, quel ennui...
    Jeux du moment : TEKKEN 8

  14. #6734
    C'est Coen leur nom, pas Cohen.

    :mecquiselapète:
    Citation Envoyé par Grosnours Voir le message
    Reconnaitre qu'on ne sait pas est un premier pas sur le chemin du savoir...

  15. #6735
    Citation Envoyé par cailloux Voir le message
    Raising Arizona

    Sur ARTE hier, le deuxième film des frêres COhen.

    J'ai trouvé ça super nul, mais faut sans contextualiser, ça a quand même 35 ans, et je l'ai vu en VF avec des voix ridicules.
    Ha...
    J'adore ce film. Je l'ai découvert en VF relativement jeune et comme beaucoup de films de cette époque, c'est un film que je ne peux voir maintenant qu'en VF.
    J'ai fait découvrir le film à plein de gens, il y en a peu qui aiment finalement
    "Tout est vrai, tout existe, il suffit d'y croire."
    Dieu. (enfin… je crois)

  16. #6736
    Citation Envoyé par cailloux Voir le message
    Madame n'aime pas regarder en VO...
    Spoiler Alert!
    depuis le confinement j'ai aussi remarqué que madame regarde des merdes à la TV quand je suis au boulot : Koh lanta, the voice et des séries américaines sans intérets... vivement la reprise
    Tant qu'elle ne regarde pas le concours de l'Eurovision, ça va.

    J'ai vu Solo: A Star Wars story l'autre soir. Je m'attendais à un truc nul, mais en fait c'était très divertissant, bien que mou au milieu. L'acteur principal est pas mal dans le role de Solo. Meme Emilia Clark n'est pas inssuportable de nullité, c'est dire. Bref, c'est mieux que l'épisode IX.
    Et donc quand tu chies beaucoup , ça veut dire que tu manges beaucoup, et ça veut donc dire que tu est riche, CQFD

  17. #6737
    Vu La plateforme .

    Dans une prison-tour, une dalle transportant de la nourriture descend d'étage en étage, un système qui favorise les premiers servis et affame les derniers.

    J'ai bien aimé l'idée , a voir .
    ​Burne yourself !!!

  18. #6738
    Citation Envoyé par nicofirst Voir le message
    Vu La plateforme .

    Dans une prison-tour, une dalle transportant de la nourriture descend d'étage en étage, un système qui favorise les premiers servis et affame les derniers.
    Mieux que ça, si tout le monde décide de se nourrir sans se goinfrer, juste à satiété, il restera de la nourriture pour les derniers vers qui descendra la plateforme. Sauf que la nature humaine étant ce qu'elle est... Le propos n'est pas très subtil, mais très à propos, surtout si on remonte à quinze jours, lorsque les gens dévalisaient bêtement certains produits (ou on peut également penser à la gestion plus globale des ressources de notre planète).

    C'est un film espagnol Netflix qui fait le taf.

    Honour, eh? What the hell is that anyway? Every man thinks it's something different. You can't drink it. You can't fuck it. The more of it you have the less good it does you, and if you've got none at all you don't miss it.

  19. #6739
    Citation Envoyé par Wulfstan Voir le message
    Mieux que ça, si tout le monde décide de se nourrir sans se goinfrer, juste à satiété, il restera de la nourriture pour les derniers vers qui descendra la plateforme. Sauf que la nature humaine étant ce qu'elle est... Le propos n'est pas très subtil, mais très à propos, surtout si on remonte à quinze jours, lorsque les gens dévalisaient bêtement certains produits (ou on peut également penser à la gestion plus globale des ressources de notre planète).

    C'est un film espagnol Netflix qui fait le taf.

    https://www.youtube.com/watch?v=RlfooqeZcdY
    Ben en fait.
    Spoiler Alert!
    Le truc c'est que si chaque individu se contentait de manger seulement son plat ( celui qu'ils ont choisit lors de l'entretien ) ils auraient tous a bouffer .
    ​Burne yourself !!!

  20. #6740
    Je viens de me voir Extremely Wicked, Shockingly Evil and Vile sur Netflix.
    Un film qui retrace la vie de couple et les procès du tueur en série Ted Bundy, essentiellement vus par les yeux de sa compagne des années 70. Le film a un défaut dû à son choix de narration je trouve: on ne voit jamais les meurtres, du coup on a du mal au final à se rendre compte de la monstruosité du personnage. Et vu que son côté séducteur est mis en avant pendant tout le film (excellent interprétation de Zach Effron d'ailleurs), si on ne connait pas exactement la nature des actes qu'il a commis, ça peut-être dérangeant, atténuer sa culpabilité. Mais il y a quand même une toute dernière scène qui remet un peu les choses dans leur contexte, et la présentation des noms de toutes ses victimes connues au générique final pour rattraper le coup.
    Un bon film quand même, à compléter par la vision de The Ted Bundy Tapes, la mini-série docu ...
    Dernière modification par Manu71 ; 31/03/2020 à 23h55.
    Citation Envoyé par Grosnours Voir le message
    Reconnaitre qu'on ne sait pas est un premier pas sur le chemin du savoir...

  21. #6741

  22. #6742
    J'ai vu Stalker il y a quelques jours.

    Un très beau film, qui a vraiment une ambiance particulière. Par contre, j'ai rien compris.

  23. #6743
    Some days, some nights, some live, some die in the way of the samurai
    Some fight, some bleed, sun up to sun down, the sons of a battlecry

  24. #6744
    Vus récemment :

    The Lost Boys (1987) de Joel Schumacher.

    Lucy et ses deux enfants, Sam et Michael, emménagent dans la petite bourgade de Santa Carla, en Californie. Ils espèrent y mener une vie paisible après le divorce des parents, mais pas sûr qu'emménager dans ce que les locaux appellent "capitale du crime" soit une bonne idée pour ça. Pendant que le plus grand, Michael, tombe sous le charme d'une meuf, et semble prêt à tout pour rejoindre son clan aux coutumes vraisemblablement étranges, le jeune Sam rencontre les frères Frog, qui vont lui faire de surprenantes révélations sur la population locale.

    C'est l'un des films cultes de jeunesse de ma cousine, dont les goûts cinématographiques ne m'ont jamais fait défaut. J'ai patienté avant de le voir, mais l'heure était venue : le mois de mon anniversaire, je regarde toujours quelques films qui datent de mon année de naissance. Voilà, vous savez plein de trucs inutiles sur ma vie maintenant.

    The Lost Boys est un film de vampires des 80's. Les deux facettes sont importantes.
    On y retrouve donc les éléments importants de ces deux axes :
    - Le thème de la découverte de soi, du passage à l'âge adulte, la violence, le gore, l'eau bénite, l'invitation à entrer chez soi, pour les vampires
    - Les ados façon Goonies qui règlent les problèmes sur leurs vélos, les jeunes en perdition, le mélange horreur/humour (qui m'a un peu rappelé Fright Night sorti deux ans plus tôt), la BO rock n' roll (avec une scène de concert parfaitement dingue), pour les 80's.

    Le mélange prend très bien, même s'il faut aimer un peu les deux pour être parfaitement pris dedans. Personnellement, j'ai suivi l'histoire avec plaisir, sans temps mort. Le casting est super, on retrouve plein de têtes connues, de Corey Feldman à Corey Haim pour les gosses, Kiefer Sutherland en ado rebelle (forcément), Dianne West en maman (sans blague) (c'est la maman dans Edward Scissorhands), et on s'attache à tous.
    Evidemment, le film est devenu culte auprès des ados un peu perdus pour une bonne raison : les vampires sont mis en avant, montrés comme cools, et au final le titre nous indique beaucoup de choses sur le point de vue qu'il est possible d'adopter. Ces vampires représentent une génération de gosses des 80's, conçus pendant le mouvement hippie (Michael en parle avec Star, quand il apprend son prénom, quelque chose comme "Ah, toi aussi tes parents étaient hippies ? Je suis passé à deux doigts de m'appeler Moon Child."), donc souvent issus de familles mono-parentales paumées qui ont vécu la récession à la fin des 70's/début 80's.
    J'imagine très bien ce qu'a pu ressentir ce public dans les 80's, l'identification qui se crée facilement avec ces vampires, pourtant montrés comme méchant. Ces vampires, c'est tout simplement les punks et les gangs, les ados rebelles et les ados muets, confrontés à un monde que l'on a construit avant eux, sans eux, pas pour eux.
    Le parallèle est évident, mais il fonctionne bien.

    Donc, pas déçu : très bon film.

    Changing Lanes (2002) de Roger Michell.
    Gavin Banek et Doyle Gibson n'ont rien en commun, et ne se connaissent absolument pas. Mais un jour, tandis qu'ils ont tous les deux une échéance extrêmement importante au tribunal, ils se percutent sur un échangeur et la voiture de Doyle voit son pneu crever. Gavin, très pressé, décide de le laisser là malgré les supplications de Doyle, et ne prend pas ses coordonnées. Cet acte anodin de manque d'humanité va les poursuivre tous les deux, alors qu'ils vont s'entraîner mutuellement dans une spirale de coups fourrés de plus en plus odieux...

    Une bonne surprise. Les deux acteurs principaux, Ben Affleck (si vous avez deviné qu'il joue le connard, bravo) et Samuel L. Jackson, sont plutôt bons, même si on a peu l'impression d'avoir déjà vu ce personnage de Ben Affleck.
    Le scénario prend des tournures assez attendues, on n'est pas beaucoup surpris. Mais l'aspect descente aux enfers du quotidien est assez bien rendu.
    Reste la fin, pas très convaincante à mon goût. Mais globalement, j'ai passé un bon moment, on ne voit pas passer le temps.

    Bad Boys for life (2020) de Adil El Arbi et Bilall Fallah.

    Boum, boum, ratatatatata, piou piou, BOUM, piou piou piou, FUCK FUCK FUCK, boum, ratatatata, aaaargh.

    Bon. La première demi-heure a été très pénible. Je n'ai pas ri, pas levé un sourcil, je me demandais ce que je foutais là.
    Il faut savoir que je n'aime pas Bad Boys 2. J'aime bien le 1, que je trouve sans prétention, représentatif de son époque, assez rafraichissant dans ce qu'il propose. Mais le 2 reste une énigme. Incompréhensible, vulgaire, bref, nul.
    Finalement, passé ce premier quart assez gênant, pendant lequel on doit s'habituer au menton de Martin Laurence, le film commence tranquillement à dérouler sa pelote et à nous montrer des choses. Je ne vais rien spoiler car il sort à peine en VOD et que personne ne semble l'avoir vu au ciné, mais il y a quelques rebondissements pas dégueu, inattendus, et rafraichissants après la bouillie de Bad Boys 2.
    Clairement, celui-ci est bien meilleur que le 2. On comprend mieux, les implications sont vraiment personnelles (dans le 2, le méchant devait kidnapper la sœur de Marcus qui se trouve AUSSI être la meuf de Mike pour impliquer notre duo, c'est tellement poussif) pour les héros, on comprend qu'ils aillent au bout des choses.
    Ils se retrouvent aussi affublés d'un crew pas désagréable, avec un peu de background (juste ce qu'il faut) et un peu de personnalité.

    Au niveau technique, les réalisateurs savent tenir une caméra. Le montage dans la première partie n'est pas toujours très fluide, les scènes s'enchaînent un peu vite, mais ça se calme après. Dommage pour le filtre orange dégueulasse, mais j'ai vu pire.

    J'ai souri quelques fois, et ricané une fois ou deux. Pas mal.

    Donc bizarrement... Plutôt agréablement surpris, en fait.
    On grandit au milieu des rōnins.

  25. #6745
    Citation Envoyé par Molina Voir le message
    J'ai vu Stalker il y a quelques jours.

    Un très beau film, qui a vraiment une ambiance particulière. Par contre, j'ai rien compris.
    Tu n'est pas le seul
    ​Burne yourself !!!

  26. #6746
    Alors, vous l'avez regardé, Le deuxième Souffle ?

    Le film est toujours aussi bon, mais la copie diffusée par Arte m'a déçue, plutôt moyenne. Après, je ne sais pas s'il en existe d'autres...
    J'ai regardé en Replay via mon decodeur TV (Orange), et je ne suis pas arrivé à désactiver les sous-titres, c'était la version pour sourds et malentendants, c'était gonflant.

    Sinon, pour l'anecdote, je n'avais jamais remarque que Orloff/Pierre Zimmer avait été doublé pour ce film (faudra que je cherche pourquoi...), ça fait bizarre de l'entendre s'exprimer avec la voix de Jacques Deschamps, et donc de Clint Eastwood dans les années 70/80.
    Citation Envoyé par Grosnours Voir le message
    Reconnaitre qu'on ne sait pas est un premier pas sur le chemin du savoir...

  27. #6747
    Vu Kong skull island sur Netflix

    Je suis content de pas avoir vu ça au cinéma, gros nanard. Je me sens mal pour ceux qui payent pour voir ça.

    Et mine de rien, je me suis dit "c'est pas si mal" jusqu'à ce Kong apparaisse.

    1) Les SFX sont aux fraise (et quand même moi je dis ça ...). ça ressemble parfois plutôt A Donkey Kong
    2) King kong c'est Néo ou Bruce Lee, il est invincible, méga précis, super intelligent, il se serait mis à voler que ça ne m'aurait pas étonné.
    3) Les ralentis dégueu.
    4) Le scénario, finalement, c'est une horreur, totalement plat. L'antagoniste étant des lézards dégueulasses.
    5) Aucun rinçage d'oeil sur Brie Larson ... Plus sérieusement, il manque tout le délire de Kong qui tombe amoureux de la nana.
    Du coup on se demande ce qu'elle fout là. Faire un King Kong sans l'histoire d'amour, c'est comme faire un Star Wars sans sabre laser.

    6) Vu que Kong ne dévoile jamais de sentiment, on n'en a rien à battre de lui. En fait les survivants du films s'entichent de lui d'un coup sans raison, alors qu'il a décimé 25 de leurs copains.
    Tout le tour de force de nous faire pleurer quand Kong meurt n'existe pas.

    Bref, aucun intérêt, alors que finalement l'idée de base d'avoir ça en pleine guerre du Vietnam au lieu des années 30/40 était vachement intéressante.

    Evidemment on sent que les mecs se sont dit "ouais mais attacher une nana pour l'offrir à un Singe c'est sexiste".
    Mais excusez moi : Est ce que le Kong de Peter Jackson était sexiste ? Non, suffit d'avoir un peu de finesse dans l'écriture.
    Grand maître du lien affilié

  28. #6748
    Citation Envoyé par Manu71 Voir le message
    Alors, vous l'avez regardé, Le deuxième Souffle ?

    Le film est toujours aussi bon, mais la copie diffusée par Arte m'a déçue, plutôt moyenne. Après, je ne sais pas s'il en existe d'autres...
    J'ai regardé en Replay via mon decodeur TV (Orange), et je ne suis pas arrivé à désactiver les sous-titres, c'était la version pour sourds et malentendants, c'était gonflant.
    Je crois qu'il passe assez régulièrement sur Arte, et la dernière fois que ej l'ai vu, la copie n'était effectivement pas au top
    Le jeu vidéo est une chose trop grave pour le laisser aux canards

  29. #6749
    Citation Envoyé par tompalmer Voir le message
    5) Aucun rinçage d'oeil sur Brie Larson ... Plus sérieusement, il manque tout le délire de Kong qui tombe amoureux de la nana.
    Du coup on se demande ce qu'elle fout là. Faire un King Kong sans l'histoire d'amour, c'est comme faire un Star Wars sans sabre laser.

    6) Vu que Kong ne dévoile jamais de sentiment, on n'en a rien à battre de lui. En fait les survivants du films s'entichent de lui d'un coup sans raison, alors qu'il a décimé 25 de leurs copains.
    Tout le tour de force de nous faire pleurer quand Kong meurt n'existe pas.

    Bref, aucun intérêt, alors que finalement l'idée de base d'avoir ça en pleine guerre du Vietnam au lieu des années 30/40 était vachement intéressante.

    Evidemment on sent que les mecs se sont dit "ouais mais attacher une nana pour l'offrir à un Singe c'est sexiste".
    Mais excusez moi : Est ce que le Kong de Peter Jackson était sexiste ? Non, suffit d'avoir un peu de finesse dans l'écriture.
    C'est marrant que tu parles de ça parce que j'ai toujours considéré les King Kong plus comme des films érotiques que des films d'horreurs (même si le premier a fait beaucoup d'effet dans le genre), clairement il y a une forte charge érotique chez Fay Wray (le King Kong de 1933), jeune femme blonde "vierge", très peu vêtue, offerte à un mâle dominant surpuissant, un animal en rûte amateur de chair fraiche...
    Le second de 1976, qui lui est ouvertement sexuel (et qui correspond tellement bien à son époque)avec une Jessica lange faussement ingénue, mais au final très peu farouche.

    Bon je ferais l'impasse sur le film Peter Jackson, qui oscille entre anthropomorphisme et jeu vidéo, la pauvre Naomi Watts qui fait son possible, mais qu'est-elle venue faire dans cette galère...
    Hutchinson

  30. #6750
    je suis d'accord (encore que celui de PJ était pas non plus catastrophique, surtout comparé à celui ci).

    Le truc c'est que King kong n'est pas fondamentalement sexiste parce que le singe tombe amoureux, et il apprend même a respecter la captive.
    C'est un peu ce qu'ils avaient fait avec le Khal Drogo en fait.

    Là dans ce dernier Kong, y'a littéralement rien, le film ne peut pas marcher.

    Du coup je reproche un excès de politiquement correct double :
    - Les sauvages sont présentés comme des bons sauvages (voire même avancés)
    - Pas d'histoire homme/singe

    Du coup ils n'ont pas voulu donner un mauvais rôle aux sauvages, ni voulu laisser Brie Larson se faire capturer.

    A la limite ils auraient pu trouver une autre idée pour isoler Kong et Brie larson, mais de là le film aurait été totalement différent
    Grand maître du lien affilié

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