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  1. #181
    Citation Envoyé par Durack Voir le message
    J'ai fais des bons dans mon fauteuil quand je l'ai vu au ciné il y a des années . Une ode américaine, a la réussite par le travail ! Vous avez une vie de Merde, vous etes pauvres ? Ne vous inquitez pas avec beaucoup de travail jusqu'a épuisement et un bon Jambalaya vous pourrez vous en sortir .
    Ca ma sauter en pleine gueule! En tout cas c'est le souvenir que j'en garde. C'est dommage parce que c'etait bien animé, avec une superbe ambiance créole/vaudou/Louisiane
    Alors justement, ça, c'est ce que pense l'héroïne au début, ça change petit à petit durant le film
    Spoiler Alert!
    le passage avec la vieille sorcière qui demande à l'héroïne ce qu'elle souhaite vraiment, cette dernière lui sort qu'elle veut travailler encore plus dur et la sorcière lui fait bien comprendre qu'elle fait fausse route.
    Citation Envoyé par nAKAZZ Voir le message
    J'en arriverais peut-être à sortir des trucs du genre : "J'ai été vilain" ou "Punis-moi".

  2. #182
    Citation Envoyé par Wulfstan Voir le message
    Je trouve que plus il avance dans sa carrière, pire c'est. Limite j'ai peur du film quasi-amateur, là. J'ai du mal à comprendre sa trajectoire globale.
    Oui, plus le temps passe plus je pense que The Devil's Reject est un heureux coup de bol.

  3. #183
    John wick 3

    De la bagarre. Mais certaines sont un poil trop longues, le film aurait gagné à perdre quelques minutes.
    Ça casse pas des briques sur un canard...

  4. #184
    Mon article sur John Wick 3 a été émis en ligne hier !
    Je vous laisse aller le consulter : http://cpc.cx/oP7

    (Désormais je publie chez Dysopeek et Sens Critique, vous ne verrez ici plus que des liens Dystopeek)

  5. #185
    T'as pensé au coupe-circuit? Avatar de Jeckhyl
    Ville
    Crétin des Alpes
    Citation Envoyé par Couyu Voir le message
    Mon article sur John Wick 3 a été émis en ligne hier !
    Je vous laisse aller le consulter : http://cpc.cx/oP7

    (Désormais je publie chez Dysopeek et Sens Critique, vous ne verrez ici plus que des liens Dystopeek)
    On voudrait plus de critiques comme ça directement dans le forum .

  6. #186
    Citation Envoyé par Couyu Voir le message

    Ne pas oublier The haunted world of Superbeasto !!
    Connais pas, mais je dois avouer ne pas être un fan de Rob Zombie, j'ai trouvé sympathique the house of 1000 corpse qu'il a eu du mal à distribuer, et j'ai bien aimé The devils reject qui sortait des sentiers battus. Mais son Halloween qui esthétiquement se tient, est scénaristiquement très mauvais, et sa suite est encore pire.
    c'est chiant la 3D

  7. #187
    Citation Envoyé par Jeckhyl Voir le message
    On voudrait plus de critiques comme ça directement dans le forum .
    C'est un site de canards, c'est tout comme
    Je peux C/C mais c'est toujours sale...

    Puis niveau valorisation du travail, c'est toujours frustrant de voir le contenu que tu as mis plusieurs heures à produire se faire enfouir sous 40 commentaires lapidaires et condamner à l'oubli par la même occasion.
    Dernière modification par Yves Signal ; 13/06/2019 à 09h29.

  8. #188
    Citation Envoyé par Amnorian Voir le message
    Connais pas, mais je dois avouer ne pas être un fan de Rob Zombie, j'ai trouvé sympathique the house of 1000 corpse qu'il a eu du mal à distribuer, et j'ai bien aimé The devils reject qui sortait des sentiers battus. Mais son Halloween qui esthétiquement se tient, est scénaristiquement très mauvais, et sa suite est encore pire.
    Faudrait qu'il comprenne aussi un jour que sa femme est loin d'être une bonne actrice.
    Citation Envoyé par Grosnours Voir le message
    Reconnaitre qu'on ne sait pas est un premier pas sur le chemin du savoir...

  9. #189
    Bon les coins j'ai deux places de ciné qui expirent le 30 juin je dois aller voir un film sachant que j'ai déjà vu john wick ?

  10. #190
    Parasite ?
    Citation Envoyé par nova Voir le message
    C'est crédible mamie chiffon qui dirige la moitié du monde alors qu'elle doit meme pas savoir ce qu'est twitter.

  11. #191
    Revoir John Wick ?

    Parasite ou le Daim je dirais !

  12. #192

  13. #193
    Citation Envoyé par SuicideSnake Voir le message
    Alors justement, ça, c'est ce que pense l'héroïne au début, ça change petit à petit durant le film
    Spoiler Alert!
    le passage avec la vieille sorcière qui demande à l'héroïne ce qu'elle souhaite vraiment, cette dernière lui sort qu'elle veut travailler encore plus dur et la sorcière lui fait bien comprendre qu'elle fait fausse route.
    Hum possible ! J'ai du passé a coté vu que j'ai retenue l'inverse


    Citation Envoyé par Couyu Voir le message
    C'est un site de canards, c'est tout comme
    Je peux C/C mais c'est toujours sale...

    Puis niveau valorisation du travail, c'est toujours frustrant de voir le contenu que tu as mis plusieurs heures à produire se faire enfouir sous 40 commentaires lapidaires et condamner à l'oubli par la même occasion.
    Y avait pas un canard qui c'etait fait taclé justement parcequ'il renvoyais systématiquement ces critiques sur un lien extérieur ? Moi ca me derange pas personnellement , mais un C/C est peut etre une solution ( avec un lien en plus)


    Citation Envoyé par cailloux Voir le message
    John wick 3
    De la bagarre. Mais certaines sont un poil trop longues, le film aurait gagné à perdre quelques minutes.
    J'ai bien kiffé! Les bastons du début sont impressionnantes. Mais effectivement y en a trop. On a abordé le sujet dans les précédente pages et je pense que toute la partie ce passant a Casablanca est de trop et n'apporte pas grand chose.
    Anál nathrach, orth' bhais's bethad, do chel denmha
    Flickr Steam Flickr2

  14. #194
    Merci pour le retour je note parasite et sinon j'ai vu qu'il y avait un biopic sur Tolkien qui va sortir et qui me tente bien ?

  15. #195
    Citation Envoyé par Durack Voir le message
    Y avait pas un canard qui c'etait fait taclé justement parcequ'il renvoyais systématiquement ces critiques sur un lien extérieur ? Moi ca me derange pas personnellement , mais un C/C est peut etre une solution ( avec un lien en plus)
    On arrêtait pas de lui dire "Une critique à retrouver sur ton blog ?" chaque fois qu'il donnait son avis.
    "Elminster this, Elminster that. Give ME two thousand years and a pointy hat and I'll kick his arse!"

  16. #196
    Citation Envoyé par RegisF Voir le message
    On arrêtait pas de lui dire "Une critique à retrouver sur ton blog ?" chaque fois qu'il donnait son avis.
    Voila c'est ca. Désolé je ne me rappel plus de son pseudo
    Anál nathrach, orth' bhais's bethad, do chel denmha
    Flickr Steam Flickr2

  17. #197
    "alien" quelque chose... Il était sympathique j'trouve.
    Jeux du moment : TEKKEN 8

  18. #198
    Citation Envoyé par Durack Voir le message
    Y avait pas un canard qui c'etait fait taclé justement parcequ'il renvoyais systématiquement ces critiques sur un lien extérieur ? Moi ca me derange pas personnellement , mais un C/C est peut etre une solution ( avec un lien en plus)
    Je ne crois pas que ce soit moi.
    Mettre le contenu à l'arrache c'est ce que j'ai toujours fait sur le forum quand j'étais seul et que je postais seulement sur Sens Critique.
    Là c'est un contenu produit pour un site, donc j'ai un peu plus de réticence.
    Je le mets quand même ci-dessous, sous spoiler :
    Spoiler Alert!

    Après des débuts somme toute assez modestes, il est un fait irréfutable : John Wick, série B sortie presque de nulle part en 2014 est aujourd’hui une franchise bien implantée dans le paysage cinématographique contemporain.

    Ce succès peut s’expliquer assez simplement : alors que le cinéma d’action américain se vautre dans le sur-découpage et la shaky cam, caches-misère du peu d’implication de ses interprètes, John Wick puise ses principales inspirations du cinéma hongkongais. Le parti pris évident est ici de rendre leurs lettres de noblesse aux métiers techniques qui donnaient toute la saveur de ce genre aujourd’hui moribond.

    Et la principale particularité du projet c’est d’être porté par un duo de réalisateurs issus du monde des cascades : Chad Stahelski et David Leitch. Ils ont pour ainsi dire gravi les échelons du plateau de tournage, de simples doublures à coordinateurs des cascades, puis réalisateurs de seconde équipe avant d’embrasser une carrière tardive de réalisateurs grâce à John Wick. Le second se réserva une place de producteur à partir du deuxième volet, histoire de réaliser de son côté Atomic Blonde et Deadpool 2, laissant plus de latitudes à Stahelski.

    L’autre gros atout de la franchise est d’avoir su construire son image de marque sur le seul nom de son interprète principal : Keanu Reeves. En perte de vitesse dans les années 2010, le comédien essayait tant bien que mal de se remettre en selle après le succès colossal de la trilogie Matrix. Mis en difficulté par l’accueil plutôt défavorable de la plupart de ses projets, le salut lui sera offert par son ancienne doublure sur la saga des Wachowski : Stahelski lui-même. Stakhanoviste de l’extrême, l’interprète accepte sans broncher les préparations physiques rigoureuses. Et le résultat à l’écran est impressionnant : dans son costume noir, Reeves n’est plus le good guy qu’il semble être à la ville, il est le croquemitaine. Froid, méthodique, implacable. Peut-être davantage dans ce troisième opus, le plus généreux des trois à mon humble avis.

    Généreux, John Wick Parabellum l’est déjà dans l’approche très cinéphile de Stahelski. À l’instar des films Matrix précédemment cités, dont le long métrage reprend d’ailleurs trois de ses interprètes, le réalisateur se plaît à réaliser sous influences et pratiquer les ruptures de ton. Dans cet univers de film noir, à tendance parfois pulp, Stahelski n’hésite pas à citer directement Buster Keaton dans les premières secondes de l’ouverture, puis de façon plus subtile dans la somme des scénographies burlesques que l’on pourrait tout aussi bien croire empruntées au cinéma de Jackie Chan. Le réalisateur étonne et rend un hommage sincère et appuyé aux idoles de sa cinéphilie. Une culture cinématographique largement imprégnée de films d’arts martiaux, des chefs d’oeuvre des ténors du cinéma hongkongais (John Woo, Ringo Lam et Johnnie To) et même au western avec une parenthèse calquée sur le passage de Tuco chez l’armurier de Le Bon, la Brute et le Truand, inscrivant définitivement la saga dans le cercle fermé du gunporn. Difficile également d’occulter les œillades de plus en plus insistantes lancées en direction de l’excellent diptyque The Raid, dont le film récupère non seulement deux excellents interprètes martiaux, mais également la structure, très vidéo-ludique, pour sa dernière demi-heure.

    Généreux il l’est aussi en terme d’action pure. John Wick 3 est un parangon de surenchère.
    On pensait déjà les deux précédents volets au sommet, mais devant cette suite, difficile de ne pas se retrouver sur le séant. Baba Yaga distribue les petits pains aux laids et les pruneaux sans peur d’être congestionné. Il tue avec ses paluches, un livre, un cheval, des motos, une trentaine d’armes blanches, des flingues en pagaille, des fusils à pompe et des fusils d'assaut, battant vraisemblablement tous les records cumulés des Stallone et autres Schwarzy sur le seul aspect du bodycount. On aimerait bien sortir de là en faisant des vannes à la Chuck Norris, mais il est bon de se remémorer que Keanu est en fait aussi adorable et mortel qu’un des toutous de Sofia. Pour donner corps à ces boucheries extrêmement stylisées, Stahelski se repose sur une équipe d’artistes martiaux, de cascadeurs, accessoiristes, maquilleurs et VFX artists qui ne manquent clairement pas de talent. Rarement les coups n’ont fait aussi mal, rarement le pouvoir d’arrêt des armes n’aura été aussi bien mis à l’honneur et rarement les impacts de balles n’auront été aussi percutants. Mention spéciale pour le nouveau fusil à pompe, qui réconciliera les déçus du Benelli du second chapitre. Spectacle hallucinant d’hémoglobine, sons et lumières, je n’ai remis ma mâchoire en place que pour mieux la perdre de nouveau à l’occasion d’une cascade complètement fumée quelques secondes plus tard.

    La performance physique est ici primordiale et diablement bien mise en valeur par la réalisation et la composition de chaque plan. Certes, on croit déceler au bout de trois films certains archétypes de réalisation dans les bastons devenues classiques pour la licence, mais c’est ici davantage un jeu de fondations employé pour bâtir d’autres projets plus ambitieux. Outre les participations animales et les contingences inévitables qui en découlent sur le set, le film délivre de grands moments de réalisation. Les travelings sont impeccables, la lecture de l'action toujours aisée, et les partis pris sont toujours pertinents, parfois impressionnants, mais jamais putassiers. J’ai passé les trois quarts du film à me demander comment certains images pouvaient être réalisés tant le timing des cascadeurs, la casse des décors et les chorégraphies étaient parfaitement cadrés. Je peux difficilement de me retenir de vous évoquer brièvement la longue séquence de combat en mode team-up, un des plus beaux morceaux de cinéma qu’ait offert la licence à ce jour. Tout y est parfait. La caméra va et vient d’un personnage à l’autre, d’un combat à l’autre, gardant dans le cadre quasi systématiquement une composition riche, laissant toujours entrevoir la venue de nouveaux assaillants, un chien ou le second protagoniste lutter dans l’arrière-plan. Et je ne parle même pas du montage exceptionnel qui laisse aux séquences le temps d’appuyer leurs effets, soutenant constamment le rythme l’action sans pour autant trahir le moindre artifice technique ou la lisibilité de la scène. À l’heure où l’on confond dynamisme et montage ultra-cut, c’est un plaisir de voir des cinéastes comme McQuarrie et Stahelski promouvoir une forme de cinéma d'action américain presque à contre-courant.

    Côté photographie, l’augmentation du budget depuis le premier film permet, à l’instar du second volet, de se séparer momentanément du New Jersey et de New York, laissant le chef opérateur se faire plaisir avec des palettes de couleurs saturées d’ocre, forcément beaucoup plus chaudes, avant de rentrer au bercail pour un dernier acte beaucoup plus froid, quasi-macabre. La grande pomme, surtout sous un déluge constant, demeure à bien des égards un théâtre splendide, comme Scorsese ou plus récemment Lynne Ramsay ont su la glorifier dans leur exercice du septième art. Les intérieurs ne déméritent pas non plus, qu’il s’agisse de la bibliothèque ou des infrastructures séculaires. L’Hôtel Continental restera toujours en tête de cortège, avec son atmosphère hors du temps, presque désuète, et le grand luxe feutré qui le caractérise. Le film sera l’occasion de le redécouvrir sous d’autres atours, tout autant à son avantage, avant d’y plonger plus durablement dans un projet de série éponyme, qui n’en finit plus de ne pas sortir.

    Côté casting on retrouve bien entendu un Keanu Reeves en très grande forme, toujours parfait tant dans son jeu minimal que dans ses performances martiales. Il faut bien se dire qu’aujourd’hui à Hollywood, il n’existe que deux acteurs de cette trempe, Tom Cruise et Keanu lui-même. Deux grands malades cinquantenaires qui persistent, à l’image d’un Jackie Chan, dans des rôles extrêmement physiques et semblent prendre un pied incroyable dans ce genre de films. Associés aux bons cinéastes, ce plaisir ne peut être que communicatif.

    Dans la continuité de la saga, on retrouve bien évidemment Ian McShane, qui ne semble avoir conservé qu’une seule et unique façon de jouer où qu’il passe, et Lawrence Fishburne campant toujours les mêmes rôles. En définitive, les bonnes surprises émanent de deux petits nouveaux.
    La première, c’est Hale Berry qui incarne Sofia, la maîtresse d’hôtel redoutablement affûtée qui sera un temps la partenaire du personnage principal. Armée d’un caractère bien trempé, elle livre une prestation qui n’est pas sans rappeler celle de Charlize Theron devant la caméra de Leitch récemment. À l’écran, elle exécute un ballet létal, secondée par ses mortels cerbères, aussi mignons que féroces, nourris à la gonade fraîchement arrachée.
    Le second interprète que j’ai eu beaucoup de plaisir à retrouver c’est Mark Dacascos qui s’éclate dans son rôle de maître ninja bi-classé fan de Wick et amateur de chats. Un antagoniste aussi redoutable que drolatique, bien loin des sempiternelles caractérisations unilatérales qu’il est facile d’apposer à ce genre de personnages. Petit clin d’oeil “amusant”, Chad Stahelski a débuté sa carrière en tant que doublure post-mortem de Brandon Lee dans The Crow d’Alex Proyas, quatre ans avant que Dacascos ne reprenne ce rôle pour la série télévisuelle.
    On notera également quelques têtes bien connues dans les seconds rôles, entre autres Jerome Flynn dont on a pu déplorer l’absence dans la dernière saison de Game of Thrones et Jason Mantzoukas, à peu près aussi barge que dans l’excellente série Brooklyn Nine-Nine.

    Mais John Wick 3 est également l’occasion pour Derek Kolstad d’étoffer une fois de plus le background assez unique de la saga, s’aventurant dans les plus hautes sphères de la table, plongeant un peu plus dans les rouages de cette étrange société et dévoilant au passage quelques bribes du passé du personnage principal. Rien qui ne soit franchement capital, mais cette façon de distiller au compte goutte les éléments de la diégèse pour favoriser la narration environnementale est plutôt réussie. On pourra en revanche déplorer une complexité superfétatoire de la trame narrative de ce troisième chapitre et son utilisation en tant que simple set up, comme le laissait entendre, ô surprise, son titre.

    La question de savoir s’il faut aller voir John Wick Parabellum est triviale. Si vous avez apprécié les films précédents, ce me semble être un incontournable.
    En revanche, si vous n’êtes pas dans ce cas de figure , vous n’êtes toujours pas le public cible.
    Le film n’est qu’un perfectionnement de la formule que vous connaissez d’ores et déjà. Mais à mes yeux, si vous partagez ma passion pour le cinéma d’action, ce troisième volet est l’un des tous meilleurs films du genre de ces dix dernières années.
    C’est dit.


    @Kaelis : bebealien ?

  19. #199
    Vu MIB : Internationnal
    Le scénario anecdotique est cousu de fil blanc, très peu de surprise, certains effets spéciaux (surtout vers la fin) sont ratés, je l'ai vu en 3D ce qui ne sert à rien mais dessert le film car la 3D est raté.
    Voila ca c'était les rares défaut du film, derrière j'ai passé un très bon moment en ne voyant pas le temps passé, les deux acteurs sont très bons et jouent pleinement leurs rôle, l'histoire se suit agréablement.
    Si le film à du succès, je serais ravis d'aller voir la suite.
    c'est chiant la 3D

  20. #200
    Citation Envoyé par Couyu Voir le message
    Je ne crois pas que ce soit moi.


    @Kaelis : bebealien ?

    Oui.
    Anál nathrach, orth' bhais's bethad, do chel denmha
    Flickr Steam Flickr2

  21. #201

  22. #202
    Je viens d'apprendre qu'un long métrage d'animation tiré des annales du disque monde est en préparation
    Article ici.
    Emission de radio Friday Rocks sur Radio Sud Manche : ici
    Ma page de memes : AutisteReddingPhotoshops

  23. #203

  24. #204
    Citation Envoyé par Couyu Voir le message
    Mon article sur John Wick 3 a été émis en ligne hier !
    Je vous laisse aller le consulter : http://cpc.cx/oP7

    (Désormais je publie chez Dysopeek et Sens Critique, vous ne verrez ici plus que des liens Dystopeek)
    En tout cas c'etait chouette a lire
    Anál nathrach, orth' bhais's bethad, do chel denmha
    Flickr Steam Flickr2

  25. #205
    Ca spoile ou pas ? Juste pour savoir
    Envoyé depuis mon Motorola StarTac et Netscape Mail 5.23

  26. #206
    Citation Envoyé par Durack Voir le message
    En tout cas c'etait chouette a lire
    Merci
    Citation Envoyé par theclaw Voir le message
    Ca spoile ou pas ? Juste pour savoir
    Oui un peu.
    Je parle de son "arsenal", d'une scène que tu vois brièvement dans la BA, très vite fait de l'écriture du méchant, et je crois que c'est tout.
    Si tu veux vraiment garder la surprise, regarde le film avant, même si je n'insiste pas ça peut te gâcher la découverte.

  27. #207
    Okidoki
    Envoyé depuis mon Motorola StarTac et Netscape Mail 5.23

  28. #208
    Citation Envoyé par Couyu Voir le message
    Mon article sur John Wick 3 a été émis en ligne hier !
    Je vous laisse aller le consulter : http://cpc.cx/oP7

    (Désormais je publie chez Dysopeek et Sens Critique, vous ne verrez ici plus que des liens Dystopeek)
    Diégèse spoted !!

    Sinon, très bon papier !

  29. #209
    J'ai cru comprendre que ça pouvait être clivant de parler de diégèse, non ?
    Citation Envoyé par nova Voir le message
    C'est crédible mamie chiffon qui dirige la moitié du monde alors qu'elle doit meme pas savoir ce qu'est twitter.

  30. #210

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