Le topic des USA et du Président qui aurait dû être médecin

[Lupuss]

Je pense que c'est pas encore passé ici, alors je vous montre une vidéo assez lolesque:

https://youtu.be/ICW-dGD1M18

[lPyl]

Subtil le placement de Chevrolet. Subtil.

[AttilaLeHein]

Moi ce que je me demande surtout c'est comment la meuf blonde arrivait à passer inaperçu au milieu de la société iranienne ou nord-coréenne.

[Praetor]

Moi ce que je me demande surtout c'est comment la meuf blonde arrivait à passer inaperçu au milieu de la société iranienne ou nord-coréenne.

Elle était probablement attachée culturelle ou autre truc bidon à l'ambassade

[Herman Speed]

Des arguments super puissants ,un clip MTV ! Je vote pour ELLE ! J'achète !

C'est une parodie, d'une parodie. Ha, non !



J'ai un concept pour un candidat du GOP :



Stoppons ensembles les Wookies clandestins qui violent nos droïdes ! MEGA !(*)

Make the Empire Great Again !

[Pinkipou]

La traduction presque intégrale en français du signalement du lanceur d'alerte, pour ceux qui sont moins à l'aise dans la langue de Donald.

Spoiler Alert!

« Dans l’exercice de mes fonctions, j’ai reçu des informations de plusieurs représentants du gouvernement des États-Unis selon lesquelles le président des États-Unis a fait usage de son pouvoir pour solliciter l’ingérence d'un pays étranger dans le cours des élections de 2020 aux États-Unis. Cette ingérence consiste notamment à faire pression sur un pays étranger pour qu’il enquête sur l’un des principaux rivaux politiques du président. L’avocat personnel du président, M. Rudolph Giuliani, est une figure centrale de cette initiative. Le procureur général Barr semble également impliqué.

Au cours des quatre derniers mois, plus d’une demi-douzaine de responsables américains m’ont informé de divers faits liés à cette initiative. Les informations fournies dans le présent document m’ont été transmises dans le cadre d’activités officielles entre différentes institutions. Il est courant pour les responsables américains responsables d’un secteur particulier, qu’il soit régional ou thématique, d’échanger de telles informations afin de nourrir l’élaboration des politique et les analyses.

Je n’ai pas été témoin direct de la plupart des événements décrits. Cependant, j’ai trouvé que les récits de mes collègues sur ces événements étaient crédibles, car, dans la plupart des cas, de nombreux responsables ont fait part de faisceaux de faits cohérents entre eux. En outre, toute une série d’informations conformes à ces récits privés ont été rapportées publiquement.

Je suis très préoccupé par le fait que les actions décrites ci-dessous constituent “un problème grave ou flagrant, un abus ou une violation de la loi ou d’un décret” qui “n’inclut pas de divergences d’opinions concernant des questions d'intérêt public”, conformément à la définition de “préoccupation urgente” incluse dans le 50 USC § 3033 (k) (5) (G) [Article de la loi sur les lanceurs d’alerte du renseignement – ndlr]. Je m’acquitte donc de mon devoir de communiquer ces informations aux autorités compétentes par les voies légales.

Je suis également préoccupé par le fait que ces actions constituent un risque pour la sécurité nationale des États-Unis et sapent les efforts du gouvernement américain pour dissuader et contrer les ingérences étrangères dans les élections américaines.

[…]

I. L’appel présidentiel du 25 juillet


© Infographie Mediapart
© Infographie Mediapart
Tôt dans la matinée du 25 juillet, le président s’est entretenu par téléphone avec le président ukrainien Volodymyr Zelenski. Je ne sais pas qui a initié l’appel. Il s’agissait du premier appel reconnu publiquement entre les deux dirigeants depuis un bref appel de félicitations à la suite de la victoire de M. Zelenski à la présidentielle le 21 avril.
Plusieurs responsables de la Maison Blanche, qui ont eu connaissance directe de l’appel, m’ont informé que, après un premier échange de plaisanteries, le président avait passé le reste du temps à défendre ses intérêts personnels. C’est-à-dire qu’il a cherché à faire pression sur le dirigeant ukrainien pour que ce dernier agisse afin de l’aider dans sa tentative de réélection en 2020. Selon les responsables de la Maison Blanche qui étaient au courant de l’appel, le président a fait pression sur M. Zelenski pour qu’il, entre autres :

– lance ou poursuive l’enquête sur les activités de l’ancien vice-président Joseph Biden et de son fils, Hunter Biden ;

– l’aide à prétendument dévoiler que les accusations sur l’ingérence russe dans les élections américaines de 2016 ont leur origine en Ukraine, avec une demande spécifique que le dirigeant ukrainien localise et remette les serveurs utilisés par le Comité national démocrate et examinés par l’entreprise de cybersécurité CrowdStrike, qui avait initialement indiqué que des pirates informatiques russes avaient pénétré dans les réseaux de la DNC en 2016 ;

– rencontre ou parle avec deux personnes que le président a nommées explicitement comme ses émissaires sur ces sujets, M. Giuliani et le procureur général Barr, auxquels le président a fait référence à plusieurs reprises.

Le président a également fait l’éloge du procureur général ukrainien, M. Iouri Loutsenko, et a suggéré que M. Zelenski puisse le maintenir à son poste. (Note : à partir de mars 2019, M. Loutsenko a fait une série de déclarations publiques – sur nombre d’entre elles il s’est rétracté par la suite – au sujet des activités de la famille Biden en Ukraine, la prétendue implication de responsables ukrainiens dans l’élection américaine de 2016 et les activités de l’ambassade américaine à Kiev. Voir la partie IV pour plus de précisions.)

Les responsables de la Maison Blanche qui m’ont fait part de cette information ont été profondément troublés par ce que laissait deviner l’appel téléphonique. Ils m’ont dit qu’il y avait une « discussion en cours » avec des avocats de la Maison Blanche sur la manière de traiter l’appel, car il était probable qu’ils aient été témoins de l’abus commis par le président pour son bénéfice personnel.

La partie ukrainienne a été la première à reconnaître publiquement l’appel téléphonique. Dans la soirée du 25 juillet, un communiqué a été publié sur le site du président ukrainien contenant la phrase suivante (traduction à partir de l’original en russe) :

– “Donald Trump a exprimé sa conviction que le nouveau gouvernement ukrainien sera capable d’améliorer rapidement l’image de l’Ukraine et d’achever l’enquête sur des cas de corruption qui ont entravé la coopération entre l’Ukraine et les États-Unis.”

À part les “cas” mentionnés ci-dessus qui concerneraient prétendument la famille Biden et les élections américaines de 2016, des responsables de la Maison Blanche m’ont informé qu’aucun autre “cas” n’avait été discuté.

D’après ce que j’ai compris, environ une douzaine de fonctionnaires de la Maison Blanche ont écouté l’appel – un mélange de responsables et d’officiers en service se trouvant dans la “salle de crise” de la Maison Blanche, comme c’est l’usage. Les responsables à qui j’ai parlé m’ont dit que la présence à ce coup de téléphone n’avait pas été restreinte à l’avance, car tout le monde s’attendait à ce que ce soit un appel “de routine” avec un dirigeant étranger. Je ne sais pas si quelqu’un était physiquement présent avec le président pendant l’appel.

– En plus du personnel de la Maison Blanche, on m’a dit qu’un responsable du département d’État, M. Ulrich Brechbuhl, a également écouté l’appel.

– Je n’étais pas le seul responsable hors Maison Blanche à avoir reçu un compte-rendu de l’appel. D’après ce que j’ai compris, plusieurs fonctionnaires du département d’État et de la communauté du renseignement ont également été informés du contenu de l’appel comme décrit précédemment.


II. Tentatives visant à restreindre l’accès aux enregistrements liés à l’appel

Dans les jours qui ont suivi l’appel téléphonique, de nombreux hauts responsables américains m’ont appris que de hauts responsables expérimentés de la Maison Blanche étaient intervenus pour « verrouiller » tous les enregistrements de l’appel téléphonique, en particulier la transcription officielle mot à mot de l’appel qui avait été faite – comme il est de coutume – par la “salle de crise” de la Maison Blanche. Ces agissements m’ont fait comprendre que les hauts responsables de la Maison Blanche avaient compris la gravité de ce qu’il s’était passé au cours de l’appel.

Les hauts responsables de la Maison Blanche m’ont dit qu’ils avaient “reçu l’ordre” de la part des avocats de la Maison Blanche de retirer la transcription numérique du système informatique dans lequel ces transcriptions étaient généralement stockées à fin de coordination, finalisation et distribution parmi les membres du cabinet.

Au lieu de cela, la transcription a été mise sur un système informatique distinct, qui est par ailleurs utilisé pour stocker et traiter des informations classifiées de nature particulièrement sensible. Un haut responsable de la Maison Blanche a estimé que cet acte constituait une utilisation abusive de ce système informatique, car l’appel ne contenait aucun élément sensible du point de vue de la sécurité nationale.

Je ne sais pas si des mesures similaires ont été prises pour restreindre l’accès à d’autres comptes-rendus de l’appel, tels que les notes manuscrites prises au même moment par ceux qui écoutaient.

III. Préoccupations actuelles

Le 26 juillet, au lendemain de l’appel, le représentant spécial américain pour les négociations sur l’Ukraine, Kurt Volker, s’est rendu à Kiev et a rencontré le président Zelenski et diverses personnalités politiques ukrainiennes. L’ambassadeur Volker était accompagné lors de ces réunions par l’ambassadeur des États-Unis auprès de l’Union européenne, Gordon Sondland.

Selon plusieurs comptes-rendus de ces réunions rapportés par divers responsables américains, les ambassadeurs Volker et Sondland auraient conseillé les dirigeants ukrainiens sur la manière de s’y “retrouver” parmi les demandes adressées par le président à M. Zelenski.

J’ai également appris par l’entremise de plusieurs responsables américains que, vers le 2 août, M. Giuliani se serait rendu à Madrid pour rencontrer un des conseillers du président Zelensky, Andrei Yermak. Les responsables américains ont qualifié cette réunion, qui n’avait pas été rendue publique à l’époque, de “prolongement direct” de la conversation téléphonique entre le président et M. Zelenski concernant les “affaires” qu’ils avaient évoquées.

Par ailleurs, de nombreux responsables américains m’ont dit que M. Giuliani aurait établi des contacts privés avec différents conseillers de Zelenski, notamment le chef d’état-major Andrei Bohdan et le président par intérim des services de sécurité ukrainien Ivan Bakanov.

Je ne sais pas si ces responsables ont rencontré ou ont parlé à M. Giuliani, mais plusieurs responsables américains m’ont dit que M. Yermak et M. Bakanov avaient l’intention de se rendre à Washington à la mi-août.

Le 9 août, le président a déclaré aux journalistes : “Je pense que le président Zelenski va conclure un accord avec le président Poutine. Il sera invité à la Maison Blanche. Nous sommes impatients de le voir. Il a déjà été invité à la Maison Blanche et il veut venir. Et je pense qu’il le fera. C’est un homme très raisonnable. Il veut voir la paix en Ukraine et je pense qu’il va venir très bientôt en fait.”

IV. Circonstances précédant l’appel téléphonique présidentiel du 25 juillet

À partir de la fin mars 2019, une série d’articles a été publiée dans le journal en ligne The Hill. Dans ces articles, plusieurs hauts responsables ukrainiens – notamment le procureur général Youri Loutsenko – ont formulé une série d’accusations contre d’autres responsables ukrainiens et d’actuels et anciens responsables américains. M. Loutsenko et ses collègues ont notamment déclaré :

– qu’ils possédaient des preuves que de hauts responsables ukrainiens – à savoir le chef du Bureau national de lutte contre la corruption en Ukraine, Artem Sytnyk, et le député Serhiy Leshchenko – s’étaient “ingérés” dans l'élection présidentielle américaine de 2016, apparemment en collaboration avec le Comité national démocrate et l’ambassade américaine à Kiev.

– que l’ambassade des États-Unis à Kiev – en particulier l’ambassadrice des États-Unis Marie Yovanovitch, qui avait critiqué M. Loutsenko pour son bilan médiocre en matière de lutte contre la corruption – avait fait entrave à la la justice ukrainienne dans certaines affaires de corruption, notamment en fournissant une liste d’individus à “ne pas poursuivre en justice”, et avait empêché les procureurs ukrainiens de se rendre aux États-Unis afin de présenter leurs “éléments de preuve” concernant les élections américaines de 2016.

– que l’ancien vice-président Biden avait exercé des pressions sur l’ex-président ukrainien Petro Porochenko en 2016 pour qu’il limoge le procureur général ukrainien Viktor Shokin, ceci afin d’annuler une enquête criminelle sur Burisma Holdings, une entreprise d’énergie ukrainienne au conseil d’administration de laquelle était présent le fils de l’ancien vice-président, Hunter Biden.

Dans plusieurs déclarations publiques, M. Loutsenko a également déclaré qu’il souhaitait échanger directement avec le procureur général Barr à ce sujet.

Les accusations de M. Lutsenko ont été prononcées à la veille du premier tour de l’élection présidentielle ukrainienne, le 31 mars. À ce moment-là, le président Porochenko, parrain politique de M. Loutsenko, talonnait M. Zelenski dans les sondages et semblait susceptible d’être vaincu. M. Zelenski avait fait savoir qu’il souhaitait le remplacement de M. Loutsenko au poste de procureur général. Le 21 avril, M. Zelenski a battu largement M. Porochenko.

– Il a également été révélé que M. Giuliani avait rencontré M. Loutsenko à au moins deux reprises : une fois à New York fin janvier et une autre fois à Varsovie à la mi-février. En outre, il a été rapporté que M. Giuliani avait parlé fin 2018 avec l’ancien procureur général Shokin dans le cadre d’une conversation Skype organisée par deux associés de M. Giuliani.

– Le 25 avril, dans un entretien accordé à Fox News, le président Trump a qualifié les déclarations de M. Loutsenko d’“énormes” et d’“incroyables” et a déclaré que le procureur général “voudrait voir cela”.

Vers le 29 avril, de hauts responsables américains, directement informés de la situation, m’ont appris que l’ambassadrice Yovanovitch avait été soudainement rappelée à Washington par des hauts fonctionnaires expérimentés du département d’État pour “consultations”, et qu’elle serait très probablement démise de ses fonctions.

– À peu près au même moment, un responsable américain m’a également appris que des “associés” de M. Giuliani essayaient de prendre contact avec la nouvelle équipe de Zelenski.

– Le 6 mai, le département d’État a annoncé que l’ambassadrice Yovanovitch mettrait fin à sa mission à Kiev “comme prévu”.

– Cependant, plusieurs hauts responsables américains m’ont dit qu’en fait sa mission avait été interrompue à cause des pressions découlant des accusations de M. Loutsenko. M. Giuliani a par la suite déclaré dans une interview avec un journaliste ukrainien publiée le 14 mai que l’ambassadrice Yovanovitch avait été “limogée… parce qu’elle était partie prenante des agissements contre le président”.


Le 9 mai, le New York Times a annoncé que M. Giuliani prévoyait de se rendre en Ukraine afin de faire pression sur le gouvernement ukrainien pour qu’il poursuive des enquêtes qui pourraient aider le président dans sa candidature à la réélection en 2020.

– Dans la multitude de ses déclarations publiques qui ont précédé et suivi la publication de cet article, M. Giuliani a confirmé qu’il souhaitait avant tout encourager les autorités ukrainiennes à ouvrir une enquête sur les accusations d’ingérence de l’Ukraine dans les élections américaines de 2016 et d’actes répréhensibles présumés de la part de la famille Biden.

– Dans l’après-midi du 10 mai, le président Trump a déclaré dans un entretien avec Politico qu’il envisageait de s’entretenir avec M. Giuliani sur son voyage.

– Quelques heures plus tard, M. Giuliani a annoncé qu’il annulait son voyage, affirmant que M. Zelenski était “entouré d’ennemis du président [américain]… et des États-Unis”.

Le 11 mai, M. Loutsenko a rencontré le nouveau président Zelenski pendant deux heures, selon un témoignage rendu public plusieurs jours plus tard par M. Loutsenko. M. Loutsenko a déclaré qu’il avait dit à M. Zelensky qu’il souhaitait rester à son poste de procureur général.

À partir de la mi-mai, de nombreux hauts responsables américains ont été profondément préoccupés par ce qu’ils considéraient comme le détournement par M. Giuliani des procédures de prise de décision en matière de sécurité nationale, afin de dialoguer avec les responsables ukrainiens et de relayer les messages entre Kiev et le président Trump. Ces hauts responsables m’ont également dit :

– que des responsables du département d’État, notamment les ambassadeurs Volker et Sondland, avaient parlé à M. Giuliani dans le but de “limiter les dégâts” causés à la sécurité nationale des États-Unis.

– que les ambassadeurs Volker et Sondland, au cours de cette période, ont rencontré des membres de la nouvelle administration ukrainienne et, en plus de discuter de questions de politique générale, ont également cherché à aider les dirigeants ukrainiens à comprendre les messages divergents qu’ils recevaient des canaux américains officiels d’un côté, et de M. Giuliani de l’autre, et à y répondre.

Au cours de la même période, de nombreux hauts responsables américains m’ont dit que les dirigeants ukrainiens avaient été amenés à croire qu’une réunion ou un appel téléphonique entre le président et le président Zelenski dépendraient de la volonté de Zelenski de “jouer le jeu” sur les questions qui avaient été exposées publiquement par Loutsenko et Giuliani.

Peu après l’investiture du président Zelenski, M. Giuliani aurait rencontré deux autres responsables ukrainiens : le procureur spécial ukrainien chargé de la lutte contre la corruption, M. Nazar Kholodnytskyy, et un ancien diplomate ukrainien, Andrei Telizhenko. Kholodnytskyy et Telizhenko sont tous deux des alliés de M. Loutsenko et ont formulé des accusations similaires dans la série d’articles de The Hill sus-mentionnée.

Le 13 juin, le président a déclaré à George Stephanopoulos de la chaîne ABC qu’il accepterait des informations préjudiciables sur ses rivaux politiques provenant d’un gouvernement étranger.

Le 21 juin, M. Giuliani a tweeté : “Le nouveau président ukrainien reste silencieux sur l’enquête relative à l’ingérence ukrainienne en 2016 et à la corruption présumée par Biden de Porochenko. Il est temps de diriger et d’enquêter sur les deux si vous voulez découvrir comment l’Ukraine a été maltraitée par Hillary Clinton et son entourage.”

À la mi-juillet, j’ai appris un changement soudain de politique concernant l’aide américaine à l’Ukraine. »

[dralasite]

OK, on a un beau chassé-croisé:

- Trump demande de l'aide à la NRA:

President Trump met on Friday with Wayne LaPierre, the chief executive of the National Rifle Association, to discuss how the N.R.A. could provide financial support for the president’s defense as he faces political headwinds, including impeachment, according to two people familiar with the meeting.

It was not clear whether Mr. Trump asked Mr. LaPierre for his support, or if the idea was pitched by the N.R.A. But in return for the support, Mr. LaPierre asked that the White House “stop the games” over gun control legislation, people familiar with the meeting said.

- un rapport révèle que la NRA sont des agents russes depuis 2015

Wyden and other Democrats on the Senate finance committee found that a delegation of NRA officials traveled to Moscow in December 2015.

The trip was coordinated with Maria Butina and Alexander Torshin, who are both Russian. Butina is currently serving an 18-month prison sentence after she tried to infiltrate US conservative groups and the NRA to promote Russian political interests around the 2016 election.

While in Russia the NRA met with “a host of senior level Kremlin officials”, Wyden said. Those officials included Russia’s foreign minister, Sergei Lavrov, and the deputy prime minister, Dmitry Rogozin, who oversaw defense and munitions industries.

Trump a des ennuis et il se tourne vers un groupe connu pour travailler pour les russes... et qui demandent au passage que Trump laisse tomber le contrôle des armes à feu en échange... (un quid pro quo, encore?)

Pendant ce temps dans l'entourage de Trump:

Rudolph W. Giuliani, whose actions as President Trump’s personal lawyer have helped set in motion an impeachment inquiry, is set to appear as a paid speaker at a Kremlin-backed conference in Armenia on Tuesday — an event expected to include the participation of Russian President Vladi-mir Putin and other top Russian officials.

[KOUB]

Ils cachent les cadavres sous les tapis, c'est pas discret du tout :

https://www.nytimes.com/2019/09/27/u...aine-call.html

The White House put some reconstructed transcripts of delicate calls between President Trump and foreign officials, including President Vladimir V. Putin and the Saudi royal family, into a highly classified computer system after embarrassing leaks of his conversations, according to current and former officials.

[dralasite]

Ils cachent les cadavres sous les tapis, c'est pas discret du tout :

https://www.nytimes.com/2019/09/27/u...aine-call.html

C'était couru qu'il y aurai d'autres linges sales sur ce serveur.

[Enyss]

" - But her emails"

[Strife]

Une pub de recrutement placée au bon endroit :

[dralasite]

Dans la série "The best people":

A soldier in the U.S. Army who was responsible for White House communications at Donald Trump's Mar-a-Lago resort in Florida was sentenced to three years probation Friday for lying to federal agents about uploading child pornography to a Russian website.

Staff Sgt. Richard Ciccarella, who was overall responsible for the Trump administration's communications services at the private club in Palm Beach, apologized to U.S. District Judge Donald Middlebrooks for posting photos of a young girl, wearing only her underwear, to a Russian site

Blâmer les plus démunis, le sport favori du Donald:

The Trump administration tried to pin California’s water woes on the homeless, but water quality experts say there is little connection between homeless camps and water pollution.

In the latest move in the political battle between President Trump and the nation’s largest blue state, the Environmental Protection Agency (EPA) sent a letter to Gov. Gavin Newsom (D) criticizing California for "failing to meet its obligations” on sewage and water pollution, blaming homelessness for the contamination.

Oui, le véritable problème de pollution c'est les SDF qui pissent dans les rues, pas les usines à charbon...

[KOUB]

Oui, le véritable problème de pollution c'est les SDF qui pissent dans les rues, pas les usines à charbon...

Nan mais son oncle était ingénieur en nucléaire. Il est donc très intelligent !

Sinon, tout le monde balance apparemment :

https://www.liberation.fr/direct/ele...n-post_103223/

Donald Trump a déclaré au ministre russe des Affaires étrangères et à l'ambassadeur russe que l'ingérence de la Russie dans l'élection présidentielle de 2016 ne l'inquiétait nullement, a affirmé le Washington Post. Ces déclarations auraient été faites lors d'une rencontre, en mai 2017 à la Maison Blanche, au cours de laquelle il leur avait également révélé des informations confidentielles sur le groupe Etat islamique.

Il aurait expliqué à Sergueï Lavrov et à l'ambassadeur que l'ingérence russe ne le dérangeait pas car les Etats-Unis en faisaient autant dans d'autres pays, selon le journal qui cite, sous couvert d'anonymat, trois anciens hauts responsables.

[AttilaLeHein]

Quand rien ne va plus pour l'administration Trump, rien ne vaut de revenir aux fondamentaux : "But her emails!"

As many as 130 officials have been contacted in recent weeks by State Department investigators — a list that includes senior officials who reported directly to Clinton as well as others in lower-level jobs whose emails were at some point relayed to her inbox, said current and former State Department officials. Those targeted were notified that emails they sent years ago have been retroactively classified and now constitute potential security violations, according to letters reviewed by The Washington Post.
In virtually all of the cases, potentially sensitive information, now recategorized as “classified,” was sent to Clinton’s unsecure inbox.
...
There is no indication in any of the materials reviewed by The Post that the emails under scrutiny contained sensitive information about classified U.S. initiatives or programs.

Les cons ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît.

[dralasite]

Quand rien ne va plus pour l'administration, rien ne vaut de revenir aux fondamentaux : "But her emails!"

Les cons ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît.

C'est une putain de blague? Il ne va pas remettre le couvert avec "lock her up" alors qu'Hillary a jeté l'éponge et n'est même plus politiquement active?

Il est connu pour être rancunier mais ça devient complètement débile!

[Melcirion]

Et puis elle n’est pas présidente alors que lui oui...enfin vu que le gop supporte il aurait tord de s’en priver

[jilbi]

bof, si ça rallie la base et la rend aveugle à l'impeachment, il aurait tord de se priver
toujours team #trump2020, au fait. Je suis sceptique sur le fait que la procedure d'impeachment donnera des resultats

[KOUB]

Comment foutre la merde ? Faciiiiiiiiiiiile ! :

https://www.nytimes.com/2019/09/27/w...sia-calls.html

Amid the uproar over President Trump’s call to the leader of Ukraine, the Kremlin said on Friday that it hoped the contents of Mr. Trump’s phone conversations with President Vladimir V. Putin of Russia would not be made public — a disclosure that would likely generate far more attention.

[Darkath]

Comment foutre la merde ? Faciiiiiiiiiiiile ! :

https://www.nytimes.com/2019/09/27/w...sia-calls.html

Des génies.

[TheProjectHate]

Personne n'arrive à la cheville de Tonton Poupou pour ce qui est de faire le maximum de dégâts avec le minimum d'efforts.

[Herman Speed]

Le petit Complotiste illusté ; Présente du Rififi en Italie

Des rumeurs annoncent un rendez-vous au sommet passé en Italie.

TECHNIQUE DE DISTRACTION ET REUNION WTF.



Pas de news officielle retrouvée. ATTENTION

For those who where wondering why Pompeo, Barr , Ivanka & Jared are i. ITALY.
I give you this from a major Italian newspaper.
Translation says:
Trumpa best man's are in Italy investigating "spygate"

Involving Italy now in Trumps dirty deeds.

Google Trad est votre Ami :

source italienne :

https://it.insideover.com/politica/l...o-spygate.html

LE SCENARIO DE COUVERTURE : TRUMP VICTIME D'UN COUP

Un "complot" contre Trump?
Récemment, le journaliste d'investigation John Solomon a publié un article dans The Hill citant dix documents classifiés que le président américain pourrait bientôt révéler et qui pourraient provoquer un séisme politique à Washington, confirmant ainsi la thèse du complot contre le magnat de la Maison Blanche à travaux des démocrates, du FBI, du ministère de la Justice et des services secrets occidentaux, italiens et anglais en tête. Parmi les dix documents classifiés cités par le journaliste The Hill il y en a un, le plus intéressant, qui concerne précisément notre pays et le rôle joué par les gouvernements Renzi et Gentiloni dans le possible complot contre Donald Trump: ce sont les documents qui prouveraient que les alliés des États-Unis en 2016 auraient contribué aux efforts du Le FBI doit prouver les liens présumés de Trump avec la Russie.

En particulier, nous parlons des services de la Grande-Bretagne, de l’Australie et de l’ Italie . Un cas de contre-espionnage contre des citoyens américains qui, s'il était confirmé, aurait des conséquences très graves. "Mes sources - écrit Solomon - disent que ces documents pourraient aider à expliquer les déclarations récentes du procureur général William Barr" à propos de "l'utilisation des compétences du renseignement étranger et du contre-espionnage contre une campagne politique américaine, pour moi, est sans précédent. et c'est une ligne rouge qui a été surmontée ".

Au cours des dernières semaines, George Papdopoulos , ancien conseiller de Donald Trump , a donné une interview à InsideOver dans laquelle il déclarait: "Tout ce que je peux dire, c'est qu'à mon avis, le rapport de l'Italie [avec les États-Unis] ne progressera pas À moins que toutes les informations sur les activités de Joseph Mifsud et du Link Campus concernant l'espionnage et le travail avec les agences de renseignement américaines contre moi et Trump en 2016-2017 ne soient révélées ». Comme prévu sur IlGiornale.it,Mifsud aurait fourni une déposition audio au procureur John Durham, à la demande du ministre de la Justice Barr afin de faire la lumière sur cette affaire ces dernières semaines. La présence de William Barr en Italie - à confirmer - attesterait du fait que les enquêtes ont subi une accélération soudaine.


(N'oubliez pas qui est George Papdopoulos : un intermédiaire présumé de Trump , des israéliens et des russes : https://www.washingtonexaminer.com/n...os-carter-page - il va sortir un livre Deep State Target)





LE GROS PROBLEME

LEAKED! Access to Calls With Putin, MBS Highly Restricted: Mulvaney in Trouble

https://politizoom.com/2019/09/28/le...ey-in-trouble/

CNN a confirmé que les transcriptions d’appels entre Trump et MBS, en particulier après le meurtre du journaliste et journaliste américain Jamal Kashoggi, avaient non seulement été cachées sur le serveur spécial, mais qu’aucune transcription n’avait été distribuée aux employés qui recevaient toujours des informations de ce type. communications.

C'est effrayant. Notre président pourrait bien être considéré comme un complice après le meurtre.

De plus, l'existence du système finira par impliquer Mick Mulvaney, le chef d'état-major de Trump. Mulvaney, en tant que chef de cabinet, dirige les opérations quotidiennes de la Maison-Blanche et joue nécessairement un rôle de premier plan dans le catalogage de la communication, la détermination du classement et la distribution des informations aux personnes concernées. Étant donné que Mulvaney doit connaître le sujet de ces conversations, il doit également être conscient de la possible déloyauté de Trump et du mécanisme par lequel l'administration cacherait les transcriptions. Un tel comportement pourrait, «pourrait», être considéré comme une trahison.

"Présents" selon Complotiste.com à cette réunion au sommet :

Coté US: Barr, Pompeo, Bannon, des associés d'Erik Prince et d'Epstein, Richard LaFrak,
Coté russe: ‪Dimitry Rybololev (un escroc qui semble toujours dans les endroits où il ne faut pas), Igor Sechin, Eugene Shvidler (Millhouse/Ambrovich), Vladimir Lisin (Novolipetsk Steel), and Viktor MedVedchuk (beau fils de Poutine)

"Benvenuto a tutti, è tempo di pulire il fango che è uscito dalle fogne"




CES INFOS SONT A VERIFIER. ATTENTION

Contre feu Trumpien en route.

Toute la stratégie de défense Trumpienne va se baser sur la suite de cette affaire : https://www.commdiginews.com/politic...fiasco-119822/

Si j'ai bien compris le scénario à digérer, ce serait Trump Vs Démocrates, Deep State, CIA, FBI et d'autres puissances étrangères. Bref, un scénario à la Qanon.

[Praetor]

Si c'est l'Italie qui tire les ficelles on devrait bien se marrer

[salakis]

Si c'est l'Italie qui tire les ficelles on devrait bien se marrer

https://medias.liberation.fr/photo/2...5838&width=960

Il tire bien des ficelles, mais pas sur que ce soit les memes dont on parle.

[Praetor]

Il tire bien des ficelles, mais pas sur que ce soit les memes dont on parle.

[Herman Speed]

Ce qui me fait tiquer c'est le Cofee Boy , George Papadopoulos qui revient dans cette épisode des Mistery Man.



2018 : https://www.lapresse.ca/internationa...padopoulos.php

Une victime d'une conspiration Australo-efbienne

il en a parlé à un diplomate australien lors d'une soirée dans un bar londonien, et ce dernier a transmis l'information aux enquêteurs américains à l'été 2016, ce qui a déclenché l'enquête sur l'équipe de campagne de M. Trump.

Interrogé en janvier 2017 par le FBI, M. Papadopoulos a toutefois menti sur les dates et minimisé ses échanges avec un mystérieux « professeur » et une Russe présentée comme la « nièce » de Vladimir Poutine. Selon son équipe de défense, il voulait garder ses chances d'obtenir un poste dans l'administration du maintenant président Trump.

Arrêté en juillet 2017 et passé au grill, il a plaidé coupable de faux témoignage en octobre et accepté de collaborer avec les enquêteurs dans l'espoir d'échapper à une peine de prison.

Mais, les procureurs estiment qu'il n'a pas livré d'information « substantielle » et estiment que ses mensonges initiaux ont empêché le FBI de confronter le fameux « professeur », qui lui avait parlé des courriels d'Hillary Clinton.

Ses interventions médiatiques et celles de son épouse ont sans doute également desservi le jeune homme, qui gazouillait encore récemment sur son « année infernale ».

En 2016 pourtant, tout semblait lui sourire. À seulement 28 ans, avec une expérience politique limitée à deux mois dans l'entourage du sénateur Ben Carson lors des primaires républicaines, il était nommé conseilleur en politique étrangère de Donald Trump, qui le décrivait dans la presse comme un « type excellent ».

Signe de sa déchéance, le président l'a qualifié l'an dernier de « jeune bénévole de bas niveau » et de « menteur ».

MAINTENANT TOUT EST PARDONNE :



remember :

[Zebb]

A présent, Trump essaie d'intimider et de menacer le lanceur d'alerte (qui a par ailleur demandé une protection fédérale), ainsi que Adam Schiff qu'il accuse de trahison

[dralasite]

A présent, Trump essaie d'intimider et de menacer le lanceur d'alerte (qui a par ailleur demandé une protection fédérale), ainsi que Adam Schiff qu'il accuse de trahison

Sachant qu'il a précédemment laissé entendre qu'il fallait exécuter les espions/traitres comme ce lanceur d'alerte...

[DangerMo]

A présent, Trump essaie d'intimider et de menacer le lanceur d'alerte (qui a par ailleur demandé une protection fédérale), ainsi que Adam Schiff qu'il accuse de trahison

Il a une solution très simple pour recontrer son (ses) accusateur(s).
Il suffit qu'il soit officiellement poursuivi, et là, oui, pendant son procès, il pourra rencontrer ses accusateurs.

Chiche, Donald ?

[lPyl]

Il a du rater la partie ou le VIème amendement (ce à quoi il fait probablement référence en disant "Like every American") disait que tu pouvais voir les mecs prêts à témoigner contre toi pendant ton procès

[Erreur]

J'ai hésité entre "Les pires du Web" (pour le site un peu ... dépassé), les LOLCat et ici.

Mais ça parle d'une asso de 1973, de chats et d'armes, et ça devrait détendre l'atmosphère quelques secondes, alors va pour ici :