"Suite" spirituelle du premier sortie sur DS / PS3, Ni No Kuni proposait dans son premier opus des graphismes très propres, un concept de combat pas innovant mais très appréciable sur le principe de collection de familiers et de combat en arène. Ni No Kuni 2 arrive 5 ans après avec un style de jeu qui change mais une DA toujours au top.
Le premier jeu pouvait se vanter de s'être vu d'avoir eu l'assistance du grand studio d'animation japonais Ghibli, sa suite quant à elle c'est fait sans eux mais toujours en conservant une énorme inspiration de son univers (et je crois même que certaine personnes de chez Ghibli sont maintenant chez Level5).
Dans ce nouvel opus, les systèmes changent du tout au tout et l'histoire et complétement délié du premier (sauf un petit clin d'oeil au début). Une nouvelle histoire, de nouveau protagonistes, le même monde et des méchaniques complétement différentes.
Finis la collecte de familiers à la Pokemon, bonjour le Hack'n'Slash à la Kingdom Hearts ! L'intégration de la système de gestion d'un Royaume (pas encore découvert pour ma part) et pleins de nouveaux éléments qui raviront les anciens joueurs et les nouveaux.
De mon avis perso, le jeu et sur beaucoup de plan meilleur que l'ancien. Beaucoup de gens ont critiqués le changement des systèmes de combat et regrette cette mise à mort de la collection de familiers. Alors certes la collecte était marrante, mais l'IA de ceux-ci étaient bidons et le pathfinding ridicule. Le jeu est toujours aussi somptueux avec des décors grandioses. Ni No Kuni 2 est beaucoup critiqué pour le moment pour sa simplicité (au point que certaine personnes ont déjà crées un mode pour le rendre plus dur) mais beaucoup d'autres vantes sa simplicité sur le début pour une fin beaucoup plus difficle (voir pour certains, impossible). Il y'a aussi beaucoup de méchaniques très mal expliquée et un tutorial inexistant, il faut parfois oser plonger son nez sur le net pour comprendre certaines méchaniques ou alors prendre son temps pour en manier d'autres (notamment le blocage).