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  1. #4951
    Citation Envoyé par Blackogg Voir le message
    D'ailleurs, pour ceux qui en ont déjà fait, ça se passe comment en gros cette soirée ?
    C'est ma 1ere fois, j'espère que ce sera mémorable ET agréable
    Ça fini vers 7 heures du matin, il y a une courte pause entre chaque film, en plus des entractes jeux et compilations d'extraits de nanars.

    Vaut mieux prévoir une heure d'avance pour s'asseoir correctement (après c'est le Grand Rex, y a pas vraiment de place bidon).

    La bouffe est tolérée si c'est pas salissant.

    L'ambiance est maboule, mais y a moyen de claquer une sieste si jamais (au troisième film souvent).

    Bien calculer les pauses pipi, c'est sous dimensionné :s
    Jeux du moment : TEKKEN 8

  2. #4952
    Citation Envoyé par Durack Voir le message
    Hum pas mon genre, mais ca pourra plaire a certain.

    Oh ça à l'air tentant.

  3. #4953
    Citation Envoyé par Kaelis Voir le message
    La bouffe est tolérée si c'est pas salissant.
    Merci pour les infos

    Pas salissant, c'est quoi ? Je compte pas ramener de cancoillotte donc ça devrait aller
    Et pour la boisson ?

  4. #4954
    La boisson je ne suis pas sûr, certains avaient les leurs (plutôt discrètement il me semble, les bouteilles en plastique sont autorisées contrairement aux canettes). Le gros des troupes allait chercher des binouzes à la buvette du ciné !
    Jeux du moment : TEKKEN 8

  5. #4955
    Citation Envoyé par Couyu Voir le message

    Le premier est pour moi un très mauvais found footage. D'ailleurs Papa en parle et explique pourquoi dans un des derniers Super Ciné Battle.
    Grosso modo il reprend les codes du genre sans les comprendre et écorne au passage pas mal de caractéristiques de ce genre de film pour en faire un machin bancal.
    Cloverfield est un bon petit film pop-corn.

    Son véritable problème est qu'il a la forme de found footage, alors que les "experts" du cinéma ont eux-même un problème d'amour-haine envers ce procédé: ils sont les premiers à ne pas aimer (et ça se comprend: caméra qui tremble, mise-en-scène illisible, caméraman insupportable la plupart du temps, etc.), mais ce sont aussi les premiers à penser qu'il y a des "codes du found footage".

    Non, il n'y a pas de "codes" du found footage, parce qu'il n'y a pas de règles du found footage, car ce n'est pas un genre, c'est à peine une mode, et tout est à créer encore.

    Dans Cloverfield, c'est utilisé manifestement pour cacher le manque de moyen et raconter une histoire impressionnante, et en ça c'est intelligent: si tous les Disney pouvaient utiliser ce genre de procédé plutôt que leurs images de synthèse dégueulasses...
    Inconvénients: la caméra tremble (mais ça tremble aussi dans tous les films d'actions Disney, où la mise en scène est à peine plus lisible, alors...), le narrateur est insupportable. Avantage: l'imagination peut travailler et se faire sa propre idée de la situation. Le peu qui est montré devient plus impressionnant, sans exploser le budget effets spéciaux/images de synthèses.
    Exemple: The Host le film surhypé de Bong Joon-Ho, aurait mieux fait d'être filmé comme dans Cloverfield, tellement les CGI du monstre sont dégueulasses (si on ajoute à ça les acteurs qui surjouent, je tiens pas plus de 20 minutes devant The Host).

    10 Cloverfield Lane est par contre, de mon avis aussi, un vrai bon film. Le seul aspect qui lui est réellement dommage ça reste pour moi cette pirouette finale pour le raccrocher à cet univers dont je n'avais rien à f*utre.
    .
    non, la fin de 10 Cloverfield Lane est bien: c'est une fin ironique, par rapport au reste du film. Et j'ajoute que c'est une fin généreuse, là où la plupart des fins de films de huis-clos de science-fiction c'est: merci, c'est la fin, au-revoir on remballe, il n'y a plus rien à voir.

  6. #4956
    J'y serai aussi, mais pas avec une bande de pote, juste avec une bande composée de moi et ma nana.

    Si je vous vois, je vous balancerai du pop corn sur la tronche, discrètement.


  7. #4957
    Citation Envoyé par Big Bear Voir le message
    Cloverfield est un bon petit film pop-corn.

    Son véritable problème est qu'il a la forme de found footage, alors que les "experts" du cinéma ont eux-même un problème d'amour-haine envers ce procédé: ils sont les premiers à ne pas aimer (et ça se comprend: caméra qui tremble, mise-en-scène illisible, caméraman insupportable la plupart du temps, etc.), mais ce sont aussi les premiers à penser qu'il y a des "codes du found footage".

    Non, il n'y a pas de "codes" du found footage, parce qu'il n'y a pas de règles du found footage, car ce n'est pas un genre, c'est à peine une mode, et tout est à créer encore. [...]
    non, la fin de 10 Cloverfield Lane est bien: c'est une fin ironique, par rapport au reste du film. Et j'ajoute que c'est une fin généreuse, là où la plupart des fins de films de huis-clos de science-fiction c'est: merci, c'est la fin, au-revoir on remballe, il n'y a plus rien à voir.
    Ben non, t'as juste à relire au lieu de déplacer le débat.
    J'ai jamais dit que j'étais expert et encore moins que je n'aime pas le found footage.

    Un excellent found footage c'est Blair Witch Project par exemple ou REC, voir Paranormal Activity dans une bien moindre mesure.

    Là l'utilisation de la caméra est fait en dépit du bon sens, montre des choses qui ne devraient justement ne pas être montrées, ce qui a tendance à briser la SCI.
    Sans compter comme tu le fais remarquer le personnage principal est aussi con qu'insupportable (puisque tu parles de The Host), dommage quand ce genre de procédé est justement à fond dans l'empathie pour te scotcher.

    Une fin généreuse, stupide, incohérente et qui tombe comme un cheveux sur la soupe alors si tu veux.

    Je ne rebondirai pas sur Host, pas le temps, d'autres le feront pour moi.

  8. #4958
    Citation Envoyé par Big Bear Voir le message
    je tiens pas plus de 20 minutes devant The Host).

  9. #4959
    Sinon ma critique sur Mort ou Vif (The Quick and the Dead) de Sam Raimi est toute chaude et à peine relue : https://www.senscritique.com/film/Mo...ique/129645909
    En espérant que ça vous donne envie de lui donner une deuxième chance (comme je l'ai fait, quinze ans plus tard) et fasse changer complètement d'avis.

  10. #4960
    Très bien écrit.

    J'essayerai de le voir sans trop de préjugés.

  11. #4961
    Citation Envoyé par Couyu Voir le message
    Tu sais, ne pas avoir le même avis n'est pas m'embêter, au contraire
    Et oui effectivement, c'est Favreau qui pose les base du MCU avec le 1, donc il fallait que ce soit un autre Iron man qui les déconstruise (en vain).
    Si ce que tu dis sur Predator est vrai, je serai d'une grande tristesse....
    J'avais déjà dit tous les défauts qui me sautaient aux yeux la dernière fois donc je ne voulais pas insister, en plus je ne veux pas que ça donne l'impression que je m'acharne sur toi alors que je suis content de lire les avis de tout le monde.

    Shane Black j'ai bien aimé Kiss Kiss Bang Bang, moins The Nice Guys, beaucoup moins Iron Man 3 et à lire les avis sur The Predator j'ai l'impression qu'il est malheureusement parti sur la pente Tim Burton.
    Je suis également déçu pour The Predator, Shane Black disait qu'il voulait revenir aux bases, il était à 2 doigts de dire qu'il allait réinventer le mythe et on en arrive là...

    Predator c'est un peu comme Alien ou Jurassic Park, ça ne peut quasiment fonctionner qu'en lieu "clos", il faut que les "proies" soient isolées du monde. Dans The Predator on voit que le monde est ouvert, du coup il faut trouver d'autres artifices comme un Predator "géant" et ça devient bancal.

    La créature telle qu'elle nous est présentée dans le 1er film est fascinante, c'est le cas aussi pour l'Alien, mais plus les films avancent et plus le background est détaillé, plus on se rend compte que c'est creux et que ça tourne en rond. Mais comme money is money ils n'abandonnent pas la poule aux œufs d'or avant de l'avoir déplumée, tuée, enterrée, exhumée et fini par se rendre compte que ça ne rapporte plus sans avoir trop compris pourquoi.

  12. #4962
    Citation Envoyé par Teto Voir le message

    En revanche les retours sur Predator sont unanimes: C'est nul (et probablement charcuté par les exécutifs).


    Qu'est ce que je donnerais pas pour voir le premier au cinéma. Je crois que c'est l'un de films préférés, la cassette vidéo (que j'ai toujours) s'en rappelle encore

    Fais chier

  13. #4963
    The sisters brothers, c'est top.
    Les interviews du réal qu'on peut lire un peu partout ne font pas honneur au film.
    psn/steam/gog: chameaufou/ Hearthstone: chameaufou#2336/ Switch: chameaufou 8061-6627-4614

  14. #4964
    Citation Envoyé par Tarsiz Voir le message
    Très bien écrit.

    J'essayerai de le voir sans trop de préjugés.
    Il faut.
    Pour un peu tu changeras d'avis sur Raimi (j'espère).
    Bon, j'en ai mis une sacrée tartine en réponse sur sens critique.

    Pour ceux qui n'aiment pas le site :
    Spoiler Alert!
    Oeuvre méprisée d'un des réalisateurs les plus sous-estimés tant par le public que la profession, The Quick And The Dead, pastiche pulp décomplexé est un hommage appuyé à un pan entier de l'imaginaire collectif américain, fixé sur pellicule à grand renfort d'encre rouge.

    Métrage de commande pour la locomotive Sharon Stone, dont le rôle de co-productrice ne trompe pas sur ses intentions premières, Raimi n'oublie pas pour autant de s'approprier ce curieux objet, l'habillant au passage de bon nombre de ses obsessions et passions reconnaissables entre mille.
    Formidable contre-pied de l'éloge funèbre géniale d'un genre entier, prononcée en 92, peut-être un peu hâtivement par le déjà vieillissant Clint Eastwood, Mort ou vif, dont le titre français profite pour une fois d'une amusante polysémie, envisage la modernisation du western et sa réhabilitation par l'incorporation d'influences post-modernes avec un recours salutaire au fantasme.

    Et puisque l'on parlait de Unforgiven en introduction, difficile de ne pas profiter de l'occasion pour aborder la question du casting, démarrant à cette occasion ce premier paragraphe par l'évocation de la prestation de Gene Hackman, dans les santiag éperonnées du tyrannique Herod, version ultra-violente et pervertie à l'extrême de son personnage de shérif chez l'ami Eastwood.
    En opposition, Sharon Stone, alors au firmament après être passées entre les mains expertes du hollandais violent, brûle la pellicule. Tantôt décalque féminin burné de l'Homme sans nom, tantôt caractérisée par une sexualité éruptive aux pieds de laquelle tout Hollywood se jetait volontiers, elle campe ici un de ses rôles les plus emblématiques, à des lieues du personnage sociopathe qui l'avait véritablement révélée. C'est d'ailleurs grâce à son implication dans la production que l'on découvrait à l'époque un jeune néo-zélandais aussi charismatique que charpenté, Russel Crowe et au passage une couleur supplémentaire sur le spectre des jeux d'un Di Caprio à peine post-pubère, à quelques mois du drame Basketball Diaries. Je ne pourrais pas parler de tout le monde, c'est pourquoi j'interromprais un inventaire potentiellement interminable et soporifique sur la présence remarquable de Lance Henriksen, bouffon mythomane haut en couleur, dont la présence, malheureusement écourtée d'une trop rapide volée de plomb, me permet d'opérer une habile transition vers un sujet fondamental : le travail plastique et l'incorporation de tout un pan de l'imagerie cartoon et pulp dans un genre ultra-codifié.

    Car quand Sam Raimi, cinéphile averti s'il était encore nécessaire de le rappeler, convoque à l'occasion bon nombre des mastodontes du western, des références subtiles chez Ford aux inspirations beaucoup plus évidentes côté jardins de l'Europe, c'est pour mieux orchestrer une collision frontale avec ce qui constitue son univers visuel et les plus évidentes caractéristiques stylistiques de son cinéma.
    Confinant à l'épure un genre extrêmement codifié, le réalisateur emprunte à tour de bras principalement chez Leone (A Fistfull of Dollars ou Yojimbo pour les puristes et Once Upon a Time In The West) une série de tropes indissociables du western spaghetti, canonisant les immanquables duels sous un soleil de plomb, ici devenus véritables outils scénaristiques, aussi absurdes que tragiques, formant un terreau incroyablement fertile pour une réalisation baroque jusqu'au bout des ongles. Du Sam Raimi que nous connaissions avec la saga Evil Dead, nous retrouvons ici un profond amour du gag burlesque, dans la pure filiation de Chuck Jones et des Stooges, de façon beaucoup plus subtile que ce dont nous avait habitué le réalisateur dans les mésaventures de Ash Williams. La réalisation, fortement expérimentale, partage nombre d'atomes crochus avec le cinéma de certains de ses contemporains Hongkongais, Tsui Hark en tête. Qu'il s'agisse d'un positionnement de caméra impossible, d'un travelling audacieux ou d'une alternance furieuse de plans débullés de plus en plus resserrés sur les regards crispés des jouteurs à vous en faire péter l'aorte, la patte Raimi est identifiable entre mille, enrichie sans vergogne par les trouvailles visuelles les plus audacieuse du neuvième art, au service de sa réalisation foutraque et résolument moderne.
    Magnifiquement servi par la photographie de Dante Spinotti, le film, largement dominé par une palette de couleurs ocres, rend hommage à toutes ces bourgades poussiéreuses de l'ouest sauvage, plombée par un soleil impitoyable. La grande de rue de Redemption (subtilité, je crie ton nom), aussi poussiéreuse que recouverte de crottins, devient le point névralgique de l'histoire, et les planches d'une véritable tragédie grecque que ne sauraient altérer les divers coups d'éclats plastiques du réalisateur.

    L'apparente simplicité scénaristique d'un tournoi qui n'existerait que pour tromper la morosité aiguë d'un despote devient alors la cristallisation des aspirations de l'ensemble d'une galerie de personnages truculents qu'on croirait tout droit sortis d'un pulp. Leurs motivations, aussi diverses que troubles, constituent autant de ramifications pour une intrigue qui comporte en définitive plus de tiroirs qu'une armoire normande. Qu'il s'agisse de ressentir à nouveau le frisson du danger, la liberté, embrasser la gloire, la fortune, assouvir ses pulsions de vengeance ou tout simplement tuer le père comme solution unique de la résolution d'un complexe Œdipien représenté sous trois formes bien différentes, la grande rue de Redemption sera le théâtre de nombreux espoirs sacrifiés, une véritable antichambre de la mort, dont l'horloge, arbitre impartiale, devient un personnage essentiel.

    Alors peut-être que les frasques stylistiques d'un réalisateur aussi talentueux se sont heurtées à une critique trop conservatrice pour apprécier un projet peut-être un peu trop avant-gardiste, surtout si l'on considère la réception unanime d'un Django Unchained dix-huit ans plus tard.
    Peut-être qu'il a été décrété un peu trop hâtivement, à l'image du Fury Road de Miller, que le film n'avait rien à raconter.
    En tout cas, ce dont je suis certain en revanche, c'est que The Quick and The Dead mérite largement un visionnage ou un re-visionnage plus de vingt trois ans après sa sortie, tant il m'apparaît évident que le film ne mérite absolument pas le mépris dont il est victime.


    Citation Envoyé par Ikari Voir le message
    J'avais déjà dit tous les défauts qui me sautaient aux yeux la dernière fois donc je ne voulais pas insister, en plus je ne veux pas que ça donne l'impression que je m'acharne sur toi alors que je suis content de lire les avis de tout le monde.
    Shane Black j'ai bien aimé Kiss Kiss Bang Bang, moins The Nice Guys, beaucoup moins Iron Man 3 et à lire les avis sur The Predator j'ai l'impression qu'il est malheureusement parti sur la pente Tim Burton.
    Je suis également déçu pour The Predator, Shane Black disait qu'il voulait revenir aux bases, il était à 2 doigts de dire qu'il allait réinventer le mythe et on en arrive là...
    [...]
    Au contraire, je suis là pour échanger, si c'est pour que tout le monde soit du même avis ou qu'on poste comme dans le topic musique où il n'y a quasiment pas d’interaction je trouve ça profondément inintéressant.
    T'as moins aimé The Nice Guys ?
    Je n'encense pas Iron Man 3, attention. Le film a plein de défauts (on imagine sans peine les difficultés de porter un projet aussi "boursouflé", mais je lui trouve quelques grandes qualités.
    On verra pour The Predator... Déjà Halloween semble bon, je n'en espérais pas tant...

    Citation Envoyé par LeChameauFou Voir le message
    The sisters brothers, c'est top.
    Je n'en n'ai jamais douté, vivement dans deux semaines que je puisse retourner au ciné !

  15. #4965
    Citation Envoyé par Couyu Voir le message
    Sinon ma critique sur Mort ou Vif (The Quick and the Dead) de Sam Raimi est toute chaude et à peine relue : https://www.senscritique.com/film/Mo...ique/129645909
    En espérant que ça vous donne envie de lui donner une deuxième chance (comme je l'ai fait, quinze ans plus tard) et fasse changer complètement d'avis.
    J'avais bien aimé à l'époque. Bon, j'en ai pas trop de souvenir. Mais ça passait.
    Raimi, comme beaucoup de réals indépendants devenus mainstream, a ses hauts et ses bas. Et clairement, son bas n'est pas Mort ou vif...
    Et donc quand tu chies beaucoup , ça veut dire que tu manges beaucoup, et ça veut donc dire que tu est riche, CQFD

  16. #4966
    Citation Envoyé par Couyu Voir le message
    Pour ceux qui n'aiment pas le site :
    Moi c'est pas le site que j'aime pas.

  17. #4967
    J'ai revu hier Les Temps Modernes (1936), de Chaplin, trois ans après l'avoir découvert pour la première fois…

    Ben j'ai été un peu déçu. J'adore le film et je ne sais pas si c'est le fait que la magie de la découverte n'est plus présente, ou que mes goûts ont changé depuis, mais je ne l'ai pas trouvé aussi percutant qu'avant. Il y a pas mal de scènes avec un humour un peu bas de gamme aussi, type tarte à la crème voire pire (les flatulences à côté de la femme du pasteur…).

    Ca reste un modèle de rythme et de construction, et l'un des plus grands films muets (bon, il n'est que semi-muet...).

    Et Paulette Goddard est magnifique.



    À la fin des années 30, quand David O. Selznick s'attaque à l'adaptation d'Autant en Emporte le Vent (il n'est que le producteur, mais aura beaucoup plus d'influence que n'importe qui sur le film, y compris les réalisateurs, car ils sont deux à s'être succédé), LE gros truc c'est le casting de l'actrice qui jouera Scarlett O'Hara. On pourrait faire un film sur le sujet tant le rôle était convoité, probablement plus que n'importe quel autre dans toute l'histoire du cinéma (au moins du cinéma occidental), et Paulette Goddard faisait partie des finalistes, elle était même en tête de liste jusqu'à la fin. L'histoire veut qu'elle n'ait pas pu produire de certificat de mariage (alors qu'elle vivait maritalement avec Chaplin) et finalement le rôle ira à Vivien Leigh.

  18. #4968
    Mais oui, je vais montrer les Chaplin à ma fille! Elle est assez grande maintenant.
    Merci pour l'idée.
    Et donc quand tu chies beaucoup , ça veut dire que tu manges beaucoup, et ça veut donc dire que tu est riche, CQFD

  19. #4969
    Citation Envoyé par tarsiz Voir le message
    à la fin des années 30, quand david o. Selznick s'attaque à l'adaptation d'autant en emporte le vent (il n'est que le producteur, mais aura beaucoup plus d'influence que n'importe qui sur le film, y compris les réalisateurs, car ils sont deux à s'être succédé), le gros truc c'est le casting de l'actrice qui jouera scarlett o'hara. On pourrait faire un film sur le sujet tant le rôle était convoité, probablement plus que n'importe quel autre dans toute l'histoire du cinéma (au moins du cinéma occidental), et paulette goddard faisait partie des finalistes, elle était même en tête de liste jusqu'à la fin. l'histoire veut qu'elle n'ait pas pu produire de certificat de mariage (alors qu'elle vivait maritalement avec chaplin) et finalement le rôle ira à vivien leigh.
    wtf ?!?

  20. #4970
    Citation Envoyé par Couyu Voir le message
    wtf ?!?
    Hollywood pendant la première moitié du 2ième siècle... Et encore, c'est vraiment pas glauque comme histoire là...
    Et donc quand tu chies beaucoup , ça veut dire que tu manges beaucoup, et ça veut donc dire que tu est riche, CQFD

  21. #4971
    Citation Envoyé par pseudoridicule Voir le message
    Mais oui, je vais montrer les Chaplin à ma fille! Elle est assez grande maintenant.
    Merci pour l'idée.
    Clairement ! Profite.

    Et reviens nous dire ceux auxquels elle aura été la plus réceptive.

    À vue de nez Le Kid, Les Temps Modernes et La Ruée vers l'Or me semblent les plus accessibles pour les gosses. Des gags et de l'aventure en barre.
    Les Lumières de la ville fait plus adulte, même s'il y a paradoxalement moins de sous-texte social, ça reste une histoire d'amour. Le Dictateur aussi évidemment.

    Et n'oublie pas le mal aimé, le Cirque, moins connu que les autres, il reste très bon !

    Pour l'histoire de Paulette ce sont des "clauses de moralité" attachées aux contrats des acteurs. Ca va de pair avec le pouvoir des studios et aussi le code de censure Hays qui commence vers 1933-1934. Avant ça il y avait eu un lot de scandales à Hollywood (voir Roscoe Arbuckle et l'affaire Virginia Rappe) qui avait mené à une politique de "moralisation" d'Hollywood. C'est un truc qui diminue petit à petit mais en 39 on est à peine cinq ans après l'introduction du code.

  22. #4972
    Citation Envoyé par Tarsiz Voir le message
    Clairement ! Profite.

    Et reviens nous dire ceux auxquels elle aura été la plus réceptive.

    À vue de nez Le Kid, Les Temps Modernes et La Ruée vers l'Or me semblent les plus accessibles pour les gosses. Des gags et de l'aventure en barre.
    Les Lumières de la ville fait plus adulte, même s'il y a paradoxalement moins de sous-texte social, ça reste une histoire d'amour. Le Dictateur aussi évidemment.

    Et n'oublie pas le mal aimé, le Cirque, moins connu que les autres, il reste très bon !
    Je pensais à ceux-là en premier. Ceci dit, le Dictateur à ça de génial qu'il est abordable pour toutes les générations. Les petits riront parce que Chaplin est un sacré comique et les grands riront à la critique grinçante d'Hitler.
    Et donc quand tu chies beaucoup , ça veut dire que tu manges beaucoup, et ça veut donc dire que tu est riche, CQFD

  23. #4973
    Le Dictateur est parlant aussi, c'est plus facile pour quelqu'un qui n'a jamais vu de film muet.

    Même si les Chaplin sont pour moi les films idéaux pour aborder le muet (à suivre avec les comédies de geste de Buster Keaton !).

  24. #4974
    Citation Envoyé par Tarsiz Voir le message
    Le Dictateur est parlant aussi, c'est plus facile pour quelqu'un qui n'a jamais vu de film muet.
    Ah oui mince. J'avais oublié ce petit détail.
    Keaton suivra bien sûr. Là elle est en pleine période Tex Avery, grâce à un coffret DVD que j'ai trouvé à 5 euros à une brocante. Autant dire qu'on s'éclate.
    Et donc quand tu chies beaucoup , ça veut dire que tu manges beaucoup, et ça veut donc dire que tu est riche, CQFD

  25. #4975

  26. #4976
    Citation Envoyé par Kaelis Voir le message
    La boisson je ne suis pas sûr, certains avaient les leurs (plutôt discrètement il me semble, les bouteilles en plastique sont autorisées contrairement aux canettes). Le gros des troupes allait chercher des binouzes à la buvette du ciné !
    Ouais, et c'est un peu beaucoup du racket (quoique pas tant que ça vu les tarifs ici )
    #TeamLeLion

  27. #4977
    Cary Fukunaga réalisera le prochain James Bond.
    C'est qui ce mec? Mais bon, ça ne sera pas la première fois qu'ils iront chercher un inconnu. C'est pas plus mal comme ça en fait, si le mec s'y connait en flim d'action.
    Et donc quand tu chies beaucoup , ça veut dire que tu manges beaucoup, et ça veut donc dire que tu est riche, CQFD

  28. #4978
    Citation Envoyé par pseudoridicule Voir le message
    Cary Fukunaga réalisera le prochain James Bond.
    C'est qui ce mec? Mais bon, ça ne sera pas la première fois qu'ils iront chercher un inconnu. C'est pas plus mal comme ça en fait, si le mec s'y connait en flim d'action.
    C'est le réalisateur derrière True Detective, on a vu pire référence.
    Par contre ils prennent pas des britishs d'habitude ?

  29. #4979
    Citation Envoyé par hixe33 Voir le message
    Par contre ils prennent pas des britishs d'habitude ?
    Non, pas forcément. Ils ont embauché un allemand une fois.
    Et donc quand tu chies beaucoup , ça veut dire que tu manges beaucoup, et ça veut donc dire que tu est riche, CQFD

  30. #4980
    C'est plutôt positif, et bien plus cohérent que les rumeurs qui voulaient que Wright prennent les rennes du bousins.

    D’ailleurs il bosse sur quoi Edgar ?
    Un docu sur Sparks ? Parce que là, à part poster des gif de Jackie Chan (ce qui en soit suffit à illuminer ma journée), il laisse assez peu d'indice.

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