Voilà le 1er article de Mediapart : https://www.mediapart.fr/journal/eco...te?onglet=full
Pas la peine de le lui rappeler
Sera-t'il envisageable de reproduire l'article dans la version payante de Canard PC ? J'aurais bien envie de le lire, mais pas du tout envie de me faire forcer la main pour m'abonner à Mediapart .
Je crois pas que ce soit "forcer" la main ; c'est un magazine qui publie son propre contenu, issu d'une enquête commune. C'est pas vraiment forcé ?
A mon avis il est donc peu probable qu'ils le diffusent gratuitement (mais je peux me tromper).
Il le demande pas gratuit, il le demande dans la version payante de CPC.
Ils ont bien dit que si l’enquête est commune, chacun écrit ses propres articles: c'est pas les ventes de CPC qui payent les journalistes de mediapart et inversement, donc ça me paraît tout à fait logique que chaque magasine fasse payer ses articles. séparément.
Ils auraient pu faire une version commune de leurs articles si ils le souhaitaient.
Mais oui, à partir du moment où ils ont clairement précisé que ce ne serait pas le cas, il n'y aura pas les articles de mediapart dans canard PC (et vice versa).
Et au delà de ça, je ne sais pas si ce serait vraiment intéressant de toute façon. Les données seront forcément les mêmes vu que l'enquête est commune. Si c'est pour comparer les styles d'écriture...
Je pense que quand la série sera finie, je prendrai quand même le 1er mois d'abo (enfin si c'est par mois je sais pas) pour les lire.
En duo avec un autre mag' papier, j'aurais probablement acheté exceptionnellement cet autre mag' pour les lire, c'est un peu pareil finalement, j'achèterai un peu mediapart pour les lire.
Noël Malware in CPC HS33 - Spécial années 2000
Les voitures devaient voler, mais ça n'a pas été le cas.
Les avions non plus d'ailleurs. A la place, ils s'écrasaient dans des tours (...)
Question pour ceux qui connaissent un peu mediapart: j'ai voulu "m'abonner" aux 7 jours gratuit qu'ils proposent via leur application mobile, mais ensuite je ne trouve pas comment me désabonner.
Ce que je veux éviter, c'est le réabonnement automatique (qui serait en passant la meilleure façon de me perde pour de bon tant je trouve ça insupportable). Faut passer par où?
Honour, eh? What the hell is that anyway? Every man thinks it's something different. You can't drink it. You can't fuck it. The more of it you have the less good it does you, and if you've got none at all you don't miss it.
En théorie, un courrier papier. En pratique, un mail en insistant lourdement ça peut passer. Mais c'est assez compliqué oui.
C'est fou ça. Je pensais prendre une période d'un mois pour lire aussi d'autres articles, mais ça me décourage.
La ligne éditoriale de Mediapart n’est pas la même que celle de CPC...sa politique commerciale non plus. Malheureusement la contestable notion du «-client captif-» a gagné le jeu vidéo : loot boxes et autres améliorations cosmétiques et avantages bidon, etc.
«-Come in, come in, just for the pleasure of the eyes !-» clac, schlack (bruits de serrure)
Comme l'auteur du post je me suis spontanément posé la question, et je me suis même dit que ce n'était pas une bonne nouvelle.
Mediapart s'est montré à plusieurs reprises d'utilité publique en remplissant le vide que les médias plus traditionnels ont laissé, cependant nier leur orientation éditoriale revient à faire l'autruche sourde. La personnalité charismatique d'Edwy Plenel, son pouvoir de persuasion et son militantisme (qu'il revendique d'ailleurs de façon transparente) me font à chaque fois prendre un recul qui me semble nécessaire sur ses articles et ses écrits.
J'ai choisi de soutenir depuis maintenant pas mal d'années la rédaction de cpc car j'ai confiance en eux, en leur revendication d'indépendance et en leur philosophie et que je sais que je ne vais pas avaler de la soupe quand je reçois mon exemplaire dans son sachet.
Je me rappelle d'un écrit ou Boulon expliquait qu'on pouvait faire un papier juste tout en défendant une ligne éditoriale. J'avais trouvé à l'époque ses mots limpides pour exprimer au final une idée qui pour moi était complexe: comment arriver à faire une critique objective en revendiquant un parti-pris.
Cependant cette explication concernant la subjectivité ne peut plus s'appliquer pour moi lorsque l'auteur se revendique militant. Le choix des sujets, le choix des cibles, l'orientation et la façon de raconter les enquêtes sont, pour moi, par exemple des marquants.
Je n'ai pas confiance dans les militants et leur façon (volontaire ou non) de vouloir orienter l'opinion des gens (pour leur bien évidement).
Je ne suis pas en train de dire que les lapins de six semaines vont se faire bouffer tout cru par le vieux loup cagneux, mais cette association me rend méfiant. J'espère me gourer sur toute la ligne et que cela donnera des dossiers passionnants, et justes, mais j'étais déjà conquis par les dossiers réalisés auparavant (comme celui sur le gamergate par exemple).
Du coup être objectif c'est forcement être centriste? ou un centriste militant c'est aussi quelqu'un de forcement subjectif?
J'ai du mal à comprendre le point de vue j'avoue.
"Les faits sont têtus."
Justement c'est honnête de montrer notre parti-pris, ainsi comme tu dis tu peux avoir du recul.
J'ai plutôt l'impression que c'est en toi-même que tu n'as pas confiance, tu manques de culture pour avoir ta propre opinion mais la culture te fait peur comme elle remet constamment en question notre opinion, et tu as peur d'en changer parceque tu tiens à un confort.
Perso même quand un militantisme n'est pas avoué, j'arrive à repérer assez vite l'intérêt politique d'un écrivain/journaliste/ect, et j'ai pas peur de lire des trucs politiques opposés. Par contre en effet là où je me sens assez impuissant c'est face au déferlement technologique, ça va trop vite sans presque aucune critique ni contrôle et j'ai peur d'être énervé de lire des trucs qui en plus en rajoutent (dans l'accord de dévastation de la planète, voire le suicide collectif; CPC Hardwère collabo!)
Dernière modification par ERISS ; 27/01/2018 à 16h16.
On pourrait rêver d’un monde d’information parfait, où les journalistes, majoritairement, feraient leur boulot d’informer objectivement, sans prendre parti. Ce n’est malheureusement pas le cas. La plupart épousent la doxa dominante, et font bloc contre les déviants. Les opinions contraires sont étiquetées aussitôt, rejetées, déformées, ridiculisées, et leurs auteurs pourchassés de toutes les manières possibles, en particulier à l’aide d’attaques venimeuses, ad hominem et ad personam. Rares sont ceux qui surnagent, de manière confidentielle. Combien de Natacha Polony pour un panier garni de Plenel, Boniface, Moix , Aphatie, Cohen, et autres crabes malfaisants ?
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Superbe exemple de critique ad personam, inutile au débat, teigneuse et gratuite. Bravo.
C'est tellement typique.
@ Pinkipou
Et ?...
@pinkipou
Éblouissant. Et très constructif.