Ouais, je sais pas pourquoi, j'ai comme un doute sur les chances de réussite de ce plan
Bon, vu la désorganisation de la flotte, ça aurais pris trop de temps de la renvoyer vers Neapolis, donc je lui ai ordonné de continuer sur Croton.
Malheureusement, l'une des mauvaises nouvelles en ce début Avril est la chute de Croton avant que ma flotte n'ai pu l'atteindre, et ce malgré une défense acharnée de la garnison, qui s'est battue comme des lions à 1 contre 15 et a chèrement fait payer à Spartacus et toute son armée la ville, chaque homme en emmenant deux dans la tombe ! C'étaient des braves, et ils seront honorés à leur juste valeur, tout comme leurs familles !
Spartacus qui en plus reçoit le renfort de Castus et ses rebelles. Il va falloir importer en urgence du bois pour pouvoir faire assez de croix !
Mes légions ont déjà commencé à venger les braves défenseurs de Croton en reprenant Capoue dans une vague vengeresse !
Mais pendant ce temps, Oenomaus, renforcé de 7500 hommes supplémentaires, s'attaque à Rhegium. Là encore, les défenseurs, renforcé par une milice supplémentaire spontanément constituée et galvanisés par l'exemple de Croton, tiennent bon en infligeant de lourdes pertes aux attaquants.
On constate d'ailleurs deux choses :
- Cannicus a assisté aux deux batailles de Croton puis à la bataille de Rhegium. Je suis curieux de savoir comment Pinkipou est parvenu à faire ça, au niveau des ordres à donner (reprendre une ville ou assister une troupe alliée dans des combats puis continuer rejoindre d'autres troupes alliées ???)
- ma vision des troupes ennemies est NULLE. Par exemple, j'avais bien vu le pion de Spartacus se déplacer le tour précédent mais ne le voyais pas dans le stack autour de Croton, alors qu'il était bien là puisqu'il a participé aux assauts. Est-ce dû à la discrétion de ses leaders et d'une partie de ses troupes ? A des problèmes de loyauté ?
D'ailleurs, voici la carte des dominations militaires :
Et celle des loyautés :
Il faut donc maintenant réfléchir à comment s'adapter à ces nouveaux développements.
Déjà, au niveau de mes troupes embarquées. Même s'il serait tentant de les débarquer à Rhegium pour booster les défenses, leur niveau de désorganisation est tel que ce serait les emmener les yeux bandés à abattoir. Totalement contreproductif, donc on va plutôt continuer sur Tarentum (rappel : Neapolis demande 29-30 jours pour être atteinte, Tarentum seulement 22 jours).
Ensuite, il faut garder en tête que j'ai à Rome Arrius (4-3-2) avec une Legio Prov fraîchement formée, et qui sera renforcée le tour suivant par une unité d'auxiliaires et un chariot de ravitaillement.
Enfin, vu que Spartacus se balade dans le coin avec son stack complet, il me semble pas très intéressant de séparer mes forces pour l'instant.
L'idée serait de foncer sur Metapontum avec mes légions pendant que Spartacus a l'air occupé dans la pointe de la botte. En effet, impossible de me rendre d'une traite à Croton (40 jours) ou à Rhegium (45 jours) pour le prendre au piège immédiatement. Dans l'idéal-idéal, mes légions reprennent Beneventum et Nola au passage, mais j'ignore si ça marche comme ça.
Une fois à Metapontum, je détache un ou deux officiers qui auront comme mission de faire jonction avec les troupes arrivées à Tarentum, en espérant qu'elles aient assez récupérées pour faire une sortie et faire fuir la cavalerie de Pinkipou, pendant que ma force légère d'Arrius ira harceler les éclaireurs/monter le siège de villes capturées dans le Centre, et que mes légions iraient reprendre Croton ou faire le bouchon devant Rhegium (qui est un cul-de-sac).
Je pense ensuite détacher une force légère de Tarentum sous les ordres de Manlius pour dérouter les irréguliers qui bloquent ma production à Brundisium, qui irait rejoindre ensuite la force d'Arrius, pendant que le gros des troupes de Tarentum irait rejoindre mes légions.