T'es jaloux parce que tu ne ressembles pas à un canton suisse, c'est tout.
Ni le personnage, ni l'acteur sont suffisamment important pour faire un carton.
WW est porté par le charisme du personnage et de Gadot et c'est ce qui fait le succès du film.( J apprécie le film mais y a plein de chose qui ne vont pas.)
Bref il aurait du sortir Batfleck avant justice league , parce ce Batman pue méchamment la classe , sombre et brutal , plutôt que vouloir singé un Marvel tout public. Bref wb ce chié dessus.
Bon je passe complètement à autre chose y a quoi de neuf dans le cinéma coréen, japonais ou Chinois (hk) ?
Doutes, en fait... c'est un film de la femme de Christophe Barbier.
C'est pour ca qu'il joue dedans.
Mais on voit les noobs du topic, on en avait parlé lors de sa sortie il y a 3/4 ans.
Avant je regardais du mauvais cinéma... maintenant j'en fais.
Le problème de cette démarche, c'est que les œuvres sont, à mon sens, creuses et n'ont rien à dire ou à montrer. Le film de super héros nait d'un coup de bol, avec les succès de Blade 1, Spiderman 1 et les X-men 1. Il y a un basculement (et une mode) après ces trois films, car aucune autre adaptation de comics de super héros n'avaient connu le succès de ces trois films (en tout cas, j'ai pas souvenir d'un film en particulier). Ils ont pour caractéristiques d'être tous les 3 des films bien écrits, confiés à une équipe créative qui a su poser sa patte sur un univers sans pour autant le dénaturer. Le tout premier X-men, par exemple, assume ses choix et prend un parti qu'il tient jusqu'au bout (à l'image de ce que vivent les personnages du film) : aller à l'essentiel. 1h40, un pool de personnages assez réduits, des effets visuels contraints, des costumes discrets, etc. On ne retrouvera jamais cette épure dans les autres films, parce que outre le problème du budget, je pense que ça avait du sens, dans le film et cette volonté de faire un film s'est perdue, remplacée par la (fausse) nécessité commerciale de faire une suite.
Donc oui, planifier les films, j'en suis le premier content, tant que ça en vaut la peine. En fait, adapter à la serpe tout un univers pour résister à la concurrence d'un studio, je trouve que ça, c'est absurde. Et pour finir de te répondre, je vais même aller plus loin : y avait-il nécessité de faire Man of steel ? Franchement, je suis pas sûr. BvS, pourquoi pas, mais pour dire quoi précisément ? On est perdu entre Batman, Superman, Luthor, WW ; les deux seuls trucs qui m'ont réveillé c'est la photo de WW en 1914 (je m'y attendais pas) et le cauchemar de Batman, parce que là, on avait un truc fort et original (à mon sens encore une fois).
"Elminster this, Elminster that. Give ME two thousand years and a pointy hat and I'll kick his arse!"
Peut-être parce que tu refuses justement d'imaginer qu'il puisse y avoir dans ces films une dimension un peu plus profonde que "Greuh, super héros taper". Le seul problème ici, c'est toi, trop déterminé à te fier aux apparences pour réellement voir ce que propose un film, en ayant en plus la prétention de le connaître d'un bout à l'autre. Tu es pire que le spectateur lambda, tu es le spectateur zéro. Celui qui juge les films à leur bande-annonce et à leur réputation.
Globalement, tout ce que vous dites me conforte dans mon avis.
Euh en même temps, si on se cantonne aux Marvel et DC, y en a combien de films qui proposent quelque chose de plus que "taper les méchants"? À part Logan, zéro.
Un peu plus si on regarde ailleurs (Special, Birdman - et encore, ça se passe souvent "dans la tête" du héros), mais comparé à la déferlante de films et séries récents, ça reste des exceptions.
Signature Merde !
Beaucoup de ces films essaient (je dis bien essaient) de proposer autre chose. BvS essayait de parler de la place du "héros", les Gardiens de la Galaxie tentent d'aborder le sujet de la famille, même des trucs comme X-Men 2 essayaient de parler de différence et d'intégration.
Alors oui, c'est souvent raté, généralement maladroit, mais non, ces films ne se résument pas à "Moi héros, voici méchant, moi taper".
Globalement, tout ce que vous dites me conforte dans mon avis.
Oui, parce que les comics sont fondés là-dessus : des héros singuliers, mal dans leur peau, auxquels les adolescents puissent s'identifier. Pour moi les adaptations ciné n'en font pas vraiment une piste de réflexion, j'ai plus l'impression qu'ils se contentent de présenter le background des super-héros, pour avoir un film avec une structure compréhensible et familière - à part, oui, la plupart des films X-men où effectivement la différence est au cœur de l'intrigue et des rivalités.
Signature Merde !
Faut arrêter 5 minutes. C'est pas dans un comics ou dans un film de super-héros Marvel ou DC qu'on va trouver de grosses réflexions philosophiques sur le pourquoi de la vie ou la place de l'homme dans l'univers. Ca reste du divertissement sur lequel on rajoute une couche très légère pour que ce soit pas complètement bourrin et surtout pour que le spectateur puisse s'identifier à ce gars qui se ballade en collant rouge et bleu.
Et à mon sens, c'est à ce niveau que DC se plante. Alors, ok vous êtes une poignée à kiffer les états d’âmes d'un gars qui se déguise en chauve souris mais pour le spectateur lambda (dont je fais partie), on s'en fout un peu parce que ce personnage n'est pas réel. Un super héros, on veut le voir fracasser d'autres super héros à coup d'autobus, point. Marvel a compris qu'il ne fallait pas trop se prendre au sérieux et qu'il fallait simplement créer des interactions entre les différents protagonistes (en ça Wheddon est parfait et c'est ce qu'il fait de mieux). Et encore, ces interactions sont juste un prétexte pour savoir qui est le plus fort entre l'hippopotame et l'éléphant. DC continue à vouloir faire dans le serious business avec les sourcils froncés et se vautre continuellement.
Un Marvel ou un DC s'adressent à l'enfant qui est en nous et doit nous offrir un conte fantastique avec une moral et de la bagarre. Tant mieux s'il y a un peu de questionnement, ça évite qu'on soit au raz des pâquerettes mais il faut pas non plus devenir pédant en prétendant y trouver de hautes réflexions philosophiques.
D'ailleurs ce que je préfère dans DC c'est ce que regarde mon fils, Teen Titan, il serait peut être temps que DC se pose les bonnes questions.
Et donc quand tu chies beaucoup , ça veut dire que tu manges beaucoup, et ça veut donc dire que tu est riche, CQFD
Le problème que me pose ton raisonnement, c'est que ça peut s'appliquer à plein de chose et au final, on mène à un nivellement par le bas.
Le spectateur lambda, il n'a pas forcément envie de voir une réflexion sur la vie à l'époque du Far West, ni des états d'âmes d'un ancien criminel qui veut se racheter, il veut voir des mecs qui se tapent dessus dans le désert.
Le spectateur lambda, il n'a pas forcément envie de voir un film dans l'espace qui parle du futur de l'humanité et de nos possibles futurs relations avec des E.T, il veut que ça fasse piou piou dans l'espace.
Donc bon, que des films de super-héros essayent de proposer autre chose que de la bagarre débile pour s'adresser à l'enfant qui est en moi, je vais pas cracher dessus.
C'est parce que tu montes trop vite en besogne.
Personne n'a dit ici que BvS ou MoS étaient de grosses réflexions philosophiques. La nuance, c'est que certains y ont vu des pistes de réflexion philosophique.
Bien entendu que le film ne pousse pas le sujet mais quoi que tu dises, quoi que tu fasses, il y a la base pour que le spectateur puisse s'interroger, s'investir et se passionner.
Je ne trouve pas BvS ou MoS pédants et prétendant de hautes réflexions philosophiques. Juste un terreau suffisant pour essayer d'amener le spectateur vers d'autres sujets, ce qui est le b a ba de la curiosité.
Je suis d'accord avec toi sur le fait que proposer du serious business en film grand public à 200M, c'est casse gueule, il faut impérativement avoir 1/des couilles 2/une totale confiance en son équipe 3/des mecs qui assurent. Personnellement, je pense que la Warner était séduite par tout le projet porté par Snyder et sa clique mais s'est très vite rétracté, fait machine arrière, pour réenclencher la quatrième et enfin faire demi-tour.
Je ne répondrai à cette phrase "C'est pas dans un comics [...] qu'on va trouver de grosses réflexions philosophiques" par contre.
Huuum, je ne sais pas.
Je vois Spider-Man Homecoming, je ne vois rien. Alors que ceux de Sam Raimi proposaient des thèmes travaillés.
Je vois Suicide Squad, je ne vois rien.
Je vois Civil War, il y a un thème mais c'est dans le synopsis et là où BvS/MoS proposent cinq/six pas de réflexion, je n'en vois ici qu'un seul timide.
C'est pour ça que je trouve ces deux films intéressants, malgré leurs défauts maintes et maintes fois discutés.