Pas mieux, Dead Cells m'a en une journée fait arriver en retard à deux rendez-vous parce que j'étais pris dans un run.
Certains canards m'ont même permis de m'ouvrir à un pan du jeu que j'estimais inutile jusqu'à leurs conseils : le bouclier. Protégez-vous, qu'ils disaient. Eh bien ils avaient raison.
Je pense le préférer encore un peu plus à Hollow Knight, qui m'avait pourtant séduit il y a quelques mois. Dead Cells a moins l'aspect contemplatif et poétique, mais est plus nerveux et, au final, fun.