Où alors ils achètent un CATOBAR.
Des images de la maquette du remplaçant du Rafale:
https://www.usinenouvelle.com/articl...t-scaf.N855350
C'est dommage qu'il n'y ait pas d'images "en altitude", là on ne voit pas grand chose.
Par contre, il est imposant.
Ça fait bizarre un avion quasiment sans empennage.
On sait si c'est un mono ou un bi-réacteur ?
Une maquette plus petite (et vue d'un angle plus haut) ici : https://www.usinenouvelle.com/articl...ropeen.N855255
Au fait les entrées d'air de réacteurs avec des angles droit ça ne diminue pas la furtivité de l'appareil ?
Basil Zaharoff
https://www.arte.tv/fr/videos/085197...sile-zaharoff/
Le mec est un génie !
Zaharoff vendit le premier modèle aux Grecs avec la promesse de modalités de paiement souple. Il convainquit alors les Turcs que le premier modèle des Grecs représentait une menace et il leur en vendit deux. Il persuada alors les Russes du danger significatif de la flotte turque en mer Noire et il leur en vendit deux. Aucun de ces sous-marins ne fut jamais vu dans un combat. Dans un test de tir de torpille effectué par la marine turque, le navire devint si instable qu'il coula.
On va rigoler, si on fait la balance pour la Belgique entre les exports de la FN et les achats comme le F35. Je suis curieux de la balance.
Ben tiens, maintenant que la moitié de l'Europe a payé la taxe OTAN en prenant le F-35 et s'est donc enchaîné à l'oncle Sam, les ricains n'ont plus de raison de prendre des gants.
Mais bon il y a une solution simple : suffit que les filiales européennes des firmes US mentionnées dans l'article soient exempts de la réglementation ITAR et je suis sûr que l'UE sera d'accord pour les réintégrer dans les projets paneuropéens !
Question probablement pour Neo_13: H&K ne vont vraiment pas bien et la France est en cours de fourniture de nouveaux fusils chez eux. Si ils font faillite, est-ce que la France récupère un "package technique" pour continuer la prod? Ce genre de clauses existe couramment dans les industries d'armement? Comme la santé de H&K était déjà chancelante au moment de la commande des armes, n'est-ce pas étrange que le deal ait été de l'avant vu les risques?
Bref, quels filets de sécurité existent au niveau contractuel pour un État dans ce genre d'approvisionnement? Vu que c'est un peu l’État allemand qui fait que H&K est dans cette situation, la France peut-elle se retourner contre l’État allemand? Sans les chars je veux dire
"La vaseline, c'est un truc que j'utilise systématiquement" - vf1000f24
Si c'est un produit sur étagères (COTS) faut voir le contrat. Si c'est un truc spécifique, une pratique courante est que les machines de prod et les bancs de tests appartiennent au client: comme le client a financé le développement spécifique, les moyens de production réalisés dans ce cadre sont à lui. Tant que le fournisseur donne satisfaction il garde ces moyens chez lui pour produire et livrer le client, mais s'il commence à faire de la merde, fait faillite ou passe sous pavillon chinois le client peut tout récupérer et le confier à un autre industriel qui reprendra la production.
Fallait acheter du FN !
C'est pas un approvisionnement très risqué:
-Les allemands doivent renouveler leurs fusils bientôt et ils ont plein de sous, ils les laisseront pas fermer
-On a pas une besoin hyper urgent
-Il y a une tonne de fabriquant d'arme légères de qualité dans le monde
-C'est pas un pas une grosse commande, sur internet les gens parlent beaucoup de fusils mais équiper une armée entiere ça doit représenter le prix d'un Rafale ou de deux Tigres...
"Not riding to keep the miles low for resale value is like not drilling your girlfriend to keep her tight for the next guy"
Equipement sur étagère, donc sauf clause particulière, pas de transfert de technologies. Et si il y a faillite du fournisseur, l'Etat français se retrouvera comme tous les autres : sans livraison. De là, soit Nexter fait une offre de rachat pour le compte de l'Etat, mais entre la trahison NEXTER KMW et les hurlements de la MAS, ça n'arrivera pas, soit on ressource une nouvelle fois. Et on n'est pas à une trahison près.
Mes propos n'engagent personne, même pas moi.