Un F-86E Sabre dans le ciel de France
Bien entendu, acquérir une telle machine et la faire voler en France ne se fait pas sans l’accord de la DGAC et de l’OSAC. Sur ce plan, les deux organismes se sont montrés aussi efficaces que passionnés : « Bien sûr, la DGAC a demandé des garanties, mais ils se sont surtout montrés fanas du projet et très à l’écoute. Ça s’est très bien passé. Pareil avec l’OSAC : ça a été très facile de les convaincre. Ce sont vraiment des gens qui aiment l’aviation ! » explique Fred Akary.
OSAC ?