2 pages plus tôt, t'as le résumé des 17 jours de babysitting du donald par le général Kelly, par Colbert.
Et les quelques pages précédentes, là où Hermann a fait un dessin de Cthulu.
- - - Mise à jour - - -
Ne ne rate surtout pas le post magistral de supercastor sur l'inspiration et les motivations secrètes de Bannon. J'ai rarement vu une contribution aussi substantielle à ce sujet. (toute la golerie part de ce post)
Ça commence ici : http://forum.canardpc.com/threads/11...1#post11084752
Donald tease sur un sujet qui ne devrait pas etre pris a la legere :http://thehill.com/homenews/administ...istan-strategy
Il va faire voter le public bientot ?
Privatisons l'armée ! Comme ma soeur à l'éducation !
Mais c'est un hollandais d'origine ! Le Prins ! Et un bon américain sous tous les rapports !
https://fr.wikipedia.org/wiki/Erik_Prince
Prince is the brother of United States Secretary of Education Betsy DeVos
https://fr.wikipedia.org/wiki/Betsy_DeVos
Un autre article pour compléter celui de Madpenguin :
https://www.theatlantic.com/politics...-david/537324/
Erik Prince's Plan to Privatize the War in Afghanistan
President Trump is meeting with his aides on Friday at Camp David—and some unorthodox ideas are on the table.
Ce serait ça, l'annonce !
Faites tout péter ! Et un Champion de Papy Nurgle, Un !
Les cultes de Nurgle pourrissent le cœur de l’Empire, affaiblissant la force des armées de l'Empereur et le moral de ses sujets civils,
par la diffusion de la maladie. Une toux peut mettre à genoux un général, induisant une perte de commandement local.
Un éternuement peut décimer une ville entière. Lorsque ces subtiles mesures échouent, les cultistes peuvent déchirer le voile entre la réalité et
les Royaumes du Chaos, convoquant les Démons de Nurgle avec leurs contagions.
(Je suis catho mais leur vision me fait vibrer : ces réformes pourraient « avancer le royaume de Dieu » .
Merci de voir les diverses missions charitables qu'ils s'octroient (cfr Devos et Prinse) Voir Droite Chrétienne)
Dernière modification par Herman Speed ; 19/08/2017 à 17h55.
Image de FranceInfo qui résume bien les problème de casting de la série "Dallas 2017: White House". Manque d'acteurs en perspective.
Dr Donald : http://thehill.com/homenews/administ...gotry-and-hate
Mr Trump : http://thehill.com/homenews/347224-t...lice-agitators
Il les nome anti police et les felicite ensuite....
This is the end, beautiful friend
This is the end, my only friend, the end
Of our elaborate plans, the end
Of everything that stands, the end
source : AFP 20/08/2017
Pour Trump, le retour de vacances s'annonce compliqué
L'heure de la rentrée a sonné pour Donald Trump qui retrouve lundi la Maison Blanche, repeinte à neuf,
à l'issue de deux semaines de vacances chaotiques. Elle s'annonce rude.
Les nuages sombres s'amoncellent sur la jeune présidence du magnat de l'immobilier septuagénaire qui bat des records d'impopularité par
rapport à tous ses prédécesseurs. Et qui, loin d'avoir trouvé un ton rassembleur, alimente chaque jour un peu plus un sentiment de chaos et
d'improvisation au sein de l'exécutif de la première puissance mondiale.
De toutes les crises qu'il a lui-même générées depuis sept mois, celle née de ses propos sur les violences racistes de Charlottesville fut
sans conteste la plus dévastatrice. En affirmant, lors d'une conférence de presse en roue libre devant les ascenseurs dorés de la Trump Tower,
que les torts étaient des "deux côtés" (suprémacistes blancs et contre-manifestants), il a choqué.
Al Gore, ancien vice-président démocrate, lui a conseillé de "démissionner", Mitt Romney, ancien candidat républicain à la Maison Blanche, de "s'excuser".
Une partie du monde des affaires affiche désormais ouvertement son exaspération. Dans le camp républicain, les critiques - longtemps "off the record" -
se font plus audibles, pressantes. Avec l'idée qu'un tel degré d'imprévisibilité au sommet de l'Etat ne peut durer quatre ans.
Une phrase - terrible, ciselée - venue du sénateur républicain Bob Corker, qui ne peut être rangé dans le camp des anti-Trump primaires,
résume le sentiment répandu au sein du Grand Old Party: "Le président n'a pas encore réussi à démontrer qu'il avait la solidité et
les compétences nécessaires pour réussir".
Or l'objectif affiché de la rentrée est clair pour un président en quête d'une première avancée législative à accrocher à son bilan:
faire aboutir, à l'automne, la grande réforme fiscale promise sur les estrades de campagne.
Si les ténors républicains du Congrès y tiennent également, les attaques dont ils ont été la cible de la part du locataire
de la Maison Blanche pourraient compliquer les débats. Mais la crainte de provoquer un clash à l'approche des élections
de mi-mandat sera présente dans tous les esprits.
Pour Larry Sabato, politologue de l'université de Virginie, les leaders républicains de la Chambre des représentants et du Sénat,
Paul Ryan et Mitch McConnell, "savent à quoi s'en tenir avec Trump et il n'y a pas une ombre de complicité entre eux".
Mais, au moins jusqu'en novembre 2018, "ils n'ont pas d'autre choix que de travailler avec Trump, qui le sait et aime jouer avec eux
comme un chat avec une souris", explique-t-il à l'AFP.
Meeting sous tension à Phoenix
Paradoxe: le renvoi vendredi du sulfureux Steve Bannon, "conseiller stratégique" à la présidence, aurait pu marquer un moment fort,
le marqueur d'un "recentrage". Mais le calendrier fut désastreux: il est intervenu quelques jours après les remarques
présidentielles chargées d'ambiguïté sur l'extrême droite.
Certes, son départ clarifie les rapports de force au sein de la Maison Blanche, où John Kelly, général à la retraite des Marines,
est désormais l'homme fort. Mais il pose avec une acuité renouvelée une question lancinante:
quelle est la véritable doctrine de Donald Trump ? Quels sont ses véritables lignes directrices ?
Que restera-t-il, dans les esprits et les politiques, de Steve Bannon, principale plume du discours sombre et
offensif prononcé par Donald Trump le jour de sa prestation de serment: "A compter d'aujourd'hui, ce sera l'Amérique d'abord et seulement l'Amérique!" ?
Le 45e président de l'histoire américaine aura l'occasion de donner la tonalité de sa rentrée mardi à Phoenix, en Arizona,
lors d'un meeting qui pourrait se dérouler dans un climat tendu.
Le maire démocrate de la ville, Greg Stanton, a déploré la tenue de ce rassemblement politique quelques jours après le drame de Charlottesville,
mettant en garde contre le risque "d'attiser les émotions et de diviser encore plus le pays".
Des élus locaux redoutent que le président profite de ce rassemblement devant ses partisans chauffés à bloc pour accorder sa grâce à
Joe Arpaio, ancien shérif du comté de Maricopa (qui inclut la ville de Phoenix) très controversé en raison de ses méthodes musclées et
récemment condamné pour son zèle contre les clandestins.
Dans les cordes, isolé, Donald Trump devra trouver le juste équilibre entre sa volonté de galvaniser sa base venue l'acclamer
- exercice dans lequel il excelle - et d'envoyer un message rassembleur à l'issue d'une semaine qui a ébranlé l'Amérique.
Et peut-être entaché durablement sa présidence.
TRUMPAPOCALYPSE NOW !
"J'adore l'odeur du shitstorm au petit matin !"
Et pour revenir sur la remarque de Keulz sur le passage de Mdt :
"Faudrait vraiment des interventions pareilles toutes les 5 pages, cela soutien le rythme par le choc
de ses punchlines et de sa puissance intellectuelle."
Et dans un autre registre :
Une tentative d'explication de l'état quantique des discours du Donald.
Charlottesville: le secrétaire au Trésor défend Donald Trump
http://www.lesoir.be/109989/article/...d-donald-trump
D'autres avant lui ont voulu s'exercer à expliquer l'état de la particule "Trumpétron" et ils ont été carbonisés par des Tweets encore plus idiots.
Un des derniers tweet du Donald:
Il lui a fallu 2-3 essais avant de retrouver le bon mot...
Au moins, il n'a pas utilisé "heil"...
(D'un autre coté, Trump est connu pour être un fan de catch et dans ce milieu un "heel" est un combattant jouant le rôle du "méchant". Est ce qu'il gère la politique comme un match de catch?)
Donc il encourage les manifestations (il ne dit pas quel côté, mais on sait très bien lequel)... On avance on avance...
Dans son premier tweet il dit que les contre manifestants sont des anti police. Dans son second ilbkes felicite de se dresser contre les mechants.
Bon, je sais, c'est pas de la golerie, bon, bon...
Mais c'est sympa à voir, même si vous comprenez mal l'anglais: ya du texte et des images
Un mec de west-point qui mets les points sur les i sur la définition officielle des raisons de la guerre civile.
Ce n'est pas possible de "mettre aux points", sous-entendre donner une vision définitive a un événement aussi complexe, qui fait appel à une situation économique, politique, sociale, culturelle, démographique... C'est un débat entre historiens, argumentés et discutés, sur les causes de la guerre, ou de ces conséquences.
C'est comme vouloir "mettre au point" une histoire définitive de la révolution Française.
La messe satanique est pour demain, 21h.
http://www.star-telegram.com/news/po...168288837.html
https://www.usatoday.com/story/news/...tan/584506001/
Trump to address the nation Monday night to give his plan for Afghanistan, South Asia
WASHINGTON – President Trump will address military troops on Monday night to provide "an update" on path forward in Afghanistan and South Asia, the White House said in a statement Sunday.
The meeting, which will take place at 9 p.m. ET at Fort Myer in Arlington, Va., comes as Trump weighs a new strategy for the conflict in Afghanistan that could involve sending a few thousand more U.S. troops.
Sérieux, c'est tout de même un peu flippant: demain matin je m'attends à découvrir :
- soit une déclaration ronflante et un effet d'annonce sans grand impact mais déclamé de façon à faire croire que c'est significatif
- soit une déclaration à l'emporte pièce annonçant une ou plusieurs décisions catastrophiquement stupides, comme l'histoire avec Blackwater.
Je serres les fesses, dans le deuxième cas on peut s'attendre à des retombées géopolitiques globales et durables.
(en vrai, je doute qu'il soit capable d'imposer une décision débile face à des généraux qui ne l'apprécient pas forcément. Je pense qu'il va faire des propositions connes, se faire rembarrer par les généraux, se plier à leurs propositions et ensuite annoncer qu'il a fait un super deal avec les militaires et qu'ils ont été impressionnés par ses idées. Quand aux généraux, je doute qu'ils veuillent se lancer dans des plans ambitieux sous un gouvernement aussi instable et peu fiable.)
Il pourrait décider que l'afghanistan rapporte rien et se barrer. Après tout c'est Obama qui a fail l'opération et tout le monde sait que le terrorisme c'est plutôt l'Iran
Général de canapé : Jamais devant, toujours vivant !