Toute cette diarhée verbale. Les testeurs de jeux videoLa jalousie c'est une chose, mais la note la moins bonne de toute la presse c'est Pixels qui la met, ça correspond factuellement à un 17,5/20, et ça relève en tout et pour tout comme défauts que « En quittant l’échelle du bonsaï pour épouser celle du baobab, Breath of the Wild perd fatalement de son intensité. Ce monde qui semble se déployer sur des milliers de kilomètre n’a plus la même concentration d’idées que ses prédécesseurs ; certains pans de campagnes sont trop semblables les uns aux autres, les artifices sont un peu plus visibles.
Par moments, Link donne l’impression de ne plus être totalement un aventurier pris dans un monde fantastique, mais un vacancier à l’UCPA, alternant alpinisme et barbecue, baignade et repos, équitation et photos touristiques. Le jeu encourage l’exploration et récompense la curiosité, mais la récompense tient parfois plus du simple dédommagement matériel - des pierres précieuses en plus, des champignons rares, éventuellement une arme un peu plus puissante - que de l’ivresse pure de la découverte, par exemple d’un paysage foudroyant d’originalité, d’une peuplade folklorique ou d’un personnage marquant. »
C'est quand même une critique plus réfléchie que « cay mauche ». Ben y'a que ça. Tout le reste n'est qu'éloges.
A un moment quand TOUTE la presse, même la plus dure, est au diapason, c'est qu'il se passe un truc.