Double Helix...Iron Helix... même combat
Double Helix...Iron Helix... même combat
Moi sur Steam Je suis salement suisse-romand.
Je viens de finir The Messenger, offert par Orkestra, en 12 heures.
C'est très original, jeu hommage des années NES/SNES, mix entre metroidvania et action classique. Successeur spirituel d'un ninja gaiden. L'écriture du jeu est très bonne, les dialogues sont bien sentis, et le scenario est intéressant. Le visuel est bien fait, mais je préfère la partie "simple" () à la partie plus avancée. La difficulté est crescendo et bien dosée. Les boss sont tous originaux, même s'ils sont plutôt faciles comparés au reste du jeu. très bonne VF.Spoiler Alert!
En point négatif je dirai que le jeu tire en longueur inutilement, avec beaucoup trop d'aller-retour qu'ils auraient pu éviter. Quelques erreurs de level design egalement, qui rendent certains passages frustrants. La musique prise telle quelle est assez bonne, mais comme on refait les mêmes morceaux encore et encore, certains bouts deviennent irritants...
La ou je suis plutôt en désaccord avec les tests c'est la maniabilité. Elle est pas impeccable (même si globalement bonne) et ça frustre (encore) desfois. Le principe du jeu est tel que on peut sauter si on frappe un objet/ennemi, et c'est largement exploité avec une autre mécanique (). Certaines salles se basent sur ce principe, mais cela ne marche pas aussi bien que les dev l'auraient voulu (pourtant je suis pas la dernière des quiches dans ce genre de jeu).Spoiler Alert!
Globalement le jeu mérite sa note/ressenti global; entre 6,5 et 7/10.
Ravi d'avoir fait ce jeu, bel hommage aux années retro, mais je pousserai pas au 100%.
Je viens aussi de finir The Messenger (10h30 avec tous les badges d'après la save et 15h d'après Steam).
Perso c'est un bon 8/10 pour moi, de tous les défauts que tu listes le seul dont je suis d'accord c'est que ça traîne un peu en longueur (et les boss pas super compliqués même si sympa à affronter) mais pour le reste c'est un sans faute, la partie plateforme est géniale, le perso répond au doigt et à l'oeil et certains passages sont assez corsés sans être infaisables (généralement des écrans optionnels pour récupérer des badges). Pour ceux qui aiment la chip tune l'OST est sublime (j'ai bien aimé le gimmick 8bits/16bits/sous l'eau), le scénar et les dialogues ne se prennent pas au sérieux.
Me manque 3 achievements (1 dialogue manqué et 2 difficiles à anticiper pour une 1ere partie), je pense me les faire tranquillement.
Comme pour Shovel Knight, j'aime bien les mélodies de l'OST, mais ces musiques 8 bits au bout d'un moment je trouve les sons désagréables au point d'en être insupportable et me faire arrêter.
Aporia: Beyond The Valley : alors ce jeu aura déjà eu un effet très positif ; il était proprement injouable malgré un i5 4460 et une 1060. Après un gros check, il s'avère que mon PC, qui est resté stocké sans bouger pendant 3 mois, a pris une quantité de poussière impressionnante, le ventirad était blindé, un coup de nettoyage et hop, les 4 coeurs qui remarchent au lieu de 2 et une T° "au repos" qui repasse à 30° au lieu de 50.
Bref, tout ceci n'a rien à voir avec Aporia (bien que ça signifie qu'il est un peu gourmand pour un PC bas de gamme), qui est donc un jeu de puzzle-exploration à la 1ère personne. C'est très joli malgré quelques artefacts par moments et une gestion des sources de lumière pas toujours heureuse. Il y a de quoi faire de joli screenshots. Les décors sont plus ou moins réussis mais globalement il est très agréable à parcourir. Pas très compliqué, le plus dur reste de s'orienter et de comprendre où aller pour continuer l'aventure ; si le début est très linéaire, on arrive vite dans un endroit bien plus ouvert. Le level design est pas dégueu mais n'est pas assez exploité et sert plus le côté "regarde ce joli lever de soleil" que le gameplay puzzle qui manque de variété.
L'histoire est racontée par rétroprojecteur, sans aucun dialogue, et ça marche pas trop mal.
Regrets : la partie dans le monde ouvert avec le machin qui nous court après, pas palpitante et qui manque de repères quand on laisse passer plusieurs jours entre deux sessions. J'ai trouvé la carte illisible aussi, même si ça fait du bien de ne pas avoir de gros marqueurs de quêtes comme dans un jeuconsoleoù on nous prend par la main
Il manque quelque chose quand même pour en faire un jeu mémorable, s'ils avaient mis autant d'ambition dans le gameplay que dans les graphismes, ça aurait pu être bien mieux. Mais c'était pas mal quand même. Torché en 4 heures dont au moins 1 à me paumer et à chercher mon chemin, tout en sachant que je n'ai pas tout fait à 100%, j'ai rushé la fin. Il me manque plein de succès du coup. J'ai quand même été déçu que ça ne se finisse pas plus en apothéose visuelle, vu ce qu'ils ont envoyé pendant le jeu.
DMC Devil May Cry
En terme de gameplay : assez cool au départ, pas mal de possibilités offertes (deux armes par thématiques angéliques/démoniaques + fonctionnalités associées). Trop en fait. Certains passages plateforme demandent de jongler entre les deux types d'arme. Certains combats aussi. Du coup je m’emmêlais les pinceaux par moments. Assez gonflant sur la fin
Techniquement : Ça a pris un petit coup de vieux, ceci dit c'est pas moche non plus et ça a l'avantage d'être assez foufou en terme de DA.
Le scenar' : classique. Très. Trop. Mais bon, c'est pas comme si c'était le principal intérêt de la série et c'est pas si dégueulasse. Pour un BTA.
Musicalement : du gros metal bien bourrin pour les combats. Ca fait le taf' et comme je suis client ça met la patate.
Voilà, pas ouf, mais pas dégueu non plus.
Aliens Colonial Marines.
Oui, j'ai encore fait un run en coop, faut dire que l'histoire du bug d'IA lié à une erreur de type dans un fichier .ini nous a donnés envie de tester la chose.
Y'a effectivement du mieux mais c'est pas dingue non plus. Il nous a effectivement semblé que les xenos exploitaient mieux les surfaces murales et essaient vraiment de contourner les joueurs au lieu de leur foncer dessus bêtement. Mais y'en a encore qui restent bloqués en plein milieu d'une pièce. Un bon point quand même malgré quelques bugs.
Pour le reste, cf mon précédent avis (que j'ai la flemme de chercher ) : ça reste un gros nanar que j'apprécie quand même malgré ses gros défauts qui lui donnent un certain charme.
Sinon, messieurs de chez Sega (si vous passez par ici), vous voulez pas nous pondre un "Left 4 Dead-like" qui exploite la licence ? Osef du scénario en fait, je veux juste un prétexte pour entendre le pulse rifle et le smart gun en tirant sur des xenos dans des couloirs dégueulasses plongés dans la pénombre.
________________________
GT / PSN / Steam : akaraziel
Soul Reaver 2
Après l'excellent Soul Reaver fait il y a 6 mois, j'en attendais beaucoup, et comme dirait un vampire dans une abysse, "plus dure est la chute".
+
-Amy Hennig a des vélléités d'écrire une tragédie grecque, ma foi, en 2001, c'est osé.
-Les graphismes type PS2 ont bien vieilli. Certains environnements sont toujours sympa.
-Une assez large variété de commandes.
-Le jeu est bien gentil de nous rendre littéralement.Spoiler Alert!
-
-Ecrire une tragédie grecque c'est sympa sauf que c'est à chier car on ne comprend RIEN. Les personnages parlent tous sans arrêt par devinettes et charabia et multiplient gratuitement les formules alambiquées. On ne comprend absolument pas qui sont les personnages (c'est qui Janos Audron en fait ?), ce qu'ils font, qu'est-ce qui se passe...
-Système de sauvegarde catastrophique et c'est d'autant plus impardonnable que celui du 1, deux ans plus tôt, était parfait et visionnaire. Il y a très peu de savepoints, éloignés les uns des autres, et relayés par des checkpoints qui ne servent à peu près à rien. Résultat : on est obligé de réaliser en entier les sessions de 1 ou 2 heures de progression prévues entre deux savepoints, à moins de se taper un aller-retour hyper laborieux.
-Système de combat pénible et chiant. Le portage PC horrible est évidemment en cause : au pad c'est injouable, au clavier à peine plus mais l'esquive est tellement compliquée à faire qu'en fait il est bien plus simple de bourriner en courant autour des ennemis. On appelle ça un coup d'épée dans l'eau...
-Level design épouvantable. Pendant dix heures on ne fait QUE des allers-retours chiants dans les mêmes environnements, jalonnés d'ennemis qu'on néglige stupidement pour foncer tout droit, sauf quand le jeu nous les impose et c'est encore plus pénible (voir système de combat). Les donjons sont réduits à la portion congrue : ils sont 4, avec une poignée d'énigmes à résoudre, dont la difficulté est très mal équilibrée.
En terme de jeu surcoté, il se place largement.
5/10 et je suis assez généreux.
Dernière modification par Catel ; 30/10/2018 à 07h54.
Moi je me suis arrêté à Blood Omen: Legacy of Kain et je m'en porte pas plus mal.
Toi, t'as mal écouté le monologue du tout début devant les vitraux dans la cathédrale des Seraphins.-Ecrire une tragédie grecque c'est sympa sauf que c'est à chier car on ne comprend RIEN. Les personnages parlent tous sans arrêt par devinettes et multiplient gratuitement les formules alambiquées. On ne comprend absolument pas qui sont les personnages (c'est qui Janos Audron en fait ?), ce qu'ils font, qu'est-ce qui se passe...
C’était le dernier représentant de la race des vampires originelle (que tu peux voir sur les peintures murales en récupérant la Reaver d'ombre), pourchassé par les Seraphins qui lui ont arraché le coeur.
Après faut bien se mettre en tête que la saga (soul reaver + blood omen donc) forme un tout scénaristique, SR se termine sur une fin ouverte et tout n'est pas raconté dans le 2. Tu auras le fin mot dans Defiance si tu le fais un jour.
C'est dommage d'avoir raté ça à l'époque. Aujourd'hui ça a quand même mal vieilli (surtout le premier, malheureusement). Pour le peu que j'ai pu refaire du 2 (faute à l'émulateur PS2) c'était quand même plus agréable à jouer, et Defiance reste dans la même veine, mais plus orienté combat (de mémoire)Moi je me suis arrêté à Blood Omen: Legacy of Kain et je m'en porte pas plus mal.
________________________
GT / PSN / Steam : akaraziel
J'ai déjà.Pas le son du pulse rifle ni de licence officielle (par contre il y a un équivalent de smart gun), mais jette un oeil à Space Beast Terror Fright. J'ai rarement vu aussi réussi sur le point précis du couloir dans la pénombre.
________________________
GT / PSN / Steam : akaraziel
Delta RuneSpoiler Alert!
C'est le petit cadeau balancé par Toby Fox aujourd'hui sur www.deltarune.com.
C'est très meugnon
Sans trop spoiler, c'est à faire si vous avez aimé Undertale.
Fini Return of the Obra Dinn, en 10 heures.
J'ai bien aimé. Mais c'est un jeu curieux parce que ça devrait être chiant, mais en fait ça l'est pas. Basiquement, on crapahute sur un bateau où il s'est passé des trucs pas très jojo, on revit les événements sous forme de scènes figées, et on saute de cadavre en cadavre pour mettre un nom sur chaque visage et un sort sur chaque nom. On interagit pas avec l'environnement, on fait que regarder et écouter, et tout le reste se passe dans un carnet où on sélectionne des noms et comment ils sont morts. Alors ça paie pas de mine dit comme ça, mais en vrai, ça fonctionne pas mal.
Déjà parce que l'intrigue est sympa, avec plein de lieux communs des histoires de marins et leurs miyards d'aventures. Et ensuite parce que c'est pas raconté n'importe comment ; comprendre : pas de narration de film ou de roman entrée au chausse-pieds. La composition des scènes, le travail sur l'espace, sur les lignes de vue (en tenant compte des déplacements en troidé), sur l'environnement, sur ce qui est visible et ce qui l'est pas (c'est là qu'on comprend que le monochrome n'est pas qu'un choix esthétique mais aussi fonctionnel), sur l'emplacement des personnages, leur apparence, ce qu'ils font, leurs positions, leurs visages parfois, fait que chaque personnage d'une scène raconte une histoire, et ces petites histoires mises bout à bout font la grande histoire. Et c'est précisément les mécaniques de jeu que d'observer, recouper les événements, apprendre à connaître les personnages et finalement révéler leurs histoires. Je trouve que c'est vraiment le point fort du jeu, cette polyphonie, toutes ces petites histoires qui s'entremêlent et se font écho, avec en point d'orgue, parfois, ce petit effet waouh quand des choses a priori sans rapport s'emboîtent et qu'on pige tout.
Après, ce qui m'a un peu gonflé, c'est l'ergonomie. Il y a des morts pas très clairs (certaines de ma faute, d'accord, mais pour d'autres, on est pas loin du chipotage sémantique) et il peut y avoir pas mal d'aller-retours fastidieux tant dans le bateau que dans le carnet, si bien que j'en suis venu à me demander si ç'aurait pas été mieux de foutre un menu d'où lancer les scènes et un système pour lier un visage à un meurtre sans connaître le nom. Mais après coup, je me dis que c'est peut-être mieux comme ça, pour insister sur le côté laborieux et procédurier (rapport au fait qu'on joue un agent d'assurance) et s'attacher aux personnages.
Intérechiant/10
Dernière modification par DeadFish ; 01/11/2018 à 20h37.
Tu fais chier DeadFish, t'es toujours là à dire "ouais les tests faut que ce soit une étude psycho sinon c'est de la merde", et pour une fois que tu postes un avis sur un jeu, c'en est un que j'ai pas du tout envie de me spoiler
Du coup je ne te lirai pas. Plus. Jamais.
Fini Celeste
Le plateformer simulation d'épanouissement personnel à travers l'alpinisme.
Rââââ je l'ai eu ! j'ai gravi une montagne de skill, grimpé au sommet de mes capacités, dépassé mes limites, perdu la foi en chutant plus d'une fois mais ...
Je. L'ai. Fini.
Un vrai voyage, avec un scénario style mi-psycho mi-se en abîme qui fonctionne plutôt bien.
Un gameplay soigné au poil de fion très TRES exigeant
Seul carton rouge : la hitbox des pics de cristal un peu trop généreuse.
Je n'irai pas chercher toutes les fraises (bonus de PGM) ni tenter de finir l'épilogue (bonus de true-PGM-from-hell) mais je me ferai un malin plaisir à mater les speedruns juste par honneur pour mes 1300 morts...
Oxenfree
Normalement je suis totalement imperméable aux histoires d'ados, n'en ayant jamais été un, mais ici la dynamique d'écriture et de personnages fonctionne, de même globalement que cette histoire de fantômes quelque part entre les Goonies et Shining. Le gameplay est entre walking simulator et visual novel. Dommage que les déplacements soient un peu trop lents, ça torpille l'envie d'explorer ce petit monde à fond. Jeu bouclé en une après-midi en 4 heures et demi (disons une heure de plus pour le 100%) mais qui peut faire l'objet d'un second run façon Undertale.
7/10
Plutôt de 10 à 30 ans... et encore
Another World – 20th Anniversary Edition (2013)
Grosse purge. Roger joue tranquillou avec son accélérateur de particules perso lorsque un orage le téléporte vers un autre monde.
J'avais joué au jeu à l'époque, je l'avais eu dans une compil' avec Flashback et quelques point'n click Delphine Software. J'étais pas allé très loin, parce que c'était dur et surtout parce que Flashback c'est quand même largement mieux.
25 ans après, c'est pareil. La réédition est très propre, on peut switcher vers les anciens graphismes à l'aide d'une touche, les deux versions sont encore très propres. Bravo à la DA, la mise en scène, et l'absence de narration. Mais par contre, qu'est-ce que ce jeu peut faire rager... Je le savais en plus, à cause de mes souvenirs, à cause de sa réputation de jeu pixel perfect/die&retry, mais en fait c'est pire que ça, surtout en combat: on peut faire strictement la même action et que ça se passe radicalement différemment. Il faut dire que les contrôles sont vraiment à chier, je sais pas si ça vient de moi ou si le jeu bouffe des frames, mais parfois on appuie sur un bouton, et rien ne se passe. Frustrant. On passera les énigmes complètement fumées, qui changent les règles du jeu comme ça d'un coup, parce que pourquoi pas.
Du coup pour m'épargner trop de coups de sang, j'ai rapidement fait le jeu en suivant une soluce. Et même avec ça, je suis mort vraiment, vraiment, vraiment très souvent. 108 minutes de calvaire.
Oui, Another World est d'une autre époque et les "puzzles" sont vraiment trop obscurs. La meilleure (seule ?) façon de profiter du jeu est de connaître son chemin et comment progresser dans l'histoire.
J'ai profité de mon jour férié pour terminer L.A. Noire, c'était vraiment tout pourri, je comprends pas l'intérêt à l'avoir ressorti d'ailleurs ya vraiment pas grand chose à sauver.
C'était sur PC, et comme 90% des jeux Rockstar c'est la croix et la galère pour le faire tourner :
- déjà ça se lance pas si le jeu est pas lancé en tant qu'Admin
- à l'époque où je l'ai installé il fallait bidouiller la base de registre sinon crash au lancement
- c'est cappé à 30 FPS sous peine de péter la physique
- on peut pas jouer sans le rockstar "social" club, donc ça fout la merde si on est pas loggé ou s'il y a une update de GTA qui rameute tous les gens à jouer
- obligé de changer un paramètre graphique à chaque lancement car le jeu fait systématiquement passer le moniteur en 24Hz lorsqu'on le lance
Bref une version PC dans la veine de leurs autres jeux... les gens qui chialent pour un portage de RDR2 devraient regarder le passif du studio dans ce domaine ça les ferait réfléchir à 2 fois
Sinon le jeu en lui même :
- Le personnage est nul
- l'openworld a 0 intérêt, à part rallonger la durée de vie grâce aux trajets en voiture (on peut quasi tout le temps les zapper heureusement )
- Les poursuites en voitures qui se traînent c'est l'opposé du fun ( on peut aussi zapper la plupart des séquences "d'action" )
- L'histoire est volontairement décousue, mais c'est mal fait on a des problèmes de chronologie ( les missions en dlc sont intégrées au déroulement du jeu donc parfois ça pète encore plus le supposé déroulement de l'histoire )
- les enquêtes c'est plutôt chouette mais les interrogatoires sont la plupart du temps risibles, avec des enflammades de notre cher inspecteur qui a 0 tact avec les gens
- spoil : il arrive que l'on doive choisir un accusé au terme d'une séance d'interrogatoire, c'est complètement con car. Donc les fois suivantes on sait que de toute façon cela ne sert à rien.Spoiler Alert!
- les persos sont toujours en train de cloper, c'est pas top pour attaquer le mois sans tabac
Je vois le genre, encore un de ces jeux conseillés par Baalim...
Sinon Another World oui, c'est immonde en jouabilité, mais pourtant j'étais allé jusqu'au bout, et à l'époque l'ambiance comme la scénarisation, ça faisait vraiment quelque chose... (rien que d'échapper à la bête au début, pile au dernier moment...). Au point d'oublier le gameplay. Aujourd'hui par contre, bon j'ai retenté mais j'ai déjà ragé à cause des sangsues au 2e écran :/