Moi le plus souvent je veux rester a travailler, mais c'est la direction qui veut que je parte.
Il parle de startups, ce ne sont pas les seuls à recruter Personnellement ma boîte se fout que je sois corporate. D’ailleurs quand il y a un truc que je n’aime pas je ne me prive pas de le dire, tant que c’est argumenté ça ne pose pas de soucis et je ne suis pas l’exception. C’est sûr que si t’y vas comme un connard en balançant « C’est de la merde. » ça ira moins bien mais là c’est plus un soucis d’être corporate ou non :D
C’est pas chez Google qu’ils ont fait une étude du genre ? De mémoire ça défonce complètement les conseils sur les startups que citait Molina au début de la discussion.
De quel genre? Sur les bienfaits d'avoir plusieurs types de personalites? C'est possible qu'ils aient fait une etude dessus, mais je ne la connais pas. Ceci dit j'ai un peu bosse avec le MTBI sur un projet, une methode du debut du 20eme siecle pas fiable de base avec malgre tout quelques interrets. Les supports, qui etaient pas les plus recents (milieu 2000 de memoire), recommendait deja d'equilibrer le projets avec differents "archetypes" et proposait des "guides d'interaction" entre les differents archetypes.
Apres le document de Molina parlait pas trop de personalite, plus de competences:
"Capacité à apprendre + Leadership + Motivations dynamisantes = Potentiel"
J'ai jamais entendu parle de Motivation Dynamisante mais je suppose que c'est ce que les amerloques appellen "Emotional intelligence". C'est le nouveau truc a la mode, et meme si ca a en partie trait a la personnalite de la personne, c'est pas tout a fait la meme chose car c'est possible de la developper - alors que la personalite n'est pas qqchose qui se developpe dans une salle de classe ou autre.
Pour en revenir a Google, si ce qu'ils ont defonce le modele suivant:
"Capacité à apprendre + Leadership + Motivations dynamisantes = Potentiel
[...]
Les diplômes ne permettent pas d'identifier ceux qui sont capables de créer de vraies différences au quotidien.
Les startups savent que la culture est tout ! "
alors tu m'interresse. Tu te souviens ou tu as lu ca? La derniere presentation de management qui a fait le buzz que j'ai lu c'etait celle de Netflix et ca allait encore dans le sens de citation sus-mentionnee.
Je cherche
Edit : j’ai et c’est long : http://www.nytimes.com/2016/02/28/ma...fect-team.html
C'est meme generalement bien vu. Ca n'a rien a voir avec le fait d'etre "corporate" ou non. Pour moi, etre corporate c'est pas etre le beni oui-oui de service qui fait tout ce qu'on lui demande sans se poser de question.
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Nice, je sais ce que je ferais mardi au bureau
L'intercontrat, je le vis différemment, bien sur quand tu vas aux soirées de la boite, et qu'on te demande chez quel client tu es, tu as toujours un petit pincement quand tu répond que tu es en intercontrat, mais l'avantage, c'est que tu te retrouves en face de personnes qui ont connu ça (même pour les chanceux qui ne l'ont pas connu, ils savent que ça fait parti du métier), donc tu as moins le côté "je me sens seul au monde", en plus la plupart des intercontrats que j'ai fait étaient au siège de la boite, c'est lourd, c'est chiant, mais tu as toujours l'aspect "vie en société".
Soyons honnêtes, dans mon cas, et avec le recul, j'ai fait tout ce qu'il ne fallait pas faire ; à partir du moment où je savais que ce poste était fait pour moi, j'aurais du faire jouer la concurrence et aller au plus offrant, plutôt que de chercher la première SSII venue la fleur entre les dents.Ils osent tout. Et s'ils connaissent ta situation (c'est à dire que tu peux difficilement refuser), il ne se gênent pas, ils tentent tout, grattent de manière éhontée.
J'en avais parlé il y a quelques temps, mais les coups de pute des commerciaux forment une liste impressionnante et sans bornes... comme tu disais, ils osent tout...J'ai eu un peu le cas pour ma nouvelle SSIII (de merde) et ma mission (de merde) commencée il y a moins d'un mois.
Depuis le début, je demandais mon ancien salaire, pas plus. Tout le monde était d'accord.
Quand il y a eu la confirmation du client et que c'était le moment de signer le salaire.
Le gars a commencé à me promener à base de "je peux pas vous proposer plus blablabla... j'ai les poings liés par les achats et mon chef gnagnagna".
Ensuite ça s'est transformé en une proposition du style "si vous acceptez encore moins de brute, je peux par contre compenser avec des (faux) frais de missions histoire d'avoir le même pouvoir d'achats qu'avant"
Après, il a enchainé avec "bon, je peux vous proposer le salaire rabaissé comme on a dit mais par contre je m'engage à augmenter à la valeur initiale janvier 2017. Et comme je vois que vous êtes réticent, se sera contractualisé... dans un mail... que je vous enverrais après avoir signé"
Je n'étais pas tout à fait le couteau sous la gorge et je ne suis plus aussi naïf et arrangeant avec les SSII à force d'avoir des douleurs annales, j'ai bien fait comprendre que je ne signerai pas et qu'il pouvait appeler le client pour lui annoncer qu'il pouvait se remettre à chercher quelqu'un d'autre.
De mon côté, j'avais commencé à contacter un ancien commercial sympa de ma SSII précdente pour voir si c'était possible de passer par lui vu les circonstances. Il ne me manquait que l'accord du client.
Alors que j'essayais difficilement de rentrer en contact avec le client (je n'avais pas le num de tel et c'était au mois d'août), le gars a finalement accepté le salaire demandé initialement.
J'étais, pour une fois, légèrement en position de force, je n'ai pas lâché et j'ai bien fait, le mec s'est un peu trahi, il voulait simplement gratter le plus possible pour prétendre à une belle prime à la fin de l'année.
M'enfin, il a quand même gratter la prime de vacances (10% de ton brut par mois, obligation syntec) en l'incluant dans le calcul du brute les enculés.
Jusqu'au bout !
Maintenant que j'en ai subi les effets, je penserais à en parler au prochain entretien d'embauche que je ferais.Malheureusement, cette clause est devenue systématique en SSII
Pour l'intercontrat, je l'ai quasiment toujours fait chez moi.
Ce qui peut être génial au début (comme par ex chercher un nouvel appart et déménager/emménager tranquillement), comme déprimant, voire angoissant (plus le temps passe, plus on risque de t'appeler pour aller à l'autre bout de la France).
Tiens, j'ai été un chômeur fort ce matin. Je devrais aller faire de l'intérim à 600m de chez moi, dans une boite qui me semble pourrie mais y a rien d'autre et ça remplit le CV. Au mois d'aout j'ai juste dit à l'intérim "avec ma femme on entame les procédures pour une FIV, c'est relou ça prend du temps et j'aurai pas la tête à me lancer dans un nouveau boulot, mais en octobre no problemo"
L'intérim me rappelle ce matin, pour me proposer du taf dans cette boite un peu naze, mais pas dans ce que je sais faire, mais un truc bien relou que je ne sais absolument pas faire, et qui n'est pas intéressant. J'ai su rester ferme et ne pas me faire baiser à taper 18 mois d'un truc que je déteste avant même d'y aller (et qui n'aura pas grand débouché pour moi plus tard).
Ces chômeurs qui veulent pas bosser décidément tssssssssss
J'appel gattaz.
Envoyé par rapport de la Délégation générale à la langue française et aux langues de France
J'ai un très bon niveau dans l'usinage CN, la mémère veut me coller sur des décolleteuse à came. Si j'ai le choix, je préfèrerais qu'on me casse les deux jambes ça durerait moins longtemps.
D'ailleurs elle sait que c'est le genre de truc qui doit faire peur parce qu'il y a eu une "pré-intégration" (on te fait visiter en deux deux la boite un vendredi après midi quand il n'y a presque plus personne, mais t'as pas le temps de regarder quoique ce soit), la nénette présente les machines "ce sont des bechler" (la marque des machines). Je tente de rebondir et montrer mon intérêt: "ah oui des décolleteuses à cames". Réponse "Non, non des Bechler". Ok, au début j'ai cru à une méconnaissance de la technique, mais je pense que c'est en fait tout sauf une erreur.
Bas tu auras peut être à tourner les cames.
Après savoir si par tourner j'entends "passer sur un tour pour réaliser la came" ou si c'est autre chose ça mon smilley te renseignera.
Envoyé par rapport de la Délégation générale à la langue française et aux langues de France
Hier, au jt de france2, il y avait un reportage qui expliquait qu'il fallait absolument accepter n'importe quoi que de rester au chômage. Notamment parce que ça attire un CDI au final.
Genre une entreprise qui ne tourne qu'avec des intérimaires va te proposer un CDI !
Genre en France, on récompense les gens au mérite.
Alors, oui, rester inactif trop longtemps, c'est pas bien mais de là à accepter vraiment n'importe quoi...
Pour certains recruteurs c'est plus agréable d'entendre que tu préfères cibler tes réponses et faire le choix d'une société pour laquelle tu as envie de bosser que d'expliquer que tu fais n'importe quoi pour boucher des trous sur ton CV. Après tout ça peut être eux le bouche-trou du moment. Perso j'ai déjà repris après pile deux ans de chômage, même pas mal.
Oui, je me suis fait également cette réflexion. Il n'y a pas de règle absolue.
C'est pour ça, que ce pseudo reportage m'a agacé.
Un poil dans le même domaine, ça me rappelle "l'hypothèse de l'étranger", dans le livre "La variété Andromède" de Michael Chrichton. Je me demande si Asimov aussi n'avait pas intégré ce besoin de profils différents au sein d'une équipe. SF certes, mais ils ont dû s'inspirer "de faits réels".