Les textes inachevés de Pratchett ont été détruits, selon ses volontés son disque dur a été écrasé par un rouleau compresseur à vapeur
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une balle, un imp (Newstuff #491, Edge, Duke it out in Doom, John Romero, DoomeD again)
Canard zizique : q 4, c, d, c, g, n , t-s, l, d, s, r, t, d, s, c, jv, c, g, b, p, b, m, c, 8 b, a, a-g, b, BOF, BOJV, c, c, c, c, e, e 80, e b, é, e, f, f, f, h r, i, J, j, m-u, m, m s, n, o, p, p-r, p, r, r r, r, r p, s, s d, t, t
Canard lecture
Il aurait dû le faire de son vivant
Finalement, après le Sentiment du Fer (que j'ai trouvé très bon), je suis parti sur Double tranchant de Joe Abercrombie.
C'est génial, il reprend (presque) tous ses personnages (Farouche, Craw, Gorst...) dans une série de nouvelles qui les met en scène en des lieux et des moments déjà connus, les fait se croiser, etc. Ceux qui ont lu et aimé Servir froid, Les Héros et Pays rouge doivent absolument lire Double tranchant !
Et après j'enchaîne avec Chasse Royale
BigRockTribe Streaming de musique Rock, Post-Rock et Metal.
Une novella médiévale et fantastique disponible sur Kobo et sur Amazon.
une balle, un imp (Newstuff #491, Edge, Duke it out in Doom, John Romero, DoomeD again)
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Canard lecture
Amélie Nothomb, meilleure vente
Quelle surprise
Et à la fin de l'article, "L'organisateur familial"
Y en aura pour tout le monde, envoyez moi vite un chèque
J'ai lu avec pas mal de retard, En attendant Bojangles.
Et bien je ne vois pas trop pourquoi ce livre a été acclamé. Ce n'est pas du tout mauvais mais l'histoire est très simple, le propos sans relief, l'écriture agréable sans être originale et la fin particulièrement prévisible.
Si quelqu'un veux bien m'éclairer.
Enfin je comprends bien que le livre se vende, il y a tout les ingrédients pour en faire une grosse ventes mais que l'ensemble de la critique littéraire le porte aux nues.
A titre de comparaison, j'ai joué à Hellblade en même temps et ce dernier parle de maladie mentale, de psychose, de perte et de deuil de façon bien plus originale et riche que ce livre. La comparaison est nulle, je sais.
Jean-Daniel Brèque, le traducteur de Simmons, s'est fâché avec lui d'ailleurs.
Le traducteur l'explique sur actuSF : http://www.actusf.com/forum/viewtopic.php?t=5856
Traducteur de plusieurs ouvrages de Dan Simmons — de L’Échiquier du mal (Denoël, 1992) à Terreur (Robert Laffont, 2008) —, je tenais depuis 2004 une rubrique régulière sur son site web.
Ces derniers temps, j’ai été troublé, révolté et même écœuré par les propos des intervenants du forum de ce site, voire de l’auteur lui-même, qui déversaient des flots de haine contre les démocrates, les Arabes, les homosexuels, les écologistes, et cætera.
C’est le 11 janvier dernier qu’est arrivée la goutte d’eau qui a fait déborder le vase : Dan Simmons a encouragé un internaute à dénoncer au FBI une jeune Palestinienne étudiant aux Etats-Unis, qui lui avait confié sa colère devant le massacre de Gaza et son désir de vengeance.
Simmons allait jusqu’à donner le lien du site à contacter pour une dénonciation, ainsi que plusieurs numéros de téléphone, concluant son message par la phrase suivante : « En fait, inutile de les contacter, je l’ai déjà fait (je suppose que son prénom n’est pas celui que vous donnez, mais vous pourrez discuter de cela avec les agents fédéraux qui vont vous rendre visite). »
Le même jour, je lui ai signifié ma décision de cesser toute collaboration avec son site. Il en a pris acte, maintenant son appel à la délation (sa justification tenait en une date, celle du 11 septembre) et concluant — à tort — que j’éprouvais « du mépris » pour son site web, pour sa position et pour lui-même, mais aussi pour son œuvre. En conséquence, me dit-il, il a décidé non seulement de faire effacer de son site web toutes les chroniques que j’avais rédigées — à ce jour (21/1/2009), cela n’est pas encore fait, la gestionnaire dudit site étant en vacances —, mais il en a en outre « contacté Danny Baror, [son] agent littéraire pour l’étranger, et lui [a] demandé de s’assurer (par contrat) que [je] ne [serais] plus jamais en position de traduire Drood [son dernier roman], ni toute nouvelle œuvre de fiction signée Dan Simmons. »
S’il m’avait demandé de ne plus le traduire, vu la rupture de notre relation de confiance, je l’aurais accepté. Il a choisi de m’imposer sa volonté — une frappe préventive, doublée d’une riposte disproportionnée, ce qui est parfaitement cohérent avec sa posture idéologique. Après avoir informé les éditeurs pour lesquels j’ai récemment traduit ses romans — et que je remercie pour leur soutien —, j’ai décidé de rendre public cet incident, afin que ma position soit claire.
Jean-Daniel Brèque
« C’est chose rare qu’un auteur cherche à se faire plus petit que son œuvre. »
Antoine Blondin
J'étais tombé des nues, j'avais trouvé ses précédents romans d'une profonde humanité. Je n'avais pas fait attention à l'extrait d'Illium/Olympos qui avait fait scandale à l'époque, l'histoire des Palestiniens qui ont utilisé une arme de fin du monde vendue par les français (forcément), mais rétrospectivement c'était un signe avant-coureur.
J'aime bien ta dernière citation. J'avais lu un comparatif Simmons / Stephen King, le second est humainement le total opposé, discret, impliqué dans des activités humanitaires et philanthropiques. Cela dit ça ne m'empêchera pas de lire d'autres livres de Simmons s'ils sont bons, mais en connaissance de cause. C'est toujours une déception quand on réalise qu'un auteur qu'on apprécie est un gros con.
Je viens juste de le terminer! C'est moins indispensable que les bouquins précédents mais c'est sympa de voir des nouvelles comblant des "trous" ou donnant d'autres points de vue. Le duo Shevedieh/Favre me faisait penser pas mal penser à celui de Fafhrd et du Souricier Gris, je présume que c'était voulu?
Il s'est aussi permis d'aller plus dans la comédie, en particulier pour l'extrait de la biographie de Nicomo Cosca.
C'est pas moi, c'est le traducteur.
Perso Dan Simmons, j'avais bien aimé l’échiquier du mal mais j'étais mal à l'aise par moment avec notamment le rôle minable des personnages féminins, l'aspect complotiste et le grand méchant allemand sadique qui était forcément homosexuel. ça reste un très bon livre malgré ses quelques détails.
Sinon Dan Simmon a un problème avec le cul, notamment avec les violeurs.
Pour Flashback, j'ai abandonné.
Dans le genre Dystopie à base de musulmans au pouvoir mondial, j'avais trouvé celui de Norman Spinrad plus percutant et moins cliché.
Surtout que l'auteur vit en France.
Flashback c'est limite un livre pro-trump :
- La politique sociale d'Obama responsable de la destruction de notre monde
- L'Islam est une religion exclusivement de haine, de violence, de folie et de barbarie
- Les USA se doivent de régenter le monde, d'assurer un rôle de protecteur et de montrer la marche à suivre
- Les mexicains sont fourbes, voleurs et veulent détruire l'Amérique
- Le Libéralisme absolu représente le salut de l'Humanité
- Le réchauffement climatique n'est qu'une légende crée par une bande de minables drogués.
et encore...il y a plus.
Dernière modification par Ruadir ; 31/08/2017 à 13h09.
Pas limite, c'est totalement la ligne dure du Tea party aux Etats-Unis, Simmons revendique son appartenance.
C'est surtout vis-à-vis du Cycle d'Hypérion que j'avais été déçu. Cette série est vraiment chouette, très humaine. J'aurais presque pleuré à la fin. Quand on compare avec Flashback on a l'impression que ce sont deux auteurs différents.
Cosca a toujours été mi-comique, mi-tragique, en particulier dans Pays Rouge. Et aussi génialement pragmatique, loser assumé, alcoolique en phase terminale quasiment en permanence.
Il y a une insistance sur le tragique dans Servir Froid, parce que tout le bouquin est aussi froid que la vengeance de Monza, mais sinon, les rares fois où on se marre dans les histoires d'Abercrombie, c'est Cosca.
Tutos Youtube Dwarf Fortress, Dungeon Crawl Stone Soup, Cataclysm DDA et Aurora 4X : Gobbostream (synopsis et vidéos à télécharger ici). Chaîne Twitch. Chan CPC mumble Dwarf Fortress dans la section Divers
Je me rappelle d'une scène à Jérusalem, considéré comme ground zero, où. Mais plus de l'implication des Français.Spoiler Alert!
Et il y a une histoire de rayon bleu à Jerusalem, mais je me rappelle plus les détails.
Avec google, et sans spoil :
A small caveat: despite my enthusiasm for this novel, I will admit to being bothered by Simmons decision to address recent political events within his narrative. Incidents of this were brief, almost parenthetical, but nonetheless intrusive. Obviously, the author has every right to include what I assume are his personal views, but the depiction of Jerusalem as the focus of "five thousand years of pain, terror, and virulent anti-Semitism" is a gross over-simplification as well as not entirely accurate, and the mention of 9/11 that occurs on page 520 seems gratuitous and possesses little relevance within the context of the rest of the novel. Had the author chosen to address these issues or incorporate them more fully into the novel, perhaps their inclusion could be viewed as more legitimate and less pretence, regardless of any difference of views.
Le héros fait un voyage initiatique, et il finit par visiter l'épave d'un sous-marin appelé "L'Epée d'Allah" ou une connerie du genre. Il apprend que la "fin" du monde et sa reconstruction est survenu quand les palestiniens qui dirigeaient le sous-marin ont fait exploser contre Israël une bombe à mini trou noir, qui leur avait été refilé par la France.
http://www.cafardcosmique.com/Olympos-de-Dan-SIMMONS
Spoiler Alert!
Ahh oui, c'est pour ça que je n'avais pas aimé Olympos...et en plus c'était chiant.
D'ailleurs, je me suis toujours demandé si Dantec ne faisait pas de la "provoc" sur la fin.
Passer d'un fils de communiste, d’extrême gauche avec tendances anarchistes à Royaliste réactionnaire, proche du bloc Identitaire et de Philippe de Villers...c'est un peu le grand écart.
- - - Mise à jour - - -
J'ai rectifié, merci. C'est vrai que les spoilers ont été sévères.
Dernière modification par Ruadir ; 31/08/2017 à 14h45.