ils doivent prendre des étudiants chinois (de France) en licence d'anglais, ça coute moins chère.
ils doivent prendre des étudiants chinois (de France) en licence d'anglais, ça coute moins chère.
King arrive a raconter des histoires tout en gardant un niveau de langage simple. Pour ça il a tout mon respect, moi qui vomit les auteurs qui ont besoin de tartiner leurs livres de mots de plus de trois syllabes pour se donner une respectabilité.
Quitte à être ridicule, je rapprocherais volontiers King de Steinbeck (d'ailleurs on trouve tellement de références au second dans les livres du premier que je ne suis pas étonné). Des souris et des hommes utilise également un vocabulaire simple, c'est peut-être le livre le plus simple que j'ai lu en anglais... et pourtant, quelle histoire !
Pas que...
Il y a parfois (souvent?) un problème d'égo chez les traducteurs. Ils ne veulent pas "que" traduire, ils veulent apporter leur marque, leur patte...
- - - Mise à jour - - -
J'approuve.
King, en plus des intrigues, c'est tout un tableau de l'Amérique des années 70 à 2000, simple, efficace...
jerk vient de proposer une retraite en monastère où on lit (non, pas que la Bible).
Par exemple, on lit l’intégrale de Balzac.
une balle, un imp (Newstuff #491, Edge, Duke it out in Doom, John Romero, DoomeD again)
Canard zizique : q 4, c, d, c, g, n , t-s, l, d, s, r, t, d, s, c, jv, c, g, b, p, b, m, c, 8 b, a, a-g, b, BOF, BOJV, c, c, c, c, e, e 80, e b, é, e, f, f, f, h r, i, J, j, m-u, m, m s, n, o, p, p-r, p, r, r r, r, r p, s, s d, t, t
Canard lecture
Si tu préfères lire l’intégrale de Pratchett ou de King, hein…
une balle, un imp (Newstuff #491, Edge, Duke it out in Doom, John Romero, DoomeD again)
Canard zizique : q 4, c, d, c, g, n , t-s, l, d, s, r, t, d, s, c, jv, c, g, b, p, b, m, c, 8 b, a, a-g, b, BOF, BOJV, c, c, c, c, e, e 80, e b, é, e, f, f, f, h r, i, J, j, m-u, m, m s, n, o, p, p-r, p, r, r r, r, r p, s, s d, t, t
Canard lecture
Après je ne sais pas si on est dans le même cas, la dernière fois que j'ai ouvert du Balzac c'était au lycée, à un âge où je n'ai pas trouvé ça passionnant (euphémisme). Si ça se trouve, avec la maturité (ou peut-être, qui sait, la décrépitude :galant:) on trouverait ça bien, en fait.
Je tenterait bien l'exercice mais j'ai trop de Pratchett et de King en retard .
non dans l'ancien testament, il y a les livres poétiques qui sont vraiment beau et méritent qu'on y jette un œil. J'aime beaucoup Job, le mec qui s'en prend plein la tronche, ecclésiaste et le cantique des cantique.
Le pire ça reste l'énumération hallucinante de la généalogie. C'est un truc qui te rend la lecture
Bizarrement ça me fait penser a l'énumération laborieuse dans l’Iliade d’Homère, surtout pour raconter les batailles, ça devient très vite très chiant. (machin fils de machin tua machin fils de machin; une fois son cadavre a terre, machin fils de machin tentant de voler ces armes, mais machin fils de machin tuant le voleur se fit tuer a son tour par machin fils de machin...)
Dernière modification par maldone ; 10/06/2016 à 04h16.
Oui, lisez le Lévitique et les Nombres, c'est l'Annuaire Pro et Particulier de la Terre Sainte.
Perso j'ai lu Illusions perdues l'année dernière et c'était vraiment très très bon. Lisez Balzac, c'est la vie.
Bah c'est le seul auteur classique qui me fait cet effet-là (à savoir ). Je ne lis pas des masses de classiques français non plus, mais suffisamment pour savoir que c'est vraiment avec Balzac que j'ai un problème, pas autre chose. J'ai retenté ya pas si longtemps et rien à faire, c'est vraiment trop chiant.
~~ Give a man a fire, he is warm for a while, set a man on fire and he is warm for the rest of his life. ~~
Paradoxalement les études littéraire ça peut vite te dégouter d'ouvrir un livre.
Je parle même pas de la littérature dite classique qui garde toujours une image d'élitisme. J'aimerai bien savoir sur le nombre de lecteur, combien lisent cette littérature.
Chais pas. Ma femme a fait énormément d'études littéraires et elle continue de lire plein de trucs qui me passent largement par dessus la tete. Quand on est passioné, on ne compte pas faut croire...
Et donc quand tu chies beaucoup , ça veut dire que tu manges beaucoup, et ça veut donc dire que tu est riche, CQFD
Non mais en dehors de Balzac il y'a plein de classiques abordables et vraiment magiques, il faut oublier les mauvais souvenirs d'école. Mais c'est comme les autres livres, on ne va pas tous les aimer forcement. Lancez vous.
Comme Bouvard et Pécuchet, de Flaubert
une balle, un imp (Newstuff #491, Edge, Duke it out in Doom, John Romero, DoomeD again)
Canard zizique : q 4, c, d, c, g, n , t-s, l, d, s, r, t, d, s, c, jv, c, g, b, p, b, m, c, 8 b, a, a-g, b, BOF, BOJV, c, c, c, c, e, e 80, e b, é, e, f, f, f, h r, i, J, j, m-u, m, m s, n, o, p, p-r, p, r, r r, r, r p, s, s d, t, t
Canard lecture
Personne ne lit de la phil(anthropie)
On a déjà eu le débat sur Balzac, on avait conclu que vous n'aviez aucun goût et que ça buttait sa maman.
Mdt : à ce moment "T" nous ne pouvons pas nous comprendre.
Je n'ai jamais lu de Balzac, par contre je trouve que Flaubert c'est de la bonne grosse daube avec des descriptions de boutons de portes sur 12 pages, entre deux descriptions de fauteuils Louis XVI.
Enfin, c'était le cas pour Madame Bovary, une purge telle que regarder la trilogie du Hobbit me semble moins vain.
Du coup, je peux tenter de lire du Balzac ou je vais me retrouver avec un scénario qui tient sur un demi post-it étalé sur 900 pages vides d'intérêt ?
SC Profil SensCritique
-.-.-– nAKAZZ, depuis 2007
Disons que dans ma mémoire la description du bouton de porte chez Balzac ne fait que huit pages.
Bah, pour Flaubert faut commencer par Salammbô. C'est plein de princesses lascives, de batailles épiques et de gaulois badasses. Ca correspondait totalement au fantasme orientaliste du XIXè siècle, donc un brin pompier et pas réaliste pour un rond, mais putain ça avait de la couleur !
Les plus crou... vieux d'entre nous se souviennent sans doute des illustrations qu'en avait fait Druillet, particulièrement inspiré pour le coup.
Tu ne peux pas échapper a la description balzacienne car elle joue un rôle centrale. Décrire un milieu social c'est comprendre déjà un personnage. Décrire un individus sur le plan physique, vestimentaire..etc c'est déjà peindre la moralité de cet individu. Alors en fonction de l’œuvre elle est plus ou moins détaillé.
Dans Balzac, tu trouves un peu de tout, il aborde des genres et des thèmes, très variés. Le mieux c'est de se laisser porter par un sujet, un genre qui te plait.
En édition poche, le colonel chabert c'est même pas 200 pages; le pere goriot a peine 400 pages; eugénie grandet 300 pages; la peau de chagrin a peine 150 pages.
Si c'est encore trop long, essaie Adieu, une nouvelle qui fait a peine 80-90 pages mais qui, putain, est très beau.
1819. Par une brûlante journée de l'été finissant, deux chasseurs - deux amis, le marquis d'Albon et le baron Philippe de Sucy - égarés dans une forêt de l'Ile-de-France entrevoient, sous les frondaisons d'un parc à l'abandon, une silhouette féminine d'une grâce aérienne. En cette jeune femme, folle, qui ne sait plus que répéter machinalement un seul mot, " Adieu ", Philippe, bouleversé, reconnaît la comtesse Stéphanie de Vandières, la maîtresse passionnément aimée dont il fut tragiquement séparé en 1812, lors du passage de la Bérésina. Soulevé par un espoir insensé, il va tenter de rendre la vie à cette âme morte