Parce que undecante-unième, ça avait la classe !
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https://fr.ulule.com/lovecraft-prestige/
Est ce cette édition ne contient pas tout?
C'est trop tard pour le ulule mais ça sortira surement un jour.
"Et c'est le psychothérapeuthe qui vous le dit".
Comment tout peut s'effondrer (petit manuel de collapsologie) de Pablo Servigne et Raphaël Stevens.
Pas mal du tout. J'ai eu peur que ce soit trop court, mais c'est finalement assez dense, 400 notes/références, deuxième partie plus philosophique à mon goût et nécessitant un poil plus de concentration. Les auteurs s'excusent presque d'écrire sur un sujet pareil, c'est plutôt déprimant mais on est dedans (et jusqu'au cou).
Je dirais que c'est maintenant le genre de notion incontournable à posséder pour toute personne prétendant réellement avoir un brin de conscience écologique, tout comme avoir lu "Le printemps silencieux" de Rachel Carson (on y arrive aussi, page 5 du dernier "Canard") ou "1984" de manière plus générale.
Petite remarque technique : beau papier blanc recyclé, il reste donc quelques petites pétouilles. Rien de méchant mais ça attire l’œil, comme si le livre avait déjà été consulté. Je crois mieux comprendre mieux pourquoi ce n'est pas forcément utilisé partout.
Quelques notions mériteraient aussi d'être plus développées (par ex. plus de contextes historiques, bases d'écologie), plus deux-trois termes à revoir : "deplétion" peut se dire épuisement, ou la capacité de charge qui était appelée "potentiel biotique" durant mes cours d'écologie.
Silo : Générations de Hugh Howey.
Silo et Silo : Origines m'ont tenu en haleine le temps que je les dévore en quelques jours. Celui-ci continue sur la même lancée, acheté ce weekend, commencé mardi, il me reste 150 pages.
Le style n'est pas génial ni même particulier, c'est du descriptif efficace avec tout de même une distillation des infos clés intelligente. Mais putain l'histoire est prenante.
Le seul truc qui m'inquiète, c'est que Ridley Scott a acheté les droits d'adaptation ciné...
Yes, j'irais me le procurer ; j'ai évidemment fini Silo : Générations en rentrant du boulot, 150 pages avalées sans verre d'eau, pour une fin dans la droite ligne du reste de l'histoire.
Un très bon moment de lecture.
Ah ben merde, je viens de voir qu'il y avait des tomes 4 et 5... Ça commence à faire beaucoup pour une trilogie
Y a pas de t4 et 5, c'est probablement les chapitres que tu vois, du temps où il s'auto-éditait.
Je viens de finir Artemis, d'Andy Weir (l'auteur de The Martian/Seul sur Mars, que je n'avais pas lu), en VF.
C'est très fluide à lire, mais insupportable de fan service, entre références geeks du XXe siècle, coups de coude appuyés et clins d'oeil du narrateur, petites blagues, tout le temps, ça en devient lourd.
La partie ingénierie et technologie est très réfléchie, tous les détails techniques ont été pensés en profondeur, malheureusement les personnages sont moins crédibles, certaines de leurs actions sont incohérentes.
En gros, c'est Juliette de Silo (une jeune fille super forte dans tout ce qu'elle fait, qui maîtrise n'importe quel domaine technique y compris les plus pointus en une demi-journée, que tout le monde adore parce qu'elle rend service partout, et qui en plus se trouve être une bombasse, selon ses propres termes), qui se retrouve dans la base lunaire de Revolte sur la Lune d'Heinlein, avec ses habitants durs mais justes, à la moralité fluctuante mais au grand coeur et prêt à tout pour aider le voisin à survivre, violons, pipeau, etc
Le bouquin est une compilation des fantasmes de vie d'un ingénieur mâle, avec son héroïne qui résout les problèmes en en faisant des problématiques techniques (pour rappel, si c'est technique elle le maîtrise après 4h sur internet).
Le lecteur suit donc le petit boule de Jazz faire le tour de la base lunaire, plus ou moins habillé, entre deux coups de coude qui suivent une petite blague en style indirect libre. Avec plaisir au début, de plus en plus saoulé par la narration au fur et à mesure. Heureusement que l'action est constante, pour ne pas laisser le temps de méditer sur la forme.
Je suis dans une phase "(re)découvre tes classiques". Je viens de me faire quatre Balzac, dont un auquel j'ai rien compris (Nuncingen, j'arrivais pas me concentrer dessus, donc j'ai RIEN bité. Trop de noms, trop de trucs économiques peu expliqués). Les trois autres par contre, j'ai vraiment apprécié. Mention spéciale au Colonel Chabert dont j'ai adoré la construction. Le chef d'oeuvre inconnu (nouvelle) est vraiment très très intéressant aussi et j'ai été happé par Ferragus. Je vais enfin me mettre à Céline et suivre avec, peut-être, Maupassant. A voir. Voilà. Suffisait d'attendre de devenir vieux pour lire tout ça.
Notre ennemi, le capital, de Jean-Claude Michea.
On va dire qu'après Pablo Servigne et la collapsologie, je suis parti en mode "no future" (remarquez, il y avait encore un philosophe "optimiste" hier soir à "28 minutes" sur zArte). Et puis je me suis relancé les "conférences gesticulées" de Franck Lepage, ça reste bien fendard, et c'est en rapport.
Léger souci, ça m'a aussi fait acheter Bourdieu : les Héritiers et la Reproduction, à force d'en entendre parler. Mais maintenant faut les lire... Et ça me semble costaud, surtout le second. Comme dans Coluche : "Bob, il lit des livres, je ne comprends même pas le titre ! ". Ben là, ce sont les titres de chapitre. Encore pire que le jargon d'IUFM, beuuuh.
Pour en revenir à Michéa, livre court, en quatre petits chapitres et de nombreuses "scolies" ensuite. Il revient sur diverses notions économiques, sur les écrits de Marx et Engels, les différences entre gauche et socialisme, capitalisme théorique et réel, etc. Un bon complément à Orwell aussi.
Sinon, je lis doucement "les portes d'Anubis" de Tim Powers, conseillé quelques pages plus tôt. Le quatrième de couverture ne m'avait pas inspiré, donc il traînait depuis longtemps sur une étagère, mais je me suis souvenu le posséder, et repassé sur le haut de la pile (avec au moins 260 volumes en attente après...) ! A la lecture de quelques chapitres, il passe mieux. L'auteur semble bien maîtriser son intrigue et l'Angleterre d'époque, reste à voir les prochains rebondissements.
Je suis en train de relire Misery.
Si je parle de cette antiquité, c'est à cause d'un fait rigolo.
La première fois que je l'ai lu (et je parle, malheureusement, d'un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître) j'aimais plus le côté horrifique de King (par exemple je surkiffais Shining ou Ca). J'avais détesté Misery.
Maintenant que les hivers ont blanchi mon front et que les soucis ont ridé ma peau, et que je ne suis plus un jeune puc... éphèbe mais un vieux con, les livres horrifiques me laissent de marbre, par contre chaque page de ce Misery me remplit de joie, en particulier à cause d'un humour noir sous-jacent que je n'avais pas forcément perçu ou apprécié en première lecture (en tout cas je ne m'en souviens pas).
Comme quoi il ne faut jamais définitivement juger une oeuvre .
Non, mais en plus je suis de mauvaise foi, parce que je ne l'ai pas lu, et donc je parle sans savoir et que je tape dessus parce que tout le monde tape dessus. Si ça se trouve, c'est juste une série YA honnête
Dans le YA qu'il faudra que je lise car j'ai toujours pensé que c'était une merde innommable mais deux trois personnes m'ont dit que c'était gé-nial il y a Percy Jackson.
La chose qui me freine, c'est qu'une des personnes qui m'a dit ça trouve également Eragon gé-nial alors que j'ai l'impression que ça sort d'une classe écriture de 6ème.
Percy Jackson c'est pas génial mais c'est sympa, ca permet de présenter les mythologies grecques et la lecture est fluide. C'est du young adult par contre, avec les défauts qu'on peut trouver à cette littérature.
c'est chiant la 3D
Oué pareil, ça ce lit bien mais c'est pas non plus génial^^
Dans ma suite de découverte des classiques, voyage au bout de la nuit m'est tombé des mains après deux heures. Je comprends complètement l'intérêt du livre dans l'histoire de la littérature, mais j'accroche vraiment pas
Ni au style, ni à l'histoire. C'est grave docteur ?
Courir de Jean Echenoz.
Je découvre l'auteur avec ce court roman paru en 2008, qui raconte la vie d'Emil Zátopek, légendaire athlète tchèque qui révolutionna la course de fond dans les années 40-50.
Ce livre est une merveille. L'écriture d'Echenoz est fabuleuse, simple et claire, et pourtant tendue. Il en va de même pour les sujets abordés (que je vais taire pour ne pas gâcher, ça vaut vraiment le coup de le lire sans rien en savoir) traités le plus simplement du monde mais d'une complexité folle.
C'est drôle quoique mélancolique, très fin, très intelligent et ça se lit tout seul.
Si vous êtes allergique au sport, lisez-le ! Si vous aimez le sport lisez-le ! Dans tous les cas, c'est de la bonne littérature qui nourrit le cerveau et le cœur, lisez-le !
Je me suis pris une vraie claque et c'est toujours plaisant, alors je partage.
Le jeu vidéo est une chose trop grave pour le laisser aux canards
À ce point la ? Ma sœur la lut et trouve ça bien aussi ^^'
J'ai juste vu le film et j'ai trouvé ça à chier (mais je me le suis mis dans ma liste de lecture pour un jour quand je serais plus quoi lire)
Moi j'ai repris la lecture du tome deux du Malazaan empire en anglais
Deadhouse Gates
J'avais bien aimé le premier Garden of the moon même si les personnages sous leur dehors de lossers étaient un peu trop "bigger than life" pour moi. Et que je n'avais pas aimé le final.
Par contre c'est toujours aussi dur a lire pour moi, le vocabulaire est largement trop riche pour une lecture fluide
"A game is a series of interesting choices" S.M.