Compte tenu de mon entraînement de début de semaine, cette stratégie sera mienne aussi. Quand je vois les dégâts, aussi bien à la bagnole qu'au chrono, que peut générer une petite sortie de piste finissant dans un arbre, je me dis qu'il vaut mieux lâcher quelques secondes et finir l'épreuve plutôt que d'abandonner ou subir une quantité de réparations rédhibitoire entre les ES. De toutes façons, j'ai pu constater que les meilleurs chronos que j'ai réalisés sur les deux premières spéciales sont ceux où j'ai géré le stress en assurant les passages un peu tendus, en récupérant les secondes perdues là où attaquer coûte moins cher. En conditions de compét' il me faudra être dans le même état d'esprit… C'est pas gagné !