L'amour c'est comme les cartes, si vous n'avez pas un bon partenaire, vous avez intérêt à avoir une bonne main
Mes reviews sont sur Steam.
Le pire c'est que je dois encore les avoir quelque part chez mes parents !
Sinon j'ai essayé de faire pareil la première fois que j'ai lancé Grimrock y a quelques années, ma motivation n'a pas dépassé la première salle...
On verra bien pour le rogue. Cela dit j'avais pas pensé à lui coller une arme dans son autre main, là j'ai juste des shurikens...
Pareil
Pour Ishar 2, j'avais un bloc note quasi complet dédié au jeu, avec toutes les maps, tous les items de tous les magasins, les stats de tous les persos, et plein d'astuces que je notais dedans au fur et à mesure. Je crois que j'ai passé plus d'heures à l’annoter et à l'étudier plutôt qu'à jouer!
Ouaip j'ai le 2 qui traine aussi dans mon backlog.
Peut-être pour le prochain event !
Et j'ai fini Steamworld Heist !
Screencaps en preuves + succès Steam.
J'ai raisonnablement aimé (disons, un bon 6/10 quoi) mais Evil l'avait tellement vendu que je suis quand même un poil déçu.
Paradoxalement, ma déception vient du fait qu'il ne fait pas souffrir comme un vrai XCOM (pas les vieux X-COM, juste les plus récents XCOM:EU+EW ou XCOM2), où on serre les fesses pour ne pas perdre son petit soldat couvé avec amour : je ne suis pas maso mais XCOM est, bien que plus ou moins difficile, toujours punitif mais aussi toujours juste dans la punition. SH, lui, ne punit pas les morts des robots par une permadeath, ce qui est conforme à l'univers (un robot ne meurt pas mais se démonte et se remonte à l'envi) mais les rend un peu moins attachants et surtout rend le jeu beaucoup moins stressant. Certes, j'aurais pu augmenter la difficulté mais j'ai préféré rester au niveau 2 sur 5 (sauf pour les 2 derniers niveaux, dont le boss final, où je suis passé en débutant), parce qu'il semble qu'on peut de toute façon contourner (en partie seulement ?) la difficulté en refaisant les niveaux précédents pour farmer l'XP des différents persos et débloquer ainsi leurs aptitudes, et je trouve que la lassitude tendait suffisamment à s'installer dans mon run pour ne pas que j'en rajoute à rater des missions et à en refaire d'autres.
Ce qui est dommage, c'est que la tension que crée de manière assez naturelle et équitable un XCOM (les pourcentages de visée et les chances de coup critique) est rendue ici par des artifices (la visée pas stable) ou des choix discutables de game design : il m'est par exemple arrivé plusieurs fois de tirer sans le vouloir dans des plateformes qui arrêtent les tirs car primo, il n'est jamais expliqué noir sur blanc sur quels supports les tirs rebondissent et sur lesquels ils passent à travers (même si on le comprend peu à peu à l'usage mais pourquoi un tir au laser a-t-il une trajectoire courbe ?) et deuzio, les décors ne sont pas toujours très lisibles. J'imagine à peine comme on doit rager dans les difficultés plus élevées quand on rate un tir pour des conneries comme la visée qui bouge d'un poil de cul de trop ou une plateforme traître. Dans ce registre, on sent aussi que le jeu a été pensé à l'origine je pense pour les consoles portables (première sortie sur 3DS si je ne m'abuse avant le port sur PC) car la gestion de la visée est certainement plus intuitive en tactile : j'en suis venu à utiliser un combo manette + souris, ce qui est cela dit quand même à mettre au crédit du jeu, pas bégueule pour se laisser amadouer le gameplay comme on l'entend.
Je plussoie Machiavel (encore une fois, je n'ai pas grand chose à rajouter à sa critique) sur la gestion des boss et le dernier en particulier : à la base, je ne les aime déjà pas mais ici, le dernier est vraiment une caricature de sac à PV, qui enchaîne les phases de multiplication de boucliers jusqu'au dégoût, juste de la surenchère sans réel effort imaginatif. C'est dommage car il y a de bonnes idées dans le jeu par ailleurs, au niveau des aptitudes de certains persos (par exemple, le "carapatage" [sic] du perso qui peut s'échapper et ainsi aller se cacher après avoir tué un ennemi) ou dans l'inventaire.
J'ai bien aimé la bande-son de Steam Powered Giraffe.
Le scénario est classiquissime même si l'humour aide quelquefois à faire passer la pilule (la référence au film Le bon, la brute et le truand : ). Les va-et-vient sur la carte et dans les pseudo-niveaux qui font avancer l'histoire sont très dispensables à mes yeux, tout comme le trip autour des chapeaux. Par contre, les 4 ou 5 cinématiques sont excellentes : elles reprennent l'esthétique et les codes (ah cette musique !) des séries B des années 50-60, genre les Envahisseurs, ce qui me fournit une transition toute trouvée avec mon prochain jeu de l'event, the Deadly Tower of Monsters.
Dernière modification par RomTaka ; 14/02/2018 à 00h51.
Mais comment définir un jeu ? Voilà une question au moins aussi épineuse que "faire caca dans un musée, est-ce de l’art ?" ou "les chanteurs de J-pop ont-ils une âme ?" - Guy Moquette (CPC 301, 14/07/2014)
Désolée
Faut surtout pas ! D'une part, ton enthousiasme faisait envie et d'autre part, étant donné que j'avais aimé Steamworld Dig et que j'adore XCOM, je me disais qu'un jeu tactique au tour-par-tour dans l'univers Steamworld ne pouvait être effectivement que génial. Le problème des attentes, c'est que forcément, on risque de les décevoir... (tiens, je vais proposer ce slogan à Kickstarter ou à Steam pour ses EA )
Cela dit, j'ai l'air un peu grincheux dans mon retour mais il faut quand même retenir que j'ai globalement aimé : 6/10, c'est plutôt bien, surtout selon mes standards.
Mais comment définir un jeu ? Voilà une question au moins aussi épineuse que "faire caca dans un musée, est-ce de l’art ?" ou "les chanteurs de J-pop ont-ils une âme ?" - Guy Moquette (CPC 301, 14/07/2014)
Et puis ça lui a donné plein de choses à dire !
(Tu as une écriture très soignée et plaisante à lire aussi, d'ailleurs.)
J'ai commencé mon 4e jeu: Beyond Good&Evil. Jusqu'à maintenant, c'est cool. Et ça n'a pas si mal vieilli, je trouve, à part quelques placements de caméra un peu... étonnants, sinon c'est cool. Ca a l'air fort simple, cela dit. Je me souviens y avoir joué à l'époque mais c'est flou: est-ce que j'ai été bloqué, j'ai arrêté ou c'était une démo? Je ne sais plus, mais c'était donné gratos avec Joystick
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J'ai fini A story About My Uncle, un jeu qui traite de la maltraitance animale, avec un type genre Mengele des batraciens, qui fait des expériences bizarres sur des grenouilles en les dopant à coups de Cristal Meth. Le commun des mortels finit ce jeu en 3 heures. Il m'en a fallu 7. J'ai connu toutes les phases de la frustration durant ma partie, passant du déni à la colère, la tristesse puis l'acceptation, mon expérience entrant en étrange résonance avec la narration métaphorique du jeu.
J'ai connu le plaisir ambigu des pontons de bois trop court, les détestables moulins à vent sur lesquels le grappin s'accroche une fois sur dix, et, abomination ultime : les caisses qui dégringolent dans le brouillard, où il faut s'agripper et bondir tel un Yamakazi dans une production Besson. Je me suis aussi perdu quelque fois, mais j'ai plutôt apprécié la dernière partie du jeu, alors que certains la considèrent comme la plus ardue. Peut-être parce que sur la fin, j'arrivais enfin à un peu maitriser le gameplay ? A m'entendre dégoiser, on dirait que j'ai détesté. Ce n'est pas le cas, mais ma difficulté à appréhender les distances et la gestion de l'élan, n'a pas rendu mon expérience très fluide.
Pour moi, ce jeu a été un éloge constant de la chute sous toutes ses formes, une école de l'humilité. L'image qui m'en restera sera les petites mains potelés du protagoniste s'agitant dans le vide, alors que je clique frénétiquement sur un bête rocher hors de portée. Du coup, je ne l'ai pas trouvé trop court !
20 heures de mon côté. Mais je me suis éclaté à faire tous les succès tellement le gameplay est jouissif (à part). Je conseille les speedruns ("chrono", dans le menu, je crois), si tu as le temps. On découvre le jeu sous un tout nouveau jour.Spoiler Alert!
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Bon je n'ai quasi pas joué depuis une dizaine de jours, mais je me rattraperai bientôt, je suis en vacances à la fin de la semaine
L'amour c'est comme les cartes, si vous n'avez pas un bon partenaire, vous avez intérêt à avoir une bonne main
J'ai exactement le même avis que toi sur ce jeu et j'ai vécu la même chose lors du précédent backlog event. Expérience assez frustrante au début, j'ai même failli abandonné le jeu tellement il me faisait rager, mais finalement je me suis accroché et j'ai fini par maîtriser un peu mieux le gameplay et par m'amuser sur le dernier tiers du jeu. J'ai dû mettre aussi dans les 6-7 heures pour le finir, et j'étais content que ça ne dure pas plus longtemps.
Content de l'avoir sorti de mon backlog, car ce n'est clairement pas un jeu que j'aurais fini hors event...
Booon, je viens de finir Steamworld Heist, c'est sympa, la fin était un peu redondante et facile, mais c'était sympa. Sinon l'OST était
(Screen: https://tof.cx/image/BBA0d , acchiev: http://steamcommunity.com/id/Flugel-...b=achievements )
Je viens ENFIN de finir System Shock 2 en 8h40 .
Screen 1 : ma sauvegarde enregistré à 08h40 au dernier niveau intitulé "where am I?"
https://tof.cx/images/2018/02/14/16b...f573290b4c.jpg
Screen 2 de la cinématique de fin :
https://tof.cx/images/2018/02/14/8aa...55727755ab.jpg
He ben mes aïeux c'était pas une partie de plaisir, surtout le dernier tiers...
Du coté des choses qui m'ont plus : les mécaniques sont cool avec les logs audio, les upgrades modulaires, les upgrades d'armes, les éléments inconnus à examiner à l'aide d'éléments chimiques à trouver dans les niveaux et les adversaires sensibles à des choses différentes selon leur type. L'ambiance est super cool également, du moins pendant les deux premiers tiers du jeu. On découvre pas mal de choses, on explore sans fin de grandes zones, balloté entre solitude et épouvante.
Par contre les antagonistes manquent pas mal de charisme, l'histoire n'est pas palpitante et la partie FPS est pourrit.
Au final, ce qui fait que je ne l'ai pas aimé malgré toutes ses qualités, son moteur fluide et efficace (pas un seul bug, pas un seul problème pour accrocher une échelle ou sauter d'une plate forme à une autre, aux petits oignons) et sa grosse ambiance, c'est qu'il est vraiment trop vieux à mon gout .
Je n'arrive plus à faire abstraction de certains défauts comme la laideur visuelle ou les interfaces contre intuitives. Je suis bien content d'en avoir terminé avec lui.
J'ai fait deux niveaux de Mark of the Ninha à 100%, et il faut avouer que c'est hyper plaisant. Typiquement le genre de jeu dont le plaisir est augmenté par la volonté de jouer parfaitement (un peu comme Hitman en fait).
Mais je fais Dungeon Master en même temps et c'est chronophage
J'avais kiffé Mark of the Ninja à l'époque, étrangement je l'avais un peu rushé.
Bon j'attaque le niveau 10 sur Legend of Grimrock. Je pensais pas que ce serait aussi long, j'y ai passé toutes mes après-midi/soirées depuis lundi ! Après en général je suis assez long pour finir les jeux. Enfin c'est toujours aussi plaisant, même si j'avoue avoir regardé la soluce pour une ou deux énigmes un peu relou.
Ah et mon rogue est toujours aussi à peu près inutile, c'est quand qu'il devient un monstre ?
Je viens d'abandonner Besiege. Le seul tuto de tout le jeu t'explique comment placer des blocs et des roues (même pas comment faire un truc qui tourne, juste comment aller tout droit), le moindre guide expliquant comment faire un avion (obligatoire pour divers niveaux du monde 2) fait plusieurs centaines de mots, implique d'utiliser une centaine de pièces et finit avec un machin qui nécessite une dizaine de touches pour piloter. La plupart des armes ne tirent qu'une fois, à part celles qui ne marchent pas sur la plupart des structures à détruire. Même avec une machine du workshop, j'ai eu du mal à faire le niveau 5 du monde 2, et l'engin dont j'ai eu besoin avait 7 touches différentes pour les armes (4 structures à détruire, donc pas possible de rater plus de 3 fois), 8 touches pour contrôler l'engin et perdait des morceaux au décollage, ce qui empêchait de le faire redescendre efficacement. Et c'était le plus adapté que j'ai trouvé parmi une douzaines de modèles bien notés.
L'intérêt du jeu pour moi était de réfléchir moi-même et non d'utiliser le workshop, mais c'est complètement contre-intuitif (les steering hinges sont une horreur pour faire tourner un véhicule... la solution est de mettre des roues sur des roues et de faire en sorte que les roues intérieures changent de sens quand on appuie sur gauche/droite), et j'ai pas envie de passer une heure sur chaque niveau qui se finit en deux minutes une fois que tu as le bon engin, ni de télécharger trois tonnes de modèles afin de finir le jeu sans rien faire.
Suivant sur la liste : probablement Layers of Fear ou Kingdom, juste le temps de finir Rakuen avant.
Site de l'event du backlog (plus d'infos sur le topic approprié)
Topic des démos essayées par les canards
Mais comment définir un jeu ? Voilà une question au moins aussi épineuse que "faire caca dans un musée, est-ce de l’art ?" ou "les chanteurs de J-pop ont-ils une âme ?" - Guy Moquette (CPC 301, 14/07/2014)
Ca fait longtemps que je l'ai fini donc je me trompe peut être, il avait peut être une arbalète ou un arc qui le rendait très fort alors. Mais en tout cas je ne m'étais pas spécialisé dans les armes de jet qui étaient assez pourries effectivement, je l'avais plutot monté arc ou arbalete.
L'amour c'est comme les cartes, si vous n'avez pas un bon partenaire, vous avez intérêt à avoir une bonne main
Peut-être bien, là je suis parti sur la dague, avec reach pour qu'il puisse taper de derrière et bon... c'est pas les rares fois où on peut caler une backstab... mais c'est pas grave je l'aime quand même !