La première catastrophe est le combat. Difficile de s’imaginer le louper dans un jeu médiéval, pourtant le système de mêlée est une purge sans nom : c’est lent, c’est mou et c’est chiant, avec une caméra horrible qui donne l’impression de jouer sur console avec un FOV de 50 degrés. Mon sentiment est d’ailleurs que le système de combat est prévu pour un putain de pad. Chaque engagement est une épreuve qui provoque, généralement, soit de l’énervement, soit un fou rire devant une intelligence artificielle totalement à la ramasse. Par conséquent, le choix intelligent pendant les dialogues devient rapidement l’évitement du combat. Vous pouvez crier au réalisme comme justification, mais dans ce cas-là, mettez vous à l’escrime ; un jeu vidéo est fait pour prendre du plaisir, or là, j’en sors avec un ulcère.